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Musique (page embed) Granados, Andaluza, danza espanola N°5, interprétée par Paola Requena.

 

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Plan de composition du site de psychiatrie

Correspondance des Noms de page avec les adresses URL 

 

 

Plan de cette PAGE :

 

 

1 PAGES actualisées du site

 

2 PLAN d’ensemble du site de psychiatrie

 

3 ARTICLES publiés et/ou mis sur le web 

 

4 Autres Auteurs   - psychiatrie – psychanalyse

 

 

Non Classée : Actualités différées (psychiatrie guerre de 1914-1918 )

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5 PAGES ETRANGERES à la psychiatrie.

 

 

CODE DES COULEURS dans les tableaux:

En noir : Texte simple

En Bleu souligné :  Lien hypertexte

En rouge : Texte pdf. cliquable

Clic sur Photo  : Centre Hospitalier Spécialisé de Perray-Vaucluse - 91360

 

 

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1 PAGES ACTUALISEES sur le sujet de LA PSYCHIATRIE

SUJETS  et  dates de mise en ligne

TITRE ABREGE

ADRESSE URL

1) Page d’accueil historique (avant 2000) 

Psychiatrie justice médecine droits lois responsabilité

http://jdeperson.free.fr/

2) Nouvelle page d’accueil la plus générale depuis 2017

Sujets divers

http://jdeperson.free.fr/sujets divers.htm

Quelques actualités (depuis 2005)

«  Blog actualités  »

http://jdeperson.free.fr/page web 8.htm

Présentations  (1999)

Présentations

http://jdeperson.free.fr/page web 1.htm

Entre : justice divine et médecine d’état (1999)

L’invention de la psychiatrie

http://jdeperson.free.fr/page web 10.htm

Autour du mot « psychi » (2010)

La conversion religieuse de la Grèce

http://jdeperson.free.fr/agadez.htm

  1. En biologie : La décussation des connexions (2012)

1.      Partitions, Partages, Représentations de l'autre et de soi

http://jdeperson.free.fr/decussation.htm

  1. En linguistique (2015)

2.      La physique des signifiants

http://jdeperson.free.fr/substitutions.htm

  1. Immunités(2015)

3.      Pollution, olfaction, immunité

http://jdeperson.free.fr/immunite.htm

 

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2  PLAN DU SITE

Pages principales = « Pages de structure par Thème.

TITRE et THEME

SOUS PARTIES = « Pages compléments aux pages de structures.

TITRE

Page I .  page d’accueil

 

Thème : Le problème basal de la psychiatrie : La ségrégation qui vient du bannissement de la justice commune.

a)     Commentaire de l'article 122-1 du nouveau Code Pénal

b)     Titre et vocabulaire

c)      Courrier au groupe communiste

d)      Corps du sujet

e)      Mises en relief de quelques données

f)       Tableau de la dé-judiciarisation

g)      Exemple

h)     Conséquence d’un non-lieu

i)       Pas de jugement

j)        Livres sacres

k)      Problématique sociale

l)        Propositions simples

 

PAGE II . presentations

 

Thème : Présentations du site et de l’auteur.

a)     Plan du site, Toutes les pages (celle-ci même)

 

PAGE III . l’invention de la psychiatrie

Annexes de cette page III

1.    Démocratie et psychiatrie

2.    Tableau de la dé-judiciarisation

3.    Bibliographie

4.      Mai 68 pour la psychiatrie

5.      Questions à Choix Multiples

 

Thème : Echo dénaturé des  justices de la « monarchie absolue », la psychiatrie est créée  à partir d’un  « non-droit absolu ».

a)     La « Conversion » de la Grèce

b)     Bonaparte en Égypte

c)      Rapports entre les grands courants de pensée occidentale

 

PAGE IV . a priori (s) et reflexions pour la coherence dans une pratique de soins

Thème : Places de la pratique et des théories.

a)     Tableaux : déclarations et évolution des droits de l’homme :

 

