Musique de fond sonore : Anouchka Shankar.
.
|
NB : Toutes les
commandes de sonorisation peuvent être activées ou désactivées.
Cette page
en contient 3 et la commande du « bruitage du « poumon
artificiel » est insérée dans les notes de bas de page.
|
|
A
partir de 2018, suite de cette page : « Immunité 2 » : Clic
Et ma
page de recherches :
« Physique des signifiants 2 » Clic
|
Þ Page
présente :
« Immunité Maladies
Pollutions »
« Met ton manteau, mon petit, et n’oublie pas ton
portable.
Es-tu sûr
d’avoir bien activé tes logiciels espions ?
« Big Browser » sait ce que tu dois faire. »
|
La loi EVIN du 10 janvier 1991:
Défense de fumer.
Pensez aux autres.
Décret d’application du 29 mai 1992.
|
Þ
Pages d’accueil :
1. =>
pages de médecine : clic
2. => pages sans rapport avec la médecine : clic
3. => Pile-book => Livre d'or : clic
|
Musique
Guinsbourg : La révolution
mexicaine avortée (Clic) :
|
Contact source clic
|
Résumé :
Etant donné que j’essaie toujours de dégager d’abord les bases
nécessaires à la compréhension de ce que je vais exprimer, d’un sujet que je
veux aborder, et que d’autre part je mets directement en ligne ce que j’écris ,
le but que je cherche à atteindre – ce que je cherche à dire - n’apparaît pas
forcément facilement.
Voici les thèmes principaux de cette page , :
On
parle beaucoup de réchauffement climatique
et de pollutions (nombreuses et différentes).
L’un et l’autre sujets sont très probablement dans un rapport de
cause à effet, quoique d’autres facteurs dits « tout à fait naturels et
indépendant des hommes » puissent également intervenir.
De toutes façons les résultats sur le [réchauffement/refroidissements !]
sont les mêmes et il faut tout faire pour éviter le réchauffement.
1. Mais au niveau de la santé
animale - sujet que je connais le mieux étant médecin – on peut dire :
Que la chaleur ou le froid en eux-mêmes sont mieux
supportés par des adultes que par les petits (rapport poids/surface de peau
plus élevé) et par des organismes en bonne santé que par des organismes débilités.
Il est connu que ces derniers – grands fumeurs sédentaires,
insuffisants cardiaques etc.- ont une régulation thermique supportant moins
d’amplitude (plus exigeants donc en radiateurs et en climatiseurs)
Cet effet de la chaleur pure n’est pourtant en lui-même pas
directement toxique et il ne laisse en principe pas de séquelles.
2. Bien
différentes sont les pollutions toxiques qui agissent en général à bas bruit, lentement, mais de façon de
plus en plus irréversible, avec l’accumulation et l’intensification des
désordres produits.
Il y en a surtout de 2 sortes :
·
Les pollutions aériennes : les plus graves : effets immédiats et également dont
il est le plus difficile ou impossible de se protéger. C’est la
première cause de mortalité dans le monde, en augmentation partout, qui dépasse à elle
seule toutes les autres causes de mortalité réunies.
Elle a été pendant longtemps l’objet d’insouciances, probablement
parce qu’on peut souvent ne pas la voir (gaz transparents), la détecter, la
sentir, et plus les sens sont atteints, plus la détection deviendra difficile.
En outre, rien de sérieux ne peut figurer dans les agences immobilières, parce
que les vents sont la cause des disséminations ou au contraire de nettoyage (ou
pire l’absence de vent) et on ne les mentionne pas.
Il n’y a pas de code barre et l’air ne se vend pas (au moins
directement)
Il est donc indispensable de connaître les bases en météorologie
·
Les pollutions alimentaires : Massivement disséminées, elles deviennent finalement
inévitables, mais on peut longtemps les contourner et prendre connaissances des
aliments avant de les consommer. Il est plus aisé de ne pas se nourrir du tout
que de ne pas respirer.
-
Il
faut bien entendu faire la différence entre l’eau qui répond à
un besoin vital immédiat On peut avoir connaissance des analyses des eaux de son
robinet : Seule l’instruction permet d’en comprendre le sens, et là encore
des bases sont nécessaires.
-
-
Et
les aliments durs pour lesquels on a davantage de choix. Ils portent des codes barre.
Le risque de désinformation réside en fait beaucoup dans les détournements de
l’attention dans les publicités et les forums :
-
Ainsi la publicité d’un monstrueux 4x4 ne sera pas présentée dans
un embouteillage… (N.B.
Hors sujet : ça ne se mange pas ! )
-
J’ai
entendu hier une publicité annoncer « garanti sans OGM » :
De qui se moque-t-on ? Car les OGM connus ne sont pas toxiques. Cela
apporte un trouble dans les esprits :La vraie question est que les Organismes
Génétiquement Modifiés le sont afin de pouvoir résister aux pesticides,
glyphosate, round-up, etc.
Cela ne veut pourtant pas dire
exactement « garanti sans pesticides » pour de multiples
raisons.
C’est plutôt
du « dés-enseignement » ?
________________
Quand
j’ai commencé cette page, je n’avais pas pensé qu’elle serait longue,
et désirais seulement rassembler des données accessibles à tout le
monde, à ceci près que le plus important est souvent le plus caché.
Comment
ne rien dire sur des sujets dont je pense qu’ils engendrent inutilement
beaucoup d’injustices et mènent une société au désarroi ?
Je prie surtout le lecteur de ne pas prendre ce que j’écris
pour parole d’Evangile et de prendre le temps d’en vérifier chaque
point, ce qui est devenu
possible grâce à l’esprit qui fut à l’origine d’Internet et ne s’est pas
perdu.
L’invisible :
En
décembre, en France, les températures nocturnes – trop peu annoncées -
impactent généralement beaucoup plus profondément notre vie quotidienne que
les températures diurnes - et cela souvent à notre insu :
Et par vents
d’Est, les températures nocturnes diffèrent beaucoup plus des diurnes que par
vents d’Ouest dont l’humidité a « un effet tampon » considérable.
Tout cela mérite d’être dit.
Habitués
à avoir des chauffages invisibles et automatisés, on ne se rend absolument
pas compte des dépenses énergétiques occasionnées : En hiver, on allume
souvent la lampe : Elle peut consommer 10 à 30W/heure.
Mais
on allume aussi souvent un radiateur électrique de 2000 à 3000 Watts :
Le rapport de consommation entre la lampe et le radiateur est alors de 1 à
100.
Quoiqu’en
disent les conseillers, le ballon d’eau chaude n’a pas sa place au
congélateur J !
Il n’y a pas que la nuit qui occulte : L’esprit s’en charge aussi :
Quelle
est la valeur d’un rayon de soleil furtif à midi dans le ciel de France
à côté d’une longue nuit d’hiver ? Une hirondelle ne fait pas le
printemps !
Quel
est le rapport entre une page météo de J.T. et un réchauffement climatique
terrestre ne serait-ce que de 1° en 20 ans ?
Mais
d’un autre côté, qu’entend-on exactement par réchauffement climatique ?
Quelle est la profondeur des couches terrestres concernées, etc. sachant que
la température au cœur de la terre est de quelques milliers de degrés ?
Le
réflexe entretenu de penser « froid au Nord – chaud au Sud » est
extrêmement trompeur, bien que les différences dans les durées saisonnières
d’apparition du soleil soient intéressantes.
Au
Sud de l’Espagne, les palmiers donnent des dattes. An Nord du Maroc, ils n’en
donnent pas.
La
simple consultation des cartes de Méteo-France en ligne, en dit davantage que
les bulletins TV (« rassurez-vous, votre week-end, vos vacances, etc. »)
Pour
la zone Manche Atlantique, en hiver l’eau est : 1) plus chaude au Nord qu’au
Sud ; 2) Au large que près des côtes ; 3) et en profondeur qu’en
surface : Exemple : clic .
Les
données sur ce site méteo ne sont malheureusement données que par petits
morceaux, et la notion de frontières hexagonales est sans intérêt en météo.
Il
existe heureusement des accords internationaux pour la transmission et le
traitement des données entre les nations .
Cependant, la participation
de la France ( balises, satellites, navires, etc.) laquelle vient en 2
ème place internationale pour la superficie de ses territoires
maritimes, se situe extrêmement bas dans l’échelle mondiale (quelques %),
fait en rapport avec le désintérêt quasi-total de la plupart des français
pour les choses de la mer, dont l’importance pourtant, mondiale aussi bien
que locale, n’est toujours allée que grandissante dans presque tous les
domaines, dans toute l’histoire de l’humanité : C’est pourquoi la Chine
a acheté en Grèce une grande partie du port du Pirée pour pénétrer
l’Europe - situation moins connue au port de Havre - et les Etats Unis
ont installé la plus grande base militaire de toute la Méditerranéenne sur
l’île de Karpathos en 2015 en un lieu géographiquement hautement stratégique
du carrefour tricontinental Europe – Asie – Afrique ; le tout couvert
par des satellites et des sous-marins qui sont le dessus et le dessous des
mers.
Pour les fumées,
sujet encore plus prioritaire que celui des températures, alors que la
respiration est toujours une urgence
absolue en médecine, et qu’il concerne déjà presque toutes les
populations : voir infra.
|
Pollution :
Actualité commentée :
Septembre 2018 : Les
LED : Une catastrophe sanitaire programmée : « Du consentement éclairé à
l’éclairage imposé » : clic.
______________
La pollution aérienne est invisible : Cela reste peut-être son
1er problème.