PAGE V  . actualites

Thème : Faits récents remarqués

a)     Individualisations, Diversités biologiques, Politique, Morale et Gestion de la santé

b)     Actualités différées :

c)      Archives de la page « Quelques actualités … »

d)     Nicotine

 

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3. ARTICLES sur la psychiatrie publies et mis sur le web 

PAGE VI . Liste des articles publiés mis sur le web :

(présentation de ces textes en fin de Page II : )

Thème : Écrits entre 1970 et 1999

 

Autres travaux :  Sur le web  Thème : Écrit en 2012 =>

 

1)      1969 

Internat en médecine des hôpitaux psychiatriques de la Seine Note de bas de page [1]

2)      1970

Thèse de doctorat en médecine : Intérêt des enregistrements audiovisuels en psychiatrie : Annexe du film Note de bas de page [2] 

ð     Fascicule de présentation  => http://jdeperson.free.fr/these 1970.pdf

ð     Dactylographie de la piste sonore =>

     NOUVEAU (2016) : http://jdeperson.free.fr/dialogues.pdf

Je ne crois pas qu’il y ait eu d’autres thèses relevant de la même technique sur le même sujet

3)      1980

Angoisse de mort et thyréo-toxicose ( En collaboration avec le docteur Gisèle Pringuet )

4)      1981 

Mémoire de CES de Psychiatrie : « Contribution à l’étude psychopathologique des pères pathologiques d’une population de malades mentaux » => http://jdeperson.free.fr/memoire 1981.pdf

5)      1982

La responsabilité au Vème siècle athénien

 

Concours chef de service : http://jdeperson.free.fr/concours 1982.pdf

6)      1982

Quiproquos religieux de la psychiatrie

7)      1985

Le champ de la demande et le lit du traitement   (Fleury les Aubrais)

8)      1989

Table ronde du 8 XII 1989 sur la refonte de la législation de la psychiatrie en Espagne en 1978 : « Au-delà des Pyrénées » (Perray-Vaucluse)

 http://jdeperson.free.fr/au dela 4 mo.pdf

9)      1990

« Pharmacos », « Majnoun » et « Habeas corpus »

 

Le même publié en 1992 dans la revue « Psy-Lex »

 http://jdeperson.free.fr/pharmacos.pdf

 

10)  1994

« Habeas corpus » et système Psychiatrique français »

11)  1999

Différences (Dé-judiciarisation)

Et dans la collection POLLEN : Sur internet en pdf

12)  2012

La « décussation » du tronc cérébral pour une « intégration grégaire », à côté d’une « image spéculaire » avec « aliénation » «  individuelle »

13)  2014

La « Traumdeutung » de Freud, les échanges et les communications

       Pages en cours d’écriture :

14)  2015

La physique des signifiants depuis Démocrite

15)  2016

Pollution, olfaction, immunité

 

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4. Autres Auteurs  - psychiatrie – psychanalyse :

1. Interventions de Jacques Lacan :

Thème : Lacan à Bonneval  1950 => « Le problème de la psychogenèse des névroses et des psychoses» :

 

Ce texte comporte 3 parties : La 1ère est une critique de la « théorie de l’organo-dynamisme » d’Henri Ey, d’actualité surtout entre 1943 et 1950 ; La 2ème traite de la « causalité de la folie » ;  La 3ème traites des « effets psychiques du monde imaginaire », de la fonction de « l’imago », et, partant, d’inquiétudes quant aux « menaces » de possibles manipulations des esprit par l’image !

 

______

 

Cette 3ème partie pouvant nous sembler aujourd’hui plus familière, il peut être plus facile de lire cet exposé en commençant par elle : Lacan y critique Freud, en nuances, pour sa conception de l'instance du « moi » :

 

[Rappel : Pour Freud il y a 3 composantes dans la métapsychologie de chacun : Le ça, le moi et le surmoi]

1) Le  « ça » qui provient des données instinctives héréditaires bien connues ne pose aucun problème théorique.

2) Pour la découverte du « surmoi », c’est là le vrai génie de Freud de l’avoir systématisé et raccordé à l’inconscient.

3) Mais pour le « moi » Lacan reproche à Freud de l’avoir limité aux systèmes de « perception/conscience » et ajoute donc ici la dimension imaginaire.

 

C’est ainsi que dès lors Lacan formalisera fort logiquement les triades borroméennes « Réel, Symbolique et Imaginaire » nouées par « Les noms du père »

Les triades, à mon avis, découlent ainsi, point par point, par élargissement conceptuel, de la métapsychologie freudienne : Le ça devient le Réel ; Le surmoi devient le Symbolique; et le moi devient l'Imaginaire. 

L’apparition des noms du père, elle, pourrait être déjà reconnaissable chez Freud dès le dernier chapitre de la Traumdeutung)

 

 

 « Le problème de la psychogenèse des névroses et des psychoses » 

Colloque de Bonneval sur « La causalité psychique des troubles mentaux »,

publié par « Desclée De Brouwer & Cie », Paris 1950, dans la collection « Bibliothèque neuro-psychiatrique de langue française », pp. 23 - 54  reproduites ici avec l’aimable autorisation de l’éditeur : =>

 

Cliquer sur  la psychogenèse.pdf

 

Extrait p. 44 :

 

«  … Aussi bien l'expérience ne nous démontre-t-elle pas au plus simple regard que rien ne sépare le Moi de ses formes idéales  (lch Ideal, Freud retrouve ses droits)  et que tout le limite du côté de l'être qu'il représente, puisque lui échappe presque toute la vie de l'organisme, non seulement autant qu'elle en est méconnue le plus normalement, mais qu'il n'a pas à en connaître pour la plus grande part.

Dès lors, comme on s'en est tout de même aperçu, seule une psychologie génétique peut rendre compte du Moi.

Je crois y avoir concouru par mon étude des phénomènes qui consti­tuent les « moments féconds du délire » [3]

 

Thème : 1966 => « Table ronde sur la place de la psychanalyse dans la médecine » :

 

1966. « Table ronde sur la place de la psychanalyse dans la médecine » => Référence :

Extrait de Cahiers du Collège de Médecine, 7e année, n° 12 décembre 1966, pp. 761 – 774.

« Expansion éditeur ». avec l’aimable autorisation de l’éditeur : => Cliquer 

la place de la psychanalyse dans la médecine.pdf

 

Thème : « Histoire de l'évolution de la contrainte en psychiatrie, en France, de 1945 à nos jours ».

 

2. Philippe Bernardet, chargé de recherche au C.N.R.S

 

Cliquer pour lire ce texte de P.Bernardet en pdf :

 =>

La contrainte en psychiatrie, en France, de 1945 à nos jours.pdf

 

1996. « La contrainte en psychiatrie, en France, de 1945 à nos jours » => Il manque quelques pages à mon document (pp. 16-18 ; 20 ; 23-24 ; 31-32 ; 34 ; 39-42 ; 50-54) et il me semblait qu’il comportait des graphiques, lesquels sont peut-être dans les pages manquantes que j’aurais classées séparément, ou dans un autre texte de P. Bernardet.

Ce document, qui peut certainement être retrouvé au C.N.R.S. apporte de nombreuses références utiles.

Mais P. Bernardet pensait que la séparation de la « psychiatrie » de la « neurologie », en 1970, aurait pu faciliter « la pratique psychologique ou psychanalytique » dans la psychiatrie publique.

Seule l’expérience de la psychanalyste Ginette Rimbault, a eu quelques échos, surtout de prestige.

Certes, dans tout service de psychiatrie, il existe un ou plusieurs psychologues, mais, fait essentiel, ceux-ci sont placés en totalité sous l’autorité du médecin du patient ou du dit « chef d’équipe » quand il y a plusieurs médecins.

Ledit « chef » a alors toute autorité pour prescrire « isolements » et « médications » selon son appréciation.

Enfin, tout ceci est strictement encadré par « la hiérarchie fonctionnelle nationale » :

1.             « l’enfermement dans un établissement » et « les permissions » sont en totalité soumis à l’agrément du préfet, lui même soumis au ministère de l’intérieur.