Elle peut être présente là où on ne l’attendait pas
Et être absente là où on l'attendrait.
Les photographes ne peuvent en montrer que des signes
indirects.
Et quand la pollution a été inhalée, il est trop tard pour
prévenir ses effets.
Au bord des autoroutes, il n'y a plus d'animaux sauvages car
ou bien ils sont morts, ou bien ils ont fui pour limiter les doses absorbées.
Mais même si les animaux sauvages perçoivent encore les
pollutions ils n’ont souvent plus aucun choix.
C’est aussi le cas des poissons pour
les pollutions aquatiques : On sacrifie des poissons pour contrôler la
qualité de l’eau.
Notons que la respiration des plantes est très différente,
mais que des poisons comme la nicotine dissoute dans l’eau les tuent très
rapidement
Les
êtres humains, au contraire de la plupart des animaux ont encore quelques
choix (de moins en moins) (de rester chez eux), mais souvent ne perçoivent
plus rien, et ne prennent donc aucune précaution.
Elle est présente où on ne l'attend
pas (Durant la guerre 1914-1918, les premiers gaz de combat ont surpris tous
les combattants)
Mais si quelqu’un est rendu malade, les autres qui ne sentent
ou ressentent rien ne le comprennent pas.
Ainsi, les proportions des nouvelles pollutions n’ont pas été
dénoncées pendant près d'un siècle, lequel a suffi à provoquer d'immenses
dégâts sur toute la planète.
Il est certain aussi que les populations humaines sont depuis
500.000 ans très anesthésiées par leurs propres feux, qui ont d'ailleurs
toujours été un moyen de faire fuir les animaux.
Mais je ne suis pas sur du tout que l’homme des cavernes ait
bien supporté ses feux tous les jours.
(Mais on continue depuis le Moyen Age (j’ai lu les
rapporteurs de ces temps) à rapporter les rhumes presque exclusivement au
froid (a frigore) alors que les rhumes restent encore souvent mal expliqués
et que –si les virus existent bien - il est notable que les fumées sont
partout en hiver (pour 2 raisons : les feux et les hautes pressions
atmosphériques d’air froid et les marais barométriques de brouillards),
attaquent les muqueuses respiratoires, les fragilisent, etc.
Notons qu’un animal "d'homme-estique" qui se
rôtit devant une cheminée n'est pas exposé aux fumées, car ce sont les rues
qui les reçoivent.
C'est à dire que ces fumées parmi les plus terribles (et
surtout les fumée d’insert, saturées en particules et combustions
incomplètes) sont généreusement distribuées aux malheureux passants et aux
demeures voisines, en toute innocence de celui qui se croit être un gentil
écologiste.
Ces considérations valent surtout pour les combustions de
bois, de charbon, de pétrole, mais aussi de tabac, et même, sans combustion,
pour de plus en plus de parfums.
En ce qui concerne la radio-activité, le problème est pire
encore, au point qu’il n'y a presque plus rien à en dire.
Enfin, fait essentiel, la conjonction 1) de
l’invisibilité et 2) de la perception déficiente fraient la
voie à l’introduction d’un puissant facteur de décision dans les
comportements humains, 3) celui du mensonge et de la dénégation par
le langage, car, par sa nature animale, l’être humain est encore
spontanément confiant dans le langage.
Tous les animaux ont aussi un langage, et pas seulement oral,
mais je ne crois pas que la dimension de la tromperie y soit aussi présente,
et encore moins à l’intérieur même d'une espèce, pour laquelle la solidarité
est généralement vitale.
Pour toutes ces raisons, les pollutions invisibles n’ont guère
été dénoncées, et ont même souvent pu être volontairement cachées ou noyées
de façon simpliste (allergies au pollen très exagérées (Comme s’il y avait
plus de pollens sur un parking qu’en forêt, etc.) durant 100 ans - sauf
celles des ennemis durant les guerres - et ne sont toujours pas assez prises
au sérieux par les gouvernants du monde.
Elles sont responsables d’immenses destructions et souffrances
Les publicités commerciales destinées aux particuliers
sont, par nature, individualistes, alors que le sujet, au niveau des intérêts
nationaux pour ne pas dire planétaires – et les intérêts particuliers qui en
dépendent directement – ne peut recevoir de solution – à notre époque - que
collective.
La question de la pollution aérienne, qu’elle soit liée à
l’industrie ou aux chauffages ne peut recevoir qu’une solution globale, et
plus les solutions seront globales plus elles seront efficaces.
L’exemple du soleil – chauffage -
éclairement est manifeste :
Les dates des saisons sont inversées entre l’hémisphère Nord
et l’hémisphère Sud : Pourquoi ne pas en tirer parti ?
Mieux encore, quand il fait jour sur un hémisphère, il fait
nuit sur l’autre, et la situation s’inverse toutes les 24 H : Pourquoi
ne pas en tirer parti ?
Le meilleur des chauffages, pour chacun, est… son propre
corps !
Or
un corps animal n’a de bons métabolismes que s’il est en bon état de marche,
s’il est apte à respirer à pleins poumons, à respirer le débit d’oxygène
nécessaire aux combustions cellulaires (tout comme un feu de bois, mais plus
proprement) mises en jeu thermostatiquement (mieux qu’un feu de bois :
tout les animaux capables de réguler leur température : mammifères,
oiseaux… ont un thermostat interne) aussi bien pour luter contre le froid que
pour produire la transpiration et lutter contre le chaud.
Or,
toutes les pollutions aériennes, par réflexes, par effet de bouchages, etc.
entravent la respiration.
Pire
encore la nicotine bloque la commande neurologique de la respiration :
la nicotine provoque une paralysie respiratoire. C’est ainsi que meurent les
malheureux animaux de laboratoire soumis à la nicotine.
Naturellement
une bonne respiration améliore aussi toutes les activités, aussi bien
somatiques que mentales.
Une
bonne respiration améliore toute la circulation du sang, et par effet de
conséquences améliore les activités sportives aussi bien que les activités
intellectuelles (la circulation cérébrale a besoin de 20% du débit
circulatoire – car le mental n’est pas immatériel !)
D’ailleurs la
circulation elle-même fait partie du système respiratoire, puisque les
globules rouges font la navette entre les cellules et les poumons pour
apporter l’oxygène et remporter le gaz carbonique (CO2) lequel est notre
stimulant respiratoire ; toute augmentation du CO2 active la
respiration.
Pour
cette raison, les anciens Grecs qui ne connaissaient pas les globules rouges
et voyaient les artères toujours vides sur les animaux morts (car les artères
ont une certaine rigidité) pensaient qu'elles ne transportaient que de l’air
et c’est pourquoi ils les nommèrent ainsi : è artèria –as (f.)
vient du mot o aèr-aèros (m.) qui signifie l’air.q
On
constate donc au final qu’avec la pollution aérienne, c’est tout un cercle
vicieux qui s'installe, et cela de façon collective et solidaire : La
pollution diminue les aptitudes naturelles à l’adaptation ; les défenses
de toutes sortes diminuent ; on augmente le chauffage ou la
climatisation ; on pollue encore davantage ; et ainsi de
suite : La machinerie morbide s'est emballée !
Les
êtres humains sédentarisés et tabagiques (actifs ou passifs) (ce qui va très
souvent ensemble) ont une diminution considérable de la respiration et par le
fait même des régulations thermiques. L’espace des écarts de température
supportés se trouve considérablement réduit. Le nombre des maladies
(microbiennes ou non) de toutes sortes est augmenté etc.
Il
est clair qu’il vaut mieux se chauffer avec son propre corps qu’avec un
radiateur : c’est plus sain, plus propre et beaucoup plus efficace.
Il
est évident que tout cela a des limites, mais il existe aussi des
possibilités d’isolation des lieux de vie et des façons intelligentes de
gérer l'environnement ; mais individuellement c'est totalement
impossible ; En matière aérienne, on est toujours tributaire de ses
voisins !
Finalement
une bonne gestion de l'environnement améliorerait le bilan économique tant au
niveau national ou collectif qu’au niveau individuel.
Les
seuls perdants – commercialement seulement – seraient les vendeurs de
radiateurs, insert, etc.
Une
vague de bonheur envahirait le monde, etc.
Ce
n’est pas un hasard si les anciens avaient considéré comme siège de l’âme l’ensemble
cœur poumons, dont le souffle témoignait de la présence (pneuma-atos,
en grec = spirutus-us, en latin : cf. esprit en français et spirare
= souffler, cf. aspirer, expirer, inspirer, etc. en français
|
_______
Paris, le mercredi 18 juillet 2018 :
Extrait minimal :
Pollution :
bas les masques ?
« L’Anses (Agence nationale de
sécurité sanitaire) a été saisie par les ministères de la santé et du travail
afin d’évaluer le bénéfice sanitaire potentiel du port d’un masque dit
"antipollution", dans la population générale d’une part et pour les
travailleurs intervenant sur la voie publique d’autre part.
Dans ses propos liminaires, l’ANSES
souligne que « l’efficacité » en laboratoire, nécessaire pour la
certification européenne, ne saurait être un gage d’efficience dans la « vraie
vie ». On observe de fait en premier lieu que la plupart des dispositifs
recensés présentent une technologie de filtration visant les particules alors
même que la pollution de l’air ambiant se caractérise par un mélange complexe
de particules et de gaz, etc. … »
Copyright © http://www.jim.fr
Mon
commentaire :
Il faut mettre un mouchoir humide dans le masque ;
Chez soi il faut mettre une serviette éponge
mouillée à cheval sur le ventilateur;
Dans les cliniques ou les supermarchés qui
prélèvent l’air de la climatisation sur les parkings, il ne faut aérer que
lorsque l'air est propre ; etc .
Beaucoup de substances de ces pollutions sont très
avides d’eau comme NO2 (clic) le SO3 (clic) (irritants
pour nez larynx trachée bronches poumons) et l'eau les retient en les
transformant en acide.
Evidement, ce n’est pas très commercial, et il faut
déjà percevoir la pollution, ce qui ne semble plus être le cas de beaucoup
parmi les plus exposés, et pouvoir ou avoir le droit de réagir, quand tout est
verrouillé…
Règle de médecine : En général plus on est
malade et moins on peut se plaindre !
Sur un thème proche
Carte
départementale jaune-verte-orange pour le 27/12/2017
|
|
Je
ne sais pas qui est « Meteoconsult » qui se donne un
petit air national. J’espère qu’on n’est pas contraint de le payer avec nos
impôts.
Le
bulletin n’est pas vraiment national car ne comporte pas Mayotte, La Réunion,
etc. et n’est pas européen, car coupé
de nos voisins.
Le
texte de « Situation » n’est pas didactique (par
exemple pour un enfant scolarisé, ce qui est grave) : il signale 2
dépressions : Pour la première, il dit où elle va, mais pas d’où elle
vient. Pour la seconde, il dit où elle est, mais pas où elle va.
J’ai
fini par comprendre que les chiffres indiqués sur la carte sont ceux des
départements et les vitesses des vents ne sont figurées que dans « Observation ».
C’est
donc « une carte jaune-verte-orange » des départements
de l’Hexagone, aujourd’hui.
Plus
bas, les suites du texte : « votre week-end » (les
travaux aux champs, en montagne ou en mer n’intéresseraient donc
personne ?) sont de la même eau, mais on n’est que mercredi !
|
Campagne en 20 langues : L’enjeu du :
« Qu’a dit, qu’a fait, ton doc. ? » clic Mange-t-il du
« C3H8NO5P » (glyphosate) en salade etc. ? Est-il vacciné ?
|
|
Rappel :
Le Tabac :
http://www.cancer-environnement.fr/267-Tabac.ce.aspx
: 3 Septembre 2018 :
§
Le tabagisme est un cancérogène avéré pour
l'homme (groupe 1 du CIRC)
: c’est la principale cause de cancer dans le monde.
§
Le tabac est le premier
facteur de risque de cancer du poumon (risque multiplié par 10 à 15 pour
un fumeur) et de cancer de la vessie.
Il est également responsable des nombreux autres cancers (ORL, œsophage,
estomac, colon, foie, pancréas, col de l’utérus, etc.)
§
L’exposition à la fumée de tabac dans l’environnement (tabagisme
passif) est aussi un cancérogène avéré. Il
multiplie le risque de mortalité par cancer du poumon par 1,2. En revanche,
le CIRC a conclu à des indications limitées
concernant l’association entre tabagisme passif et cancer du sein.
§
Les enfants nés de parents fumeurs (avant la conception
et/ou pendant la grossesse) ont un risque plus élevé d’hépatoblastome
(cancer rare). Un risque accru de leucémie
infantile est également suggéré par les données de la
littérature.
§
La consommation de tabac non fumé, tel que
la chique de bétel, avec ou sans tabac, et la noix d’arec, est
classée cancérogène avéré pour l’homme
(groupe 1 du CIRC)
§
La dernière enquête du
baromètre santé de l’Inpes montre
une augmentation récente du tabagisme en France, en particulier
chez les femmes.
§
La lutte contre les cancers liés au tabac
figure dans les objectifs prioritaires du 3ème plan
cancer 2014-2019.
_____________
Le tabac a
été reconnu cancérigène en Allemagne dès 1930.
Bien sûr, le tabac
a aussi bien d’autres effets néfastes que le K ,
o individuels (toutes les cellules de tous
les organes sont des cibles)
o et collectifs (gène sociale considérable,
etc.)
o Morbidité et mortalité évitables en
totalité donc.
o Et les chiffres ne disent jamais les
souffrances de tous, y compris celles des victimes passives, qui même
sans avoir de K n'en souffrent pas moins..
o Est-il besoin de rappeler que les
sanction prévues par la loi Evin ne sont jamais appliquées :
On préfère monter les prix du tabac et verbaliser un démarrage sans ceinture.
En
France :
Avec 30
991 morts répertoriés en 2017 pour la France, le cancer du poumon est
la première cause de mortalité par cancer en France et dans le monde.
Le pronostic de
ces cancers est sombre : 17 % des patients sont encore en vie 5 ans après
le diagnostic.
49
109 cas ont été observés en 2017
|
|
<= Journal Le Monde du 08/11/2017 :
Dans le même
N° :
Le Sénat rouvre les vannes des hydrocarbures :
|
|
Par Pierre
Le Hir Les
sénateurs ont adopté, mercredi 8 novembre, une version fortement
remaniée du projet de loi de Nicolas Hulot, à l’avantage des industriels
du secteur pétrolier et gazier. …
Au lendemain de
l’annonce, par Nicolas Hulot, de l’abandon
de l’échéance de 2025 pour la réduction de la part du nucléaire à 50 %
du mix électrique, les sénateurs ont adopté – par 190 voix contre
141 –, mercredi 8 novembre, une version fortement remaniée, à l’avantage
des industriels du secteur pétrolier et gazier, de son projet
de loi sur la fin des hydrocarbures.
- « Les
arguments [mis
en avant par les sénateurs], qui
affaiblissent le texte, ne sont pas recevables si on se tourne vers l’avenir,
a déploré le ministre de la transition écologique et solidaire, à l’issue du
scrutin. Ici et ailleurs, nous nous
entêtons à sacrifier l’avenir au présent. Je suis très
inquiet, parce que nous sommes dans un moment déterminant. »
-
« Mais non, cher ami, la mort, elle, est déjà là,
au présent ! »
La tâche d’un « ministre de la transition
écologique et solidaire » est probablement difficile :
Evidemment le nom donné à la fonction est plutôt évasif…
Mais le rôle devrait à mon avis être sans concession ;
à la hauteur des massacres et destructions qui le sont bien, eux, sans
concessions !
|
La pollution à New Delhi : c’est maintenant.
Joyeux anniversaire : 11 novembre 1918 : 99 ans déjà !
Avant 1914
Mossoul faisait partie
des provinces de l’empire ottoman.
L’Allemagne fait alors le projet de construire une
ligne de chemin de fer Berlin-Byzance-Bagdad
La guerre éclate.
La France devait recevoir Mossoul ; C’est
l’Angleterre qui l’obtient ; La British Pétroleum est
créée ; Depuis, Mossoul n’a cessé d’attiser flammes et
fumées….
|
|
|
|
Les
Abidjanais victimes des particules fines :
Le médecin :
… Avant d’ajouter : « Dans les années 1990, environ 2 % de
nos malades hospitalisés étaient atteints de cancer des poumons. Aujourd’hui,
ils sont près de 10 %. Nous traitons aussi de plus en plus de crises
d’asthme aux urgences. Alors, certes, la population a augmenté, les diagnostics
se sont améliorés, mais l’évolution des modes et des cadres de vie, avec le
tabagisme et la pollution de l’air, n’est pas étrangère à ces
augmentations. »
Lu dans le journal Le Monde du 20 Aout 2017 : Clic
SUJETS CONNEXES ET COMPLEMENTAIRES :
|
Le bulletins
météorologiques répétitifs sont toujours centrés sur les chiffres des
température (sans dire ni à quelle heure ni la durée) , chiffrées comme les
performances d’une équipe de sport de compétition, alors que c’est l’une des
choses devenues les moins importantes qui soient en 2017 en ce qui concerne
notre respiration au quotidien.
C’est à peu près
comme si on donnait la photo d’une maison (en 2D) sans dire ni où elle est, ni
ce qu’il y a autour, ce qui sont pourtant parmi les caractéristiques les
plus essentielles de l’habitabilité.
(exemple Fukushima : la radioactivité ne se voit pas sur une carte
postale ).
Par contre on vend
des capteurs de pollution pour smart phone ! Les gens ne ressentent-ils donc plus rien ?
Le réchauffement
climatique lui est un important problème à long terme.
Mais le manque
d’explications - d’instruction – est tel que les bulletins météorologiques
répétitifs entendus parlent « de mercure » pour désigner
indifféremment « la pression atmosphérique » ou « la
température »
J’ai même entendu
parler de « chaleur difficile à respirer » !
La respiration (des
plantes ou des animaux) consiste en échanges cellulaires gazeux (dans les deux
sens), qui chez les animaux transitent en général par les poumons et les
globules rouges.
Le trajet des
globules rouges est connu depuis que la « petite circulation »
(= « circulation pulmonaire ») a été décrite par le Syrien
Ibn Nafis, connaissance apportée en Europe par le Catalan Miguel
Servet, lequel fut livré par les soins de
Calvin à la Sainte Inquisition qui le brûla à Genève.
L’oxygène et le gaz carbonique
sont connus depuis les travaux de Lavoisier, guillotiné en 1794 par la
Convention au motif qu’il avait été fermier général de Louis
XVI.
En réponse à sa demande de délai afin de terminer une
expérience en cours, son juge lui déclara : « la République
n’a pas besoin de savants ! »
Que
devient le pétrole que nous consommons ?
Où
passent le fuel de nos chaudières domestiques
et
le bois brûlé dans nos poêles et nos cheminées ?
La réponse est
extrêmement simple :
- Chaleur
- Energie
- Particules dites fines qui représentent environ 99,9999…%
de la masse restante du combustible brûlé.