2.             Les « tutelles et curatelles », dites de protection, parfois utiles, mais parfois pur dépouillement du patient de la possession et/ou de l’usage de ses biens et de ses actes, dépendent du Juge des Tutelles (Loi du 1er janvier 1968).

3.             La « responsabilité civique » de principe du dit patient demeure dans tous les cas, puisque la « déresponsabilisation » ayant mené aux mesures énoncées a été « ponctuelle », mais une tutelle peut en limiter considérablement l’exercice des droits et devoirs.

4.             La seule chose qui appartienne en totalité au médecin, son « champ réservé », est la « prescription de médicaments ». Mais :

§                           Pas plus les médicaments que l’avis du médecin ne permettent la levée d’un internement si la préfecture s’y oppose.

§                           Autrement dit – cas très fréquent - si un patient s’agite en demandant sa sortie – souvent présage d’amélioration - et que la meilleure solution serait, aux yeux des soignants, de lui donner sa sortie, afin de lui permettre d’expérimenter l’usage de sa réelle responsabilité devant les rouages « normaux » de la société, si la préfecture s’oppose à la sortie, le médecin sera mathématiquement conduit à multiplier les prescriptions de sédatifs, dans le seul but de limiter l’expression sanglante de l’agitation.

§                           Les médicaments devraient être légalement soumis à l’acceptation du patient (« consentement éclairé ») : Ils peuvent être réclamés ou refusés par lui. [… et ont une fonction beaucoup plus individuelle que les vaccins destinés à éviter un contage ou une épidémie !]. Or, dans la pratique pourtant ils sont souvent imposés par la force (infirmiers) même s’ils sont refusés par le patient.

§                           Ici comme ailleurs, le recours à des très vagues et hypothétiques notions de « danger » ou « bien d’autrui » permettent souvent de faire et dire n’importe quoi.

Cette séparation de la « psychiatrie » de la « neurologie » fut en fait surtout un « isolement » de la psychiatrie, dans la droite ligne de ce qu’avait défini « l’invention de la psychiatrie » (clic) en 1838 en France, et mettait encore davantage la psychiatrie à la disposition de l’exécutif, en dépit de très difficiles recours dont l’objet fut justement celui des travaux de P. Bernardet.

Cf. notre commentaire inséré dans la bibliographie :  : En psychiatrie, un quelconque « pouvoir médical » n’est qu’une totale illusion ; aussi totale que celle de quelqu’un qui croirait s’adresser à la justice en sollicitant la préfecture.

Les autres médecins appelés alors « somaticiens » se trouvaient totalement écartés des « psychiatres ».

Et ce sont maintenant eux que l’administration subjugue à leur tour de différentes façons .

En résumant de façon frappante, on pourrait dire que les « psychiatres du service public » sont les héritiers spirituels du « clergé conventionnel » de la révolution de 1789 (clic).

Encore une fois, les mots ont un sens, puisque « les soins de l’âme » (« psychè » = « âme ») sont ainsi décrétés être confiés au médecin (« iatros » = « médecin »), mais « sous la tutelle de l’Etat ».

On ne peut donc comprendre et agir profitablement sans faire remonter les réflexions aux sources.

 

 

 

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5.  PAGES ETRANGERES à la psychiatrie  :

  1. Livre de bord, oui, mais libre de bords  :  Hommage à Nénuphar

 

  1. 1763 

 

 

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 6 Mises à jour

1.  Mises à jour du site et des pages de Psychiatrie :Les « pages web » de ce site n’ont pratiquement pas été modifiées après 2008 ;

 

 

Contact : mailto : jacquesdeperson@free.fr

Remerciements : Soit ici le serveur « Free»  remercié pour ses services d’hébergement gracieux.

 

 

Fin de page             Retour haut de page : clic

 

 

 

Notes de bas de page :



[1] NOTE : Les bons souvenirs des amis et du « thalamus » :

 

 

 

Concours d’internat en médecine des hôpitaux psychiatriques de la Seine.