- (Dans le cas du bois, on ajoutera aux goudrons et aux
cendres, la vapeur d’eau (évidemment chargée de goudrons),
Le piège des produits pétroliers (usines, navires,
avions) ou de l’essence que nous mettons dans les réservoirs de nos
automobiles réside dans le fait que, en général, on ne les voit jamais !
Mais quand le réservoir est vide, où est passée
l’essence ?
Le charbon on le voyait.
Le foin qu’on donnait au cheval on le voyait.
Les tomates que l’on mange pour produire la seule
énergie dont nous avons vraiment besoin, on les cultive ou va les acheter.
L’essence, elle, on ne la voit jamais.
On me rétorquera, et pour les bienfaits de la
médecine ?
Je resterai très modeste en demandes – compte tenu
des bienfaits d’un côté et des méfaits de l’autre côté.
Le meilleur de la médecine est dans la prévention et on
fait tout le contraire : Hors toute question de « réchauffement
climatique », le monde est de plus en plus malsain, et parmi les 11
vaccins devenus obligatoires, n’en figure aucun contre la bêtise. A ma
connaissance, on ne cherche même pas !
Mais tout part en fumées ou en déchets, animaux,
végétaux ou minéraux : En réalité, pourtant, le terme « déchet »
est toujours un effet de vocabulaire.
Car il n’y a aucun déchet dans la nature – ou, tout est
déchet.
La nature se lave : Le vent balaie ; la mer
est une machine à laver ; Les bactéries mangent les miettes et
remplacent notre fameux aspirateur.
Mais aujourd’hui : Un écosystème est
en train d’en remplacer un autre, qui ne nous laissera aucune place.
1. La
chaleur – si tant est que le mot ait un sens en physique –
n’est que le résultat de l’agitation accrue des atomes, et peut être mesurée.
2. Les
particules aériennes ont une masse qui représente
l’essentiel de ce qui s’est envolé de notre essence .
3. L’énergie
est un équivalent de masse dans la physique
einsteinienne, et aussi un équivalent- dollar ; et même très peu de
dollars car l’énergie coûte de moins en moins cher, phénomène surtout
perceptible depuis quelques siècles.
Cf. La définition de « l’esclave énergétique » :
c’est l’équivalent en travail humain pour faire ce que fait une machine.
Pour faire 50 km en automobile (quelques € d’essence) il
faudrait quelques dizaines d’être humains qui la pousseraient sur 50 km à 5 km/h.
Mais il faudrait nourrir ces êtres humains qui
transformeraient leur nourriture en énergie… et bien d’autres choses.
Le raisonnement est d’ailleurs le même à partir d’un feu
de bois, d’un feu de charbon ou de n’importe quelle source énergétique – et les
résultats, variables suivant la source sont en gros les mêmes sur notre santé
avec tous les feux que nous allumons ; (soleil et cascade sont très
différents)
Lorsque l’on fait un feu de bois « à la maison »,
on est aussi bien devant le foyer qui évacue les fumées par la cheminée,
qu’on est très mal dehors !
Et on connaît parfaitement les cancers des testicules
des ramoneurs (maladie reconnue professionnelle je crois).
Il en résulte d’ailleurs que le chaumage augmentera
inéluctablement si l’on conserve nos mêmes idéaux.
De quoi découleront aussi beaucoup d’autres choses.
Mais - mon avis est que - le résultat global de la
transformation du monde n’est pas très bon, à côté des dégâts engendrés.
Ne serait-ce que sur le plan énergétique, on s’aperçoit
que la masse transformée en énergie est une fraction ridiculement minime de
la masse du carburant détruit.
Ce qui fait dire que le pétrole a un haut rendement
énergétique est qu’à partir des sources plus traditionnelles comme
les rivières, les marées ou les vents, la masse de « +/-
carburant ; mot impropre ici qui vient du mot carbone, charbon »
utilisée était infiniment plus grande pour une même énergie produite.
Cependant les destructions moléculaires étaient aussi infiniment moindres.
On peut aussi voir les choses tout à fait autrement :
Que diraient les anciens s’ils nous voyaient, ceux pour qui l’eau des
rivières était saine et utilisable librement ?
Considérons le gain en énergie à côté de la masse
détruite et de tous les effets collatéraux : L’air devient irrespirable
et la planète inhabitable .
A supposer que l’électricité ne soit produite que par le
pétrole, combien de super tankers et de pipelines pour arriver à faire
fonctionner nos postes de télévision et nos machines à laver ?
Pour le charbon et le nucléaire utilisés dans la
production d’énergie, les problèmes sont un peu différents, mais pas en
entier : les déchets restent toujours un problème majeur.
Longtemps, on a caché toutes ces machineries à notre
vue, mais aujourd’hui, c’est de moins en moins possible.
Le calcul du rendement énergétique/destruction de
matière est simple à faire :
Un litre
d’essence produit
une énergie grâce à laquelle on fait
un nombre donné de kilomètres.
La masse transformée en énergie est calculable par le
principe d’équivalence de la masse et de l’énergie : e = mc2
ó
m = e/c2.
La masse perdue est égale à l’énergie obtenue divisée
par le carré de la vitesse de la lumière : cette « masse utile »
est donc infime *.
Tout ce qui n’est pas transformé en énergie est
transformé en gaz et composés
organiques divers, dont les goudrons
généralement cancérigènes, c’est à dire plus de 99,9999… de la masse
exploitée.
A cela
s’ajoutent les 2 principes fondamentaux de la
thermodynamique :
1) conservation
de l’énergie : dans un
système fermé, on n’en crée jamais ; Ainsi, on tire l’énergie contenue
dans le pétrole en le transformant en d’autres produits ; mais elle
était déjà là. (Et, théoriquement, on pourrait retransformer les particules
fines en pétrole, en leur fournissant
de l’énergie et de la chaleur).
2) Et : dégradation de
l’énergie sous une forme de moins en moins utilisable (entropie)
Le problème « apporté par le feu »
(exclusivité de l’espèce humaine) par rapport à ce que j’appellerais « les
énergies froides » parmi lesquelles on situera encore les
réchauffements modérés et même les vapeurs d’eau, etc. réside dans son grand
pouvoir destructeur.
Et les nouvelles molécules qu’il produit sont très
majoritairement malsaines :
·
même lorsqu’elles ne sont pas
appelées directement toxiques en pharmacologie (par exemple si
elles ont des effets d’obstructions, etc.)
·
ou directement toxiques,
par les nouvelles molécules qu’il produit :
o
très rapidement :
exemple CO (monoxyde de carbone),
o
plus lentements :
perturbation de l’immunité et cancers multiples.
o
Et on l’oublie toujours :
troubles mentaux rapidement installés – facilement mis en évidence chez les
animaux de laboratoire.
o
D’autres troubles passent par le
système nerveux et sont assez peu connus par le
public :
§
la pollution détruit le système
immunitaire : Comment ? Les faits sont là. Les
explications sont balbutiantes. Cependant on s’en étonnera moins si l’on sait
que toute la moelle osseuse ( qui donne naissance aux Gb. Blancs et
Gb. Rouges du sang) est finement innervée et que ces nerfs sont sensibles
au stress.
§
Le stress diminue l’immunité
§
Or le stress est toujours présent en cas de pollution
·
A cause des difficultés respiratoires,
·
De la mauvaise oxygénation de tous les tissus,
·
Y compris des zones les plus réactives du cerveau (hippocampe)
etc. => excitation et/ou
ralentissement idéïque, désorientation, augmentation de la latence des
réflexes comportementaux, etc.
o
Traditionnellement le problème était déjà présent sans
avoir de dimension permanente et omniprésente avec les feux de bois, les
feux de cuisine, etc. qui n’ont jamais été très bons.
Anecdotiquement, signalons qu’un des seuls cancers qui
diminue significativement est le cancer de l’estomac, depuis que la
congélation a remplacé les fumaisons et les salaisons – qu’aucun animal
n’aurait jamais apprécié, soulignons-le.
*C’est parce que « la masse
équivalente à l’énergie » gagnée ou perdue par un système est minime
par rapport à la masse du support qui l’emmagasine que l’on ne perçoit
pas, en le soupesant, si notre téléphone portable est chargé (plus lourd) ou
déchargé (moins lourd).
Mais si la variation de masse, elle, est infime, les
infrastructures imposées pour ce faire, elles, sont gigantesques, tout comme
notre asservissement.
|
La Loi sur l'Air
et l’Utilisation Rationnelle de l’Energie de 1996 reconnaît à chacun le droit
de respirer un air qui ne nuise pas à sa santé.
Ce texte,
aujourd’hui intégré au Code de l’Environnement (Article L. 221-1 à L. 221-6)
prévoit une surveillance de la qualité de l’air sur l’ensemble du territoire
national et une information du public.
Le ministère de
l’écologie, du développement durable et de l’énergie (MEDDE) est responsable
de cette surveillance et il s’appuie sur un dispositif qui regroupe :
·
A l’échelle
locale, 26 Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de l’Air
(AASQA) chargées de la mise en œuvre de la surveillance et de l’information
du public sur la qualité de l’air ambiant en région ;
·
Au niveau
national, le Laboratoire Central de Surveillance de la Qualité de l’Air
(LCSQA), constitué de l’institut national de l’environnement industriel et
des risques (INERIS), du Laboratoire national de métrologie et d’essais (LNE)
et de l’École des Mines de Douai (Mines Douai).