 

REGLEMENT : Le Concours des dernières années était réglé par arrêté du Préfet de la Seine du 8.1.1952, modifié par les arrêtés des 23.12.1953 ; 30.12.1954; 31.12.1959 ; 10.11.1960 ; 5.10.1954 ;13.3.1964.

 

Le dernier s'est déroulé en 1969;

depuis cette époque, les postes vacants sont théoriquement pourvus par des Internes nommés pour la totalité des Hôpitaux Psychiatriques de la Région Parisienne.

Voir le texte concernant cette nouvelle formule d'Internat en page 153.

 

ORAL

Il nous paraît inutile de fournir la liste des questions posées, compte tenu de la suppression des épreuves orales.

 

QUESTIONS ECRITES :

(Le concours de 1969 fut donc entièrement anonyme)

ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE DU SYSTEME NERVEUX.

_____

1960  Le rhinencéphale.

1961  Anatomie .de l'artère cérébrale postérieure, physiologie et physio­pathologie vies territoires irrigués.

1962  1 - Anatomie des voies optiques intra-crâniennes sans la vascula­risation

2 - Physiologie limitée exclusivement au cortex visuel .

1963  Lobe temporal et ses structures profondes, à l'exclusion du cortex limbique.

1964  Aire motrice et psychomotrice du lobe frontal (anatomie et physiologie, sans l'histologie.).

1965  Anatomie et physiopathologie de l'artère cérébrale postérieure, à l'exclusion de la physiologie générale de la circulation cérébrale.

1966 L'arc réflexe intra médulaire.

1967  La circonvolution pariétale ascendante droite (chez le droitier). Anatomie physiologie et physiopathologie. sans    l'embryologie ni l'histologie.

1968  Anatomie du lobe temporal à l'exclusion du lobe limbique. Physiologie et physiopathologie des zones de ce lobe en rapport avec le langage.

1969  Thalamus (anatomie et physiologie.).

PATHOLOGIE MEDICALE.

____

1960  Signes et diagnostic de la sclérose en plaques, avec les examens de laboratoire, à l'exclusion de l'anatoritie pathologique, de la pathogénie et du traitement. .

1961 Formes cliniques des pneumonies aiguës, avec examens de labora­toire, sans anatomie pathologique, sans traitement.

1962 Signes. diagnostic et traitement de l'infarctus pulmonaire type Laennec.

1963 Les hépatites à virus, signes cliniques et biologiques et traitement (sans l'anatomie pathologique).

1964 Signes. diagnostic et traitement de l'asthme.

1965 Signes. diagnostic et évolution de la méningite cérébro-spinale à méningocoques.

1966 Signes, diagnostic et traitement de la péricardite aiguë rhumatismale.

1967 Signes, diagnostic de l'hyper-parathyroïdie primitive de l'adulte, sans l'anatomie pathologique.

1968 Signes. diagnostic et traitement de l'insuffisance thyroïdienne acquise de l'adulte.

1969 Signes cliniques et biologiques, diagnostic et traitement du lupus érythémateux aigu disséminé (sans l'anatomie pathologique).

PATHOLOGIE CHIRURGICALE.

____

1960 Signes, diagnostic et traitement des plaies artérielles récentes des membres.

1961 Signes et diagnostic des cancers du rein, avec les éléments d'anatomie pathologique, et les examens de laboratoire, sans le traitement.

1962 Signes, diagnostic et indications thérapeutiques des fractures diaphy­saires fermées de jambe.

1963 Signes, diagnostic et indications thérapeutiques dans les hémorragies des ulcères gastro-duodénaux, avec les éléments d'anatomie patholo­gique et de laboratoire.

1964 Examen clinique d'un traumatisme de l'épaule et indications thérapeutiques.

1965 Diagnostics des pancréatites aiguës et indications thérapeutiques (avec les examens complémentaires et sans l'anatomie patholo­gique).

1966 Signes, diagnostic et éléments du pronostic dans le cancer du col de l'utérus.

1967 Signes et diagnostic des péritonites appendiculaires de l'adulte.

1968 Formes cliniques et traitement des fractures bi-malléolaires.

1969 Signes, diagnostic et traitement des tumeurs malignes du sein (sans l'anatomie pathologique).

PROMOTION 1969.

____

 

1. GUICHARD J. Pierre

2. Mlle LECOINTRE Bernardine

2. de PERSON Jacques

4. DUBUS Patrice

4. LEFORT Guy

6. GOUITAA D. Paul

6. CORDIER J. Claude

8. VIALLARD Alain

8. BRACONNIER Alain

10. Mme de la POIX de FREMINVILLE Jacqueline

10. Mlle MILNER Edith

12. MOULIN J.-Paul

12. Mme BOYER Annie

14. Mlle GIROD Laurence

14. ASPARRE Dominique

16.TRAPP J.Claude

16. Mme VEBER Michèle

18. KSENSEE Alain

19. MARY Bernard

20. BLAT Michèl

22. Mlle TEBOUL Sylvie

22. Mlle PERRAIN Dominique

22. BOGE Jacques

22. GENTIZON J. Michel

25. Mme PRISKER Martine

26. VASSEUR Gilles

27. DHOTE Alain

28. MARLE Gérard

28. Mlle LEBOVICI Marianne

28. Mme CLOT Lise

28. ARVEILLER Jacques

32. ALLILAIRE J. François

32. FERRERI Maurice

32. FERRERI Maurice

32. Mme BEAUCHESNE Geneviève

35. ROSENBLATT Stanislaw

35. Mme BESSIS Françoise

35. POIVET Dominique

38. PICARD Jean

38. Mlle PETCHOT- BACQUE Françoise

38. PHELIPPEAU Marc

41.. DOUCHE François

42. FROHWIRTH Charles

42. DESROSIERES Pierre

44. Mme RATIER Nicole

44. Mlle SEGUIN Danielle

46. GEINDRE Daniel

47. Mlle FINKELSTEIN Liliane

47. CURTET Francis

49. Mme TESZNER Danielle

50. HARLE Antoine

50. LEGOUES Gérard

50. Mlle JOSSELIN Françoise

53. Mlle DE OLIVEIRA Danièle

54.DEBRAY Quentin

54. Mme JOUVE Lucille

56. Mlle SUBIRANA Monique

56. GAMA Alain

56. TAITELMAN Uri (à titre étranger)

59. LACROIX Philippe

59. HECKEL J. François

59. SKHIRI Mohammed (étranger)

59. ABITTAN Jack

59. LEGROUX Eric

59. CAROLI François

59. Mlle CADORET Michelle

 

En hommage à mon rang de nomination dans le concours, le laboratoire Sandoz (dont Albert Hofmann (1906-2008) fut directeur, après y avoir été l’inventeur du « LSD-25 » en 1938 – qu’il appelait du joli nom de psychovitamine, et dont il raconte l’aventure dans : « LSD mon enfant terrible » en 2003) m’octroya une bourse destinée à l’achat de livres de médecine de mon choix, ce qui pour moi avaient la valeur d’un trésor.

Dans le même temps que mon internat, je m’engageai alors dans l’étude de la neurophysiologie, y retrouvai les travaux d’Henri Laborit (Val de Grâce) et y découvris ceux de Michel Jouvet (Lyon).

Les jeux vidéo n’existaient pas encore.

 

- Séparation de la médecine et de la psychiatrie :

L’acquisition de l’indépendance de la psychiatrie en 1970 par rapport au dernier lien qui lui restait avec la médecine, c’est à dire la neurologie (lequel n'était pas mince puisque la neurologie est présente partout chez l'animal) a été considérée par beaucoup comme une grande victoire.

En  réalité cette indépendance toute fallacieuse, en la coupant encore davantage du monde de la médecine la plaçait encore davantage en position de soumission au pouvoir administratif, c’est à dire préfectoral. (clic)

L’intérêt de la neurologie pour la psychiatrie était considérable, dans la mesure où la neurologie est apparue et s’est organisée dans et dès l’apparition des premiers organismes animaux, aussi ubiquitaire que l’est l’électricité dans la nature, laquelle est d’ailleurs son mode de transmission privilégié (électrique et magnétique) constant depuis l’origine.