·
clic
|
|
POLLUTION AIR : France et Europe : Clic
|
Clic : POLLUTION AIR en EUROPE =>
|
|
|
|
|
|
Ce
qui était prévu pour l’été 2017 :
Espagne pluvieuse :
in : Modèle de prévisions mensuelles trimestrielles et annuelles aux
échelles européennes et mondiales :
clic
On est bien
content d’avoir ces prévisions. Quelques explications peuvent aider à
comprendre et à en inférer des déductions (c’est fait pour ça).
Explications
pour comprendre :
Il ne parle que des
pressions au sol :
·
Hautes
pressions très étendues
à l’Est (air lourd, froid et descendant) En fait c’est le régime sibéro-
polaire qui redescend vers l’Equateur.
Le phénomène est même impressionnant.
·
Basses
Pressions (air tiède,
humide et ascendant) en Espagne, Mer Méditerranée et son pourtour.
On peut en
déduire :
·
Directions
des vents au sol : De +
vers – ; et idem pour la pollution ( il ne s’y intéresse pas et n’en parle
pas) qu’on appellera « pics » en temps venu.
·
Températures
ici chaudes, parce qu’en
été : En hiver ce serait le contraire puisque la chaleur ici n’est
due qu’à la percussion directe du sol terrestre par les photons
solaires (donc ni la nuit en été, ni en hiver quand l’ensoleillement est
de brève durée) et ce n’est pas une température due aux déplacements des
masses d’air ou des masses océaniques (Gulf Stream ou autres
courants marins dont il ne parle pas).
Donc,
Traduction en langage pratique :
1 mois de vents
d’Est, ciel clair (celui « qui nous tombe sur la tête » parce
que lourd) fait d’air froid et sec (mais terre chaude au soleil).
Il y a 100 ans
cela aurait été « du grand beau temps d’été »
En 2017, ce
sera : 1 mois de FORTE POLLUTION, air très pollué sec et dessèchant (anhydrides acides),
favorisant les maladies allergiques (asthme), les difficultés respiratoires,
et la préparation de cancers, d’abord pulmonaires et principalement issus des
lignées de la moelle osseuse (myéloblastes) fabricant les globules blancs et
rouges, anticorps (lymphocytes) => lymphomes, leucémies, etc. ainsi que
=> allergies diverses en croissante augmentation et => maladies
auto-immunes variées.
Pourquoi dit-il : « Soyez
rassurés » en parlant des B.P. en Espagne ?
Réponse : Car un médecin aurait dit
exactement le contraire : l’inquiétant est la pollution engendrée par
les vents d’Est et non les vents d’ouest (anciennement vents dominants
surtout à cette époque de l’année) qui, manifestement se raréfient.
« Mais,
Monsieur : la peur et les faits sont des choses différentes !
On ne demande
pas à vos prévisions de considérer notre santé physique ni nos dispositions
mentales »
|
|
Mais
voici ce qui arriva : L’Espagne (remporte la médaille ?) avec 47°C
à Cordoue !
|
|
|
Clic
|
|
In :
previsionsanguedoc.com :
« … Cordoba n'a pas été la ville la plus
chaude d'Espagne ce 13 juillet 2017 puisqu'une valeur de 47.3°C a été observée par le réseau météorologique
AEMET du côté de Montoro.
Notez également les 45.4°C de Badajoz, pulvérisant l'ancien
record de 44.8°C du 1er août 2003.
Du côté de Madrid, il n'avait jamais fait aussi chaud pour un
mois de juillet !
Après les 39,6°C du 7 juillet 2015, le nouveau record
mensuel est désormais de 40.3°C sur la capitale
espagnole … »
|
|
Comprendre
davantage :
En comparant
simultanément les cartes des vents, températures, pluviosité, etc. avec
les cartes de la pollution, on s‘aperçoit immédiatement en France (qui
est « un don du Mexique » (par le gulf stream), et « de
l’Atlantique », que tout oppose les vents d’Est aux vents
d’Ouest (dont les effets se font sentir sur tout l’hexagone au moins)
Ces
considérations n’avaient autrefois aucun impact sur la pollution à l’échelle
continentale,
(sinon locale
=> « Beaux quartiers » à l’Ouest des grandes villes – car il y
avait les fumées de chauffage au bois)
mais sont
nouvelles et de plus en plus marquées depuis le début de l’ère
industrielle (depuis 200 ans) :
·
Les
vents d’Est (vents continentaux) apportent :
o
Pollution
toujours forte (particules et an-hydrides desséchants (venus des
pollutions continentales) car « avides d’eau » : NO2 +
H20 => HNO3 (acide nitrique) ; SO2 + H2O => H2SO4 (acide
sulfurique, vitriol) ; puis l’acide sulfurique attaque le benzène en
produisant l’acide sulfonique, etc.
Cf. Wikipédia.
o
=>
dessèchement du mucus des muqueuses oro-respiratoires, brûlures, pertes des
protections aggravée par la perte de l’odorat et donc des comportements
adaptés de protection.
o
Vents
toujours faibles s’ils viennent d’un anti-cyclone continental (= forte
pression descendante),
sécheresse, soleil diurne constant mais souvent voilé par les
particules, grand écart entre chaleur diurne et froid nocturne en raison de
la sécheresse de l’air.
·
Les
vents d’Ouest (vents de l’Atlantique) apportent :
o
Pollution
toujours faible
o
Vents
variables et souvent importants, humidité et pluies intermittentes,
ensoleillement diurne variable (mais lors des « éclaircies »,
souvent supérieur à celui des occurrences de vents d’Est, malgré une
température plus basse) pas de pics thermiques et peu d’écarts entre la
température diurne et la température nocturne.
·
Evidemment
ces conditions nationales n’excluent pas les pollutions locales dans lesquelles la proximité joue un
rôle essentiel.
|
|
|
Clic : POLLUTION
AIR dans le MONDE =>
|
|
Mais la pollution est transportée par les vents :
=> Clic : VENTS
en FRANCE
|
|
|
|
|
ALERTES PUBLIQUES :
On sait très
bien qu’il y a toujours eu des raz de marée.
Mais depuis 2004,
les systèmes de détection aux fins de préventions – jamais trop
précoces – ont étés multipliés dans le monde.
Il me semble
qu’il serait utile d’en profiter pour prévoir la mise en place d’un
avertissement convenu, directement adressé aux populations – sans attendre le
journal de 20 H - par un système sonore et/ ou lumineux.
Presque toutes
les côtes françaises, méditerranéennes, atlantiques, ultramarines, sont
menacées à des degrés divers
Et une vague
peut arriver dans un temps qui peut se compter en quart d’heure, demi-heure,
ou heures.
Comme nos
côtes sont pourvues de riches installations « en phares et balises »,
on pourrait
utiliser ces installations pour en faire des centres émetteurs (par exemple
en morse) à l’intention d’une large population (ce qui est possible en
lumière et/ou en sirène) d’un message convenu (comme c’est le cas pour les
S.O.S. mais plus précis).
On pourrait
d’ailleurs coder beaucoup de types d’alertes publiques et surtout alors en
faire connaître les codes.
Je n’ai jamais
entendu parler d’un tel projet qui serait plus efficace que le
sempiternel : « Ne vous inquiétez pas ! »
Ca changerait
des messages de festivités à l’usage des clubs de vacances.
Même des petits
avions à banderole pourraient être utilisés si le temps est calme, mais pas
dans une tempête.
|
Les
Océans sont devenus un bon indice des activités continentales humaines
=> CLIC et
cliquer sur « + » pour voir les noms des navires etc.
|
-----------------------
L’important est ce qui se
passe « en haut lieu » au sens propre,
car toute l’histoire de la
terre (énergies et vents) est liée à celle du soleil :
*= Qualité de l’air : Voilà ce qu'il faut savoir pour garder ses poumons
propres :
Dans un
grand courant d'air synoptique, ce qui compte c’est le sens de la flèche 2
dont la longueur se chiffre en milliers de km : Ainsi le sens d’Est en
Ouest est généralement mauvais en France.
Par contre
près de l’œil du cyclone ou de l'anticyclone, sur une distance de 100 km,
ce qui compte, c’est la zone que les vents tournants auront léchée sur
leurs passages, et dans ce cas, peu importe d’où vient le vent, car c’est le
même qui tourne, et même les températures ne changent guère dans le
tourbillon.
La zone
dangereuse s’insinue entre BP et HP où la ré alimentation en air (comme pour
un réacteur d'avion) augmente le débit et renforce les vents en les ramenant
de plus dans un courant ascendant vers le centre de l’ouragan. Le centre de l’ouragan ne sera jamais atteint car l’air se
sera élevé bien avant, et celui-ci ne fait donc l’objet que d’un courant
d’air vertical qui lui ouvre une fenêtre sur le ciel.
Dans
l’hémisphère sud, le même principe existe, mais la zone dangereuse se trouve
à gauche et non plus à droite de l’œil du cyclone pour la seule raison que la
terre continue à tourner dans le même sens, et l’arête qui fend l’espace
est toujours l’Equateur. lequel renvoie les courants d’air
chaud verticaux qu’il produit en direction des pôles, en initialisant ainsi à
chacun un mouvement giratoire (l’un en miroir de l’autre) qui sera plus fort
chaque fois que l’on montera en latitude vers les pôles.
En réalité,
il est très facile de s’imaginer la terre, entourée de sa pellicule
d’atmosphère, tournant comme une toupie et la répartition des masses d’air
qui en résulte.
La situation
ci-dessus est celle d’un vent thermique nocturne qui dure, mais comme les
dimensions se comptent en 100 aines ou milliers de km, il s’y ajoute les
rotations – qui sont le fait de tous
les vents synoptiques
|
Les
dimensions des forces en présence dans un même contexte en expliquent
l’originalité.
Car ces
forces elles-même ne découlent en pratique que des effets thermiques, et
ceux-ci découlent des radiations solaires et des radiations terrestres.
Mais le
contexte dans lequel elles interagissent en modifient l’aspect :
Par exemple la
force de Coriolis n’au aucun effet significatif dans une salle de bain.
(Sa
composante horizontale est proportionnelle à la vitesse du mouvement et au
sinus de la latitude (entre 0 et 1) donc nulle à l’Equateur et
maximale aux Pôles)
On nomme
habituellement différemment des phénomènes au départ de même nature, mais qui
deviennent finalement différents.
Ainsi, on
appelle vents thermiques les modifications locales des vents selon le
jour ou la nuit et vents synoptiques les régimes de vents traversant
les océans, alors que dans les 2 cas l’origine des phénomènes est thermique, essentiellement due à
l’ensoleillement.
Dans le cas
des premiers, la force de Coriolis ne se manifeste pas dans les
hautes et basses pressions qui ont donné naissance à ces vent
locaux ; par contre, elle est patente dans les rotations cycloniques
des hautes et basses pressions qui donnent naissance aux vents
synoptiques. Entre hémisphère Nord et hémisphère Sud, toutes
les rotations sont inversées.
La rotation
est particulièrement spectaculaire dans les ouragans. Par contre le
déplacement du cyclone lui-même sur sa trajectoire est en comparaison assez
lent.
|
Le contexte change la donne : A droite et au Nord de
l’ouragan (dans l’hémisphère Nord, la zone est dite dangereuse
car les vents portent un navire vers le centre de l’ouragan et les vents allant
dans le même sens que le déplacement du cyclone en sont renforcés, ainsi que
la houle ; mais la zone au Sud et à gauche est dite maniable
On peut en principe se situer par rapport au déplacement d’une
dépression en comparant les directions des vents au sol et en altitude, ce
qui est facile si l’on peut observer des nuages.
Signalons là que les effets des ouragans de l’Atlantique
ne sont pas terminés lorsque celui-ci aborde les terres américaines, car ils
sont souvent suivis en retour de forts vents synoptiques en direction de l’Europe
que l’on appelle dépressions à centre chaud.
La houle engendrée dans le Golfe du Mexique nous parvient
en quelques jours (la vitesse de propagation dépend de la profondeur des
eaux).
|
|
|
Soleil rouge
derrière un voile de cirro-stratus inhabituel dans un ciel de midi :
L’ouragan
caraïbe passe près des côtes européennes.
Si en
approchant la côte atlantique, l’ouragan se dirige vers le Nord – et on voit mal
comment il pourrait en être autrement – c’est sa moitié droite, dangereuse,
qui lèchera la côte, celle des vents les plus forts.
|
|
Hautes pressions (= l’air presse
de haut en bas, du ciel vers la Terre ) et Basses pressions ( = l’air
monte de bas en haut, de la Terre vers le ciel)
Comment le dire plus simplement ?
La pression
de haut en bas est due au phénomène de la gravité ; C’est l’attraction des corps : une
plume se dirige vers le centre de gravité de la terre.
(mais - en théorie - est aussi un tout
petit peu déviée par l’attraction de la lune, si la lune passe par là, ou
d’un avion, ou d’un oiseau … en pratique c’est souvent négligeable)
La pression
de bas en haut est un vent ascendant. Son origine est thermique, soit due à un misérable feu de
bois, soit – plus souvent et plus proprement et dans une beaucoup plus grande
mesure - due au réchauffement de
l’air par le soleil, mais indirectement ; C’est d’abord la terre et la
mer qui sont réchauffées par le soleil, et ces deux éléments à leur tour
réchauffent l’air qui passe par là : les molécules d’air chaud s’agitent
alors ; elle se bousculent et le volume d’air occupé par le même nombre
de molécules augmente ; l’air devient donc plus léger que l’air froid
qui l’entoure ; il se fraie une place comme dans une cheminée, et au
défi de la pesanteur – qui continue d’exister – il monte quand même :
C’est une « basse pression ». Cette basse pression, ou
« dépression » n’est que « relative », et sa différence
avec la pression (le poids) d’une « haute pression » peut être
d’environ 10 pour 1000, bien faible, mais tire sa puissance du grand volume
mobilisé.
Bref, l’air chaud est ascendant :
c’est une inversion thermique salutaire, à l’origine de tous les vents.
De même, un morceau de bois que l’on
plonge dans l’eau remonte à la surface, bien qu’il soit tout de même encore
soumis à l’attraction gravitationnelle : On ne peut pas y
échapper ; nulle part.
Mais dans les
premières dizaines de kilomètres qui entourent la terre, le réchauffement
direct de l’air par le soleil est insignifiant, car il est protégé de la
plupart des rayonnements violents. De plus, les molécules se raréfient :
l’air est donc plus froid en altitude.
Au total,
grâce au soleil, l’air chaud est près du sol et cherche à remonter :
c’est « une inversion thermique » et c’est cette inversion thermique qui est responsable de
tous les vents, et par-là même, aussi du nettoyage de l’air que l’on
respire : c’est un bon coup de balai, ou même d’aspirateur, de
purificateur d’air, qui fait beaucoup mieux le ménage (à la campagne,
évidemment) qu’un aspirateur domestique.. ou que mon système de mettre une
serviette éponge humide devant mon ventilateur chez moi, ou de mettre un
mouchoir mouillé devant mon nez pour traverser un grand boulevard à Paris ou
ailleurs.
Mais allez donc
chercher à acheter un ventilateur en hiver : « - Mais Monsieur,
les ventilateurs, on les vend en été ! » (Et en été :
« Mais Monsieur c’est les vacances, etc »)
D’autres, plus
heureux, ne s’aperçoivent de rien.
De même, les
bactéries, à leur manière font le ménage.
(Je me suis
permis d’oser une page sur le sujet tabou « des toilettes »
: clic)
De même encore
les ultra-violets fabriquent de l’ozone qui tue les microbes : « la
nature se lave » en permanence…
et « il fait bon vivre en plein air » … si l’air
propre, sans gaz d’échappements, ni fumées de feu, pratiquement toutes
cancérigènes, par les milliers de goudrons qu’ils et elles dégagent – ce qui
encrasse les poumons … que l’on ne peut pas laver (+++).
A des altitudes
plus élevées, d’autres rayonnements interviennent, et l’air se réchauffe à
nouveau.
Mais la
nature a donnée vie à l’homme en un temps et là où il s’y trouvait bien,
sinon il n’y serait pas né.
Ne l’oublions
jamais.
On ne pourra
jamais faire mieux pour l’homme, que ce qui s’est produit là où il est né et
au moment où il est né.
C’est comme ça
pour toutes les espèces.
Ensuite, elles
s’adaptent tant bien que mal aux changements, et souvent disparaissent.
_______________________________
Ainsi Très schématiquement :
En réalité, c’est quand le ciel apparaît clair « qu’il
nous tombe sur la tête » (avec les micro-particules aussi) (il est
quelquefois mais rarement couvert, mais calme) et c’est quand il est nuageux
que l’air est ascendant, car :
1. L’air
descendant est lourd, froid et sec (Haute pression = Anticyclone) :
Ainsi les rayons diurnes du soleil traversent là assez facilement
l’atmosphère (ou du moins la troposphère : en moyenne 10 km aux pôles et
17 km à l’équateur) (au dessus, les molécules se raréfient beaucoup) ;
et les nuits restent tièdes si cet anticyclone est sur la mer (ou de petites
îles comme les Açores) surtout en été quand si les nuits sont brèves
ou près de l’Equateur, mais se refroidissent beaucoup si cet
anticyclone est au dessus d’un continent (Sahara) et sa manifestation
est encore plus marquée quand les journées sont courtes, ce qui est le cas en
hiver en Sibérie.
Ces rayons percutent la terre et
donc la réchauffent directement quelques heures en hiver et davantage en été,
mais les nuits sont fraîches dans un anticyclone de forte pression si l’on se
trouve à ciel ouvert, puisque l’air provient de l’altitude et qu’à 10 km
altitude l’air est en moyenne à 60° de moins qu’au niveau de la mer
(phénomène particulièrement sensible dans les déserts).
2. Cependant,
cette inversion thermique (air chaud en bas et air froid en altitude) est
à l’origine de la remontée de l’air chaud en périphérie de la Haute
Pression et c’est ce qui crée les vents horizontaux.
A l’Equateur, en raison du fort ensoleillement,
l’air monte verticalement (ce qui crée les calmes apparents en mer au
passage difficile de « la ligne » (calmes du « Pot
au Noir ») : l’air monte verticalement) chargé beaucoup
d’humidité en zone océanique, et retombe vers chaque pôle en deux étapes,
dont la première retombée, à mi-chemin, crée les climats tempérés. Puis l’air
remonte et retombe enfin aux Pôles.
Dans tous les cas, c’est cette inversion thermique (air
chaud en bas, et air froid en haut) qui crée les vents.
Dans tous les cas c’est la percussion des molécules par
le soleil qui crée leur réchauffement, leur expansion, l’inversion thermique,
et les vents.