La psychiatrie – en dépit de son nom et de la législation qui la subjuguait – aurait alors pu prétendre à une certaine complétude dans son regard sur l’être humain.

Mais après la séparation, les autres médecins considéraient que les psychiatres n’avaient plus rien à voir avec eux, qu’ils n’allaient plus s’inquiéter de leur sort, et encore moins les aider solidairement.

On ne peut que regretter cet aspect des choses.

Mais il y a plus encore.

Comme il était prévisible, l’administration n’a pas tardé alors à alourdir le poids qu’elle entendait exercer sur la pratique de la médecine toute entière, d’autant plus facilement qu’elle rencontrait désormais des interlocuteurs qui n’étaient en général pas ou peu formés à l’esprit administratif.

Ainsi, on n’aurait aucun mal aujourd’hui, en interrogeant une secrétaire médicale en psychiatrie, voire une infirmière en service de psychiatrie, à l’entendre répondre qu’une « urgence » en psychiatrie, c’est d’abord l’application des ordonnances des préfets, et l’envoi à i-celui des « certificats légaux ».

A l’inverse, pour une infirmière travaillant dans n’importe quel autre service médical  l’urgence serait d’abord l’investigation des soins que requiert le patient. .

 

[2] NOTE : Le son du texte :

J’ai déjà mis en mp3 le « son » de ce vieux « document sur bande magnétique ».

Pour garantir en totalité tous les anonymats, je préfère attendre d’en présenter une version dactylographiée.

Texte dactylographié des dialogues ( à venir) => http://jdeperson.free.fr/dialogues.pdf

 

[3] NOTE : Le mental et le psychique :

 

C’est précisément à partir de telles considérations que j'ai décidé de faire une différence sémantique entre « le mental » et le « psychique », les différences d'emplois de ces deux mots étant traditionnellement obscures ou indifférentes et aléatoires, en particulier de la part des non professionnels, telles les administrations et les media.

J’ai donc décidé de dédier le mot mental à la partie du moi qui est instrumentale et le mot psychique à ses productions. Ils se complètent en quelque sorte.

J’ai eu l’impression de déjà trouver une inclination vers cet usage chez les professionnels du … « mental et du psychisme ! » bien que non systématiquement.

 

De fait, tout y invite : Le mot mental provient directement du latin, qui est la principale source de notre langue, alors que le mot psychique est d’un emploi beaucoup plus récent et vient du grec :

Son usage est beaucoup plus recherché et élaboré : J'ai tenté une étude poussée sur son origine (psych- : idée de froid) et ses premières applications (les âmes dans la civilisation pharaonique) dans le cours de ces pages.

 

Mais c’est surtout ce que désormais représentent pour moi ces mots dans une théorie qui m'y a conduit :

 

Ainsi dans mon vocabulaire :

 

1) Ce qui est mental est instrumental, d’origine héréditaire, puis modelé au cours de la croissance et de l'histoire individuelle de la personne, et généralement totalement ou très fortement automatisé.

Dans ces conditions d’automatisations biologiques, évidemment tout est inconscient, et plus l’événement a été précoce, plus grande en est l'absence de mémoire - soit dès le départ (depuis la rencontre de l’ovule et du spermatozoïde avant laquelle on ne peut pas parler de la personne) soit à la suite de l’apprentissage (où commence-t-il ?)

Le but de la mémorisation est précisément toujours une automatisation, et donc la création de voies simplifiées et rapides qui échappent à la « conscience de soi »

 

[On doit aussi, mais ce n’est pas le sujet ici, s’intéresser à ce que ce mot signifie : La conscience est d’abord conscience de ce qui n’est pas soi, de même que l’apparition des yeux n’est tournée d’abord que vers le monde extérieur. La conscience de soi est une production très tardive phylogénétiquement, et ontologiquement chez l’homme, au moment du stade du miroir]

 

Mais pourtant l'automatisation est susceptible de laisser des traces intermédiaires (par exemple le calcul mental, le langage, etc.) qui s’effacent avec le temps (oubli par absence d’utilisation, par refoulement inconscient, etc.)