Mais la percussion des atomes par les photons a encore
bien d’autres effets : voyons infra :
Si la pollution aérienne continue de croître, après la
fonte des glaciers actuelle, le soleil percutera d’abord les particules de
pollution en haute atmosphère. Cela s’ajoutera aux gaz chauds plus légers que
l’air qui retiennent déjà les Infra-rouges et sont responsables de l’effet de
sphère, la terre va se nimber d’une gangue chaude en altitude (12 km,
ce qui est peu !) (Le contraire de ce qui se passait jusqu’à
maintenant) d’où deux effets :
1. l’air
chaud étant alors en altitude, disparition de l’inversion thermique et
arrêts des vents réguliers (mais apparition de phénomènes
irréguliers aériens très violents)
2. et
d’autre part, moins d’ensoleillement de la terre au sol et donc moins
d’apport d’énergie en surface terrestre, (aux plantes et aux
animaux) et cela
o
non seulement d’origine thermique (refroidissement
des masses thermiques des vents et peut-être des courants océaniques à terme
(« El nino » ne témoigne pas de l’état à venir) :
Refroidissement du sol, glaciation des fleuves, opposée à la fonte des
glaciers en altitude (fonte en cascade des « châteaux d’eau de glace
(Himalaya, Alpes, Taurus, etc) qui sont tous à l’origine des fleuves
(d’où l’immense intérêt stratégique des régions montagneuses (Tibet ;
Anatolie, Kilimanjaro, etc.)
o
mais aussi diminution
de l’arrivée des rayonnements, (entre autres autour des
fréquences visibles, I.R. ; U.V.) (« hiver de pollution »)
diminution de la photosynthèse, de la croissance des plantes et de la vie
animale (pour nous de la fabrication de vitamine D3) etc. de la vie en
général, mais surtout de l’équilibre de l’écosystème actuel.
On parle beaucoup de l’augmentation en fréquence et en
intensité des tempêtes.
Mais l’absence de vents entre les phénomènes violents me
paraît tout aussi grave.
Il semble que les scientifiques soient surpris par la
rapidité de l’apparition de tous ces phénomènes beaucoup plus grande que
prévue.
Il y a 20 ans, on essayait de nous rendre sage en nous
effrayant avec un risque de réchauffement de 3° en un siècle à venir.
Aujourd’hui, au contraire on essaie de nous rassurer en
nous disant que notre décennie n’a observé qu’une augmentation d’un degré ou
à peine plus.
Mais surtout, pratiquement aucune mesure n’est prise pour
s’y opposer, à la mesure de l’échelle nécessaire.
On a l’impression que c’est même le contraire qui est en
marche, au nom d’idées philosophiques stupides tells que le droits à
l’égalité de polluer pour tous, etc. Or ce n’est pas parce que certains dirigeants
ignorants ont été imprévoyants que tous les autres doivent l’être
aussi !
On constate seulement que la faune et la flore
disparaissent à grande vitesse, mais on nous promet de prendre des mesures en
2040.
Il y a peut-être pire encore, c’est la soumission
intellectuelle – et quasi-anesthésiée -
à une situation catastrophique dont on entretient continûment les
causes.
En une époque où chacun se construit sa propre idée sur
l’écologie, le réchauffement climatique et l’avenir de notre planète, je
conseille vivement la lecture de l’irremplaçable document, très complet et
didactique, édité par le S.H.O.M. (Service Hydrographique de la Marine)
(ancien mais toujours mis à jour et réédité) appelé : « N°95 ;
Météo maritime ».
Il enseigne de fait les bases de toutes les forces en
actions dans les phénomènes météorologiques, aussi bien maritimes que
terrestres, puisque ce sont les mêmes.
__________________________________________________________________
petites répétitions :
Peu de gens ressentent la sensation de ce que peut
représenter 1 ;2 ;3 degrés de différence de température
dans notre espace de vie – la zoo-sphère - qui est l’interface entre la
croûte terrestre et la basse troposphère : l’air y permet beaucoup de
régulations, et donc de neutralisation de notre perception des
changements ; Et sinon, on se couvre ou on se découvre ; On se chauffe
ou on allume un ventilateur ou la climatisation, Etc.
Pour les plantes, les animaux, et même les minéraux et
toute l’alchimie du globe, il en va très différemment.
Pour percevoir un peu ce qu’il en va des plantes ou des
poissons, il suffit de rester longtemps dans une baignoire et de faire varier
lentement le thermomètre… car l’eau interdit presque toutes les
régulations ; Un homme à la mer dans une eau à 20° meurt en quelques
heures ; Et chaque degré compte : Cf. les livres et travaux du
médecin de la Marine Nationale, Xavier Maniguet ; Si l’eau est
proche de 0° la survie est de quelques minutes.
Or l’homme dans la nature est pratiquement le seul à
porter des vêtements – Aunque se vista de seda, la mona mona se
queda ! – sinon à avoir une maison.
Il ne se rend donc compte de presque rien : La
température n’est que l’un des paramètres connus ; mais la plupart nous
restent mystérieux et d’autres encore nous sont restent invisibles, et nous
sont aussi étrangers que l’étaient les ondes radio il y a seulement
150 ans.
L’homme incline à agir comme si la disparition de la
faune et de la flore ne l’atteignait pas : Que nenni !
Et c’est encore trop peu dire : Cette eau si
miraculeuse, tantôt collante - sur un T-Shirt ou des cheveux – tantôt
glissante – sous nos pieds – phénomène non réservé à l’eau – et qui devient
rare « sous sa forme douce », et suscite déjà beaucoup de
tensions ou guerres en cours (cf. Les châteaux d’eau du globe : Tibet
et Himalaya pour toute l’Asie du Sud-Est, Anatolie pour
tout le Moyen Orient, sources du Nil pour tous les pays qu’il
parcourt, Alpes et Danube peut-être, etc.) - n’existe qu’entre
0° et 100° - et même moins en altitude.
|
|
|
|
Frères
humains, libres et ego et
égaux, solidaires mais enfumés :
|
Vivre sans poumons ? :
|
« Et ils marcheronnt à tatons
comme des aveugles sur des charbons ardents… » (Deuteronome)
|
1. LE RAT TAUPE NU : reste 30 minutes sans
respirer : clic
2. LA GRENOUILLE avec agénésie pulmonaire
(qui n’a pas de poumons) et qui ne respire que par la peau : clic
3. LES LIQUIDES INJECTABLES
contenant
des molécules d’oxygène : clic
|
Sur
le web :
|
Quels phénomènes biologiques sont à la base de l'olfaction ? ... notamment les fonctions de défense immunitaire, lavage permanent de la muqueuse nasale…
·
https://fr.wikipedia.org/wiki/Olfaction
: On y lit :
…Une personne
normale bloque (par réflexe) sa respiration dès le début de l'inhalation,* alors qu'un déficient olfactif inhalera
plus longtemps avant de détecter l'odeur ou ne la détectera pas [24] **
… En France, des opérations « Nez de
Cléopâtre » demandant à des citoyens de noter leurs sensations
olfactives à la fenêtre ou au balcon une fois par jour, ont permis de mieux
suivre le trajet de certaines pollutions dans des villes industrielles (par
exemple Calais), en cartographiant
ces données, croisées avec celles de la météo[27].
Annoté par nous : * : Ce qui évidemment ne peut pas durer plus de quelques
minutes sous peine de mort !
** : Ce qui ne fait qu’augmenter les dégâts !
·
WIKIPEDIA :
Le lien entre le cancer
du poumon et le tabac est établi, pour
la première fois, en Allemagne dans les années trente[19],[27],[28]
contrairement à la croyance largement répandue qui attribue aux scientifiques
américains
et britanniques
la paternité de cette découverte dans les années 1950[19].
·
La pollution de l’air : Journal d’un
terrien : Pierre Boisse : clic
|
Dans
mon site et sur le web :
|
Cet animal, le « parasaurolophus »
, disposait d’une corne creuse pouvant atteindre la longueur de 1,80
mètre, à la fois caisse de résonance et organe sensoriel tapissé de cellules
olfactives. Son efficacité était encore augmentée par une cloison
longitudinale qui en doublait la longueur utile, et le « parasaurolophus »
pouvait probablement percevoir les odeurs à plusieurs dizaines de
kilomètres : « John Ostrom suggested
that it housed expanded areas for olfactory tissue and much improved sense of
smell of the lambeosaurines, which had no obvious defensive capabilities” (Ostrom, John H., 1962. The cranial crests of hadrosaurian dinosaurs, from the Journal of Postilla, vol. 62, pages 1–29.)
|
L’ozone :
Utile ou
néfaste : c’est selon : Fort pouvoir oxydant, microbicide et
eutrophique.
« L’ozone
et ses applications thérapeutiques » : Thèse de médecine
de Paul de Person 1943 en pdf (avant l’ère des antibiotiques) : Clic
Le sujet, souvent mal vulgarisé, garde de
l’intérêt, en particulier du fait des résistances aux antibiotiques.
C’est en partie
parce que les UV transforment l’oxygène O2 en ozone O3 qu’ils stérilisent les
micro-organismes.
C’est aussi l’air
des plages, de la haute montagne et des blocs opératoires.
|
Actualités
de l’automobile électrique : morte dans l’œuf ? et mon irritation qui en résulte :
On
est en train de rater quelque chose d’important, sur les plans sanitaires,
écologiques, commerciaux… : Pourquoi ?
|
La
Renault Zoé : Orgueil
national, parangon de notre « pseudo-écologie » la Zoé dispose sur le
site Renault de gammes entières de jantes « déco », et autres
« m’as-tu-vu ? ».
Mais
pour le travail et l’utilitaire « bonjour ! » : ni attelage, ni
barres de toit au catalogue : comment transporter son échelle sur 20
km ? alors que justement un véhicule électrique serait parfaitement adapté
à ce genre de travail simple sur de petites distances.