La racine du mot mental est indo-européenne : « MEN- » désigne « l’être humain et même la supposée pensée »

Le mots français qui en découlent (soit en passant par le grec : manie, mémoire ; soit en passant par le latin: mentir, mensonge, main, etc.) sont innombrables (ajoutons encore tous les suffixes en –ment et en -mental, tels que dans le mot instrumental, et même en redondance dans mentalement !

 

2) Le psychique est au contraire la production consciente ou inconsciente du mental, que le phénomène soit ou non de première main : L'inconscience psychique l’est d’emblée ou par refoulement.

 

3) Un des sujets les plus intéressants reste de savoir comment le psychisme pourrait produire des inscriptions héréditairement transmises – à force ou non de répétitions millénaires au cours de générations. Il semble que Freud opinait en ce sens, là où les scientifiques aujourd’hui invoquent la sélection de mutations de hasard.

De telles transmissions influenceraient (en outre) la machinerie mentale de chacun, qui lui est peu ou prou finalement particulière

Dès lors, on pourrait attribuer au psychique un rôle dans une évolution de type darwinienne, dont par ailleurs il n’est pas sûr que les chromosomes (dont Darwin n’a jamais eu connaissance) détiennent l'exclusivité des informations.

En ce sens strict, toute vie serait alors psychosomatique, et plus seulement quelques maladies.

Nos connaissances génétiques sont probablement appelées à beaucoup de nouveaux développements sur ces sujets.

En effet, toute systématisation comme celle-ci ne reste qu'une appréhension globale systématisée des phénomènes observables et survole les myriades d'étapes et connexions intermédiaires, voire de dimensions, que ces deux systèmes imposent.

 

Hippocrate : Un retour à Hippocrate de Cos (460-377 av. JC.) qui fut l’un des plus grands pères de la médecine européenne nous permettra encore de préciser nos définitions :

 

1) Hippocrate est celui qui a découvert globalement l'anatomo-physiologie de la fonction mentale à partir de « l’épi-lepsie », mot qu’il a créé et qui signifie mot à mot « sur-prise » pour désacraliser ce qu'on appelait avant lui le « mal sacré » dont l’origine restait mystérieuse.

Il a parfaitement décrit les crises qu'il a attribuées au dysfonctionnements des connexions situées dans l'encéphale : « τὸν ἐγκέφαλον εἶναι τὸν ἑρμηνεύοντα τὴν ξύνεσιν » « L’encéphale est l’interprète de la connectique (Xynésis) » (clic).

Dans le même sens il a compris que toutes les connexions existant entre le cerveau et le système nerveux périphérique (« relationnel ») dont les cibles sont effectrices, réceptrices et trophiques, étaient croisées.

En cela, nous sommes tributaires de son génie aujourd’hui.

 

2) Par contre, il s'est complètement trompé dans sa compréhension de la psychogenèse de la dépression de l'humeur que nous appelons toujours par le mot « mélancholie » qu'il a fabriqué et qui signifie « bile noire ».

Il l’a systématisée, en imaginant sa genèse à la lumière de la seule théorie philosophique purement dogmatique des quatre éléments, qu’il a cru compléter et parfaire.

Ainsi il a conçu cet état morbide comme provenant de la sécrétion en excès par la rate « splènos », ledit 4 ème organe, d’une substance morbide froide et humide, la bile noire, laquelle il fallait corriger pour reconstituer un équilibre entre lesdits éléments.

De là proviennent toutes nos expressions populaires qui invoquent à tort la responsabilité de la rate, jusqu’au spleen des poètes romantiques du XIX éme siècle. En réalité, la rate n’a jamais rien secrété.

De la théorie des quatre éléments encore en usage en France au XVII ème siècle proviennent aussi les sarcasmes des comédies de Molière dans lesquelles les saignées destinées à retirer l’excès de « chaud et humide » retiraient au contraire au malade ses dernières forces.

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Fin des notes de bas de page

 

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