Ce
qui d’ailleurs ne nécessiterait que quelques kilos de batteries – et non pas près d’une
tonne : Il y a des années que je réclame des packs de batteries
modulables ;
C’est
tout l’intérêt de l’électricité d’être facilement modulable et de
permettre d’être léger :
Pas
besoin d’une tonne de batteries si on ne veut qu’aller chez un voisin à 10
km ! .
On
devrait pouvoir réduire les batteries à quelques kilos
Un
voyage de 400 km n’a rien à voir avec un déplacement de 20 km.
Mais
de façon extrêmement pernicieuse – volontaire ? pour détourner
l’attention des vrais causes ? – les critiques récurrentes faites aux
véhicules électriques est la limitation de leur autonome !
En
réalité, les voitures électriques ont potentiellement infiniment plus
d’autonomie que les voitures à moteur thermique.
Et
même les randonneurs pourraient s’aventurer n’importe où avec des panneaux
solaires en étant absolument sûrs de pouvoir repartir après avoir rechargé
les batteries, de nombreuses façons différentes – y compris en pédalant sur
un générateur – ce qui est bon pour la santé – (et valable aussi dans un
petit voilier où c’est justement l’exercice qui manque)
On a
prouvé qu’un avion qui n’utilise que l’énergie solaire pouvait faire le tour
du monde.
Il
en est de même d’un navire électrique (et même sans hélice) qui peut en plus
avoir un mat et des voiles.
Finalement,
au travail, en ville, en kilométrage réduit, en vacances, en kilométrage
illimité, il y en a pour tout le monde.
On
nous rabat les oreilles avec les « responsabilisations » mais on
standardise tout en nous asservissant sous le poids (au propre et au figuré)
des objets les plus lourd en nous faisant faussement valoir des
pseudo-sécurités, etc.
Comment
avancent les TGV ? voir infra.
Aux
écologistes : Sachez que quelle qu’en soit le type de propulsion, une
automobile de 1,5 tonnes pollue toujours plus qu’une automobile de 300 kg * ; car même
l’électricité, il faut bien la fabriquer ! et si la voiture est plus
lourde, les pneus sont plus gros, les plaquettes de frein doivent freiner une
force d’inertie plus grande et sont plus lourdes, s’usent plus, chauffent
plus et polluent plus aussi etc…
J’ai
rappelé ailleurs l’intérêt d’avoir 4 « moteurs-roues »
(petits et légers) ce qui fait économiser 30% de l’énergie ( perdu en
transmissions) par rapport à un moteur central.
Les
nécessités de faire des recherches sur
·
les
possibilités de recharger les batteries tout en roulant : la force de déplacement
du véhicule placé dans un champ magnétique extérieur qui serait fourni (sur
les autoroutes par exemple) engendre ipso facto un courant électrique ;
pouvant rendre ainsi l’autonomie du véhicule illimité dans les conditions de
recharge en route (le principe serait en réalité une variante de celui des
locomotives roulant sur des rails électriques)
·
ou
l’utilisation de voies comme celles des tramways ou même plus simplement
encore de champs électriques.
·
(on
remarquera que dans tous ces domaines, nos connaissances sur les modalités de
communications animales neuronales par champs électriques et par champs
magnétiques ont frayé d’immenses avenues – mais qui en informe le public au
journal de 20 heures ? Nul doute qu’on en verra apparaître bien d’autres
et aussi d’autre nature, même en biologie végétale)
Quand
à l’argent
qui est soutiré de nos poches, toute la question est de savoir où il va, car
s’il a une immense valeur en tant qu’aide aux nécessiteux, il n’a guère de
valeur qu’épi-phénoménale au regard de la grandeur des enjeux que je rapporte
à l’ensemble des « questions de la santé publique ».
A la
limite, il serait certainement plus sain de payer plus pour consommer moins
que de rechercher toujours l’inverse (il en va de même en matière d’obésité).
* Alors
que 50 litres de carburant fossile peuvent avoir une masse d’environ 50
kilogrammes, la même énergie fournie par une masse de particules électrisées
(électrons) est insignifiante à notre échelle : Qui a conscience de
la différence de poids que présente son téléphone portable selon que sa
batterie est pleine ou vide ?
Pour
des batteries d’automobiles pleines ou vides, on reste dans les mêmes ordres
de grandeur, imperceptibles : Il suffit d’appliquer les formules de la
relativité pour s’en convaincre. (On peut négliger aussi la vitesse de
l’automobile par rapport à celle de la lumière). L’équation fondamentale que
tout le monde connaît est donc « énergie = masse x c2 »
d’où l’on déduit que « m = e/c2 » c’est-à-dire quelques joules
divisés par le carré de la vitesse de la lumière. Cela ne pèse pas
lourd.
Pour
aller plus loin : savez-vous que grâce à la MHD
(magnéto-hydro-dynamique) il y a maintenant des bateaux électriques qui se
propulsent uniquement grâce à la force électromotrice produite le long de la
coque (par un champ magnétique couplé à un courant électrique) sans faire
tourner de moteur électrique et donc sans hélice (depuis 1990 au
Japon) ? On envisage de faire de même avec les hélicoptères (qui devront
changer de nom !) (il est possible que cela soit déjà fait, mais dans
notre monde d’enragés, tout ce qui est performant passe d’abord par le stade
de « secret-défense »).
|
Ci-dessous
le livre du canadien Pierre Langlois : « Sur la route de
l’électricité » ; 2006 ; tome 2 ;
présente un aperçu de multiples applications de connaissances simples sur
l’électricité.
|
|
·
Moteurs
roues (projet dévoilé par Pierre Couture en XII 1994)
·
Effet
lifter (expérimental Jeff Cameron 2001)
·
Navire
électrique sans hélice propulsé par la MHD (Tokyo 1992)
·
Chars
de l’armée à propulsion électrique (USA 2004)
·
etc
|
S'IL N’Y AVAIT
QUE PEU A RETENIR :
Ne
pas respirer tue .
La
pollution aérienne tue.
On ne respire pas avec les yeux !
(abus
d’une représentation de plus en plus « audio-visuelle » de la vie et
du monde)
Chaque
cellule respire de l’O2, apporté par les GR (globules rouges) , prélevé au niveau des
alvéoles pulmonaires (inspiration) , en échange du CO2 qui y est rejeté
(expiration).
Ainsi,
en réalité, chaque cellule est de cette façon mise directement en contact
avec l’air extérieur : Le corps humain n’a en réalité ni
intérieur ni extérieur : même toutes les cavités en apparence fermées
sont en réalité en contact direct avec ce qu’on appelle en raccourci « le
monde extérieur ».
La nature
a prévu très peu de filtres – pour des raisons historiques évidentes.
C’est
par un raccourci de langage que l’on dit que l’on respire avec les poumons.
La
peau y participe aussi un peu, et dans les deux sens.
Cette
proximité aérienne – non matérialisée par les codes-barres ou les
relations « vente /achat » - sont beaucoup plus rapidement
impérieuses que les relations alimentaires dont on peut davantage se priver
quelque temps.
La
cancérigènicité des pesticides est une goutte d’eau dans l’océan des toxicités
aériennes.
La
pollution aérienne a des impacts biologiques majeurs à peine révélés et très
largement sous estimés .
On
invoque les allergies aux pollens …
On
donne des noms tirés de la « phytologie » aux chantiers de
construction de parkings, et ces parkings sont appelés « aires de
stationnement naturel », tandis que les « passages piétons »
sont supprimés !
Ce qu’on appelait « b… »
est appelé « convivial » !
Et bien sûr les jolis arbres qui entourent les aires de repos, ou
les arbres épais de forêts qui bordent les routes, sont de véritables murs qui
forment des pièges pour les micro-particules.
Mieux vaux que les routes ne soient bordées que de champs,
permettant à l’air de circuler.
Je suis toujours surpris de voir les gens pique-niquer au bord des
routes.
Ils ne sentent absolument rien.
C’est une chance pour eux, mais peut-être seulement à court terme.
|
|
|
Le cycle du pétrole
(Même chose pour les feux de
bois !)
|
|
|
|
|
|
NB :
1.
Contrairement
aux nuages radioactifs et pluies et eaux radioactives, et à part des phénomènes précis et particuliers (ionisation
de l’air, plasmas, etc.), les phénomènes électromagnétiques (WiFi,
Ondes radios, radars, etc.), n’ont rien à voir avec l’air.
2. Quant au plomb, responsable
du saturnisme (sur autoroutes et dans l’eau des conduits en plomb), il protège
de la radioactivité (tabliers en plomb des radiologues…
3. A Tchernobyl
et à Fukushima, il faut boire dans
des canettes en plomb .
De même, les tuyaux en plomb protègent de
la radioactivité l’eau amenée des nappes phréatiques saines jusqu’au robinet
d’une zone irradiée. (ne jetez plus vos vieux tuyaux !).
Il faut faire des choix.
4. Normalement on peut sentir une orange à 10 mètres : Testez votre
odorat : clic
Quelques lignes pour mieux
comprendre:
Elles
concernent la nourriture, mais le problème est encore plus grave pour
l’air qu’on respire ; et encore une fois, on n’a que 12 km
d’épaisseur d’air tout autour de la terre, dont le 1er km n’est
plus d’excellente qualité dans l’hémisphère Nord, et devient beaucoup trop
raréfié après 4 km d’altitude : Le volume d’air propre est donc
incroyablement faible par rapport au volume de notre planète. Le calcul de ce
volume est très simple : Vol. = 4/3π(R13 -
R23) ; R2 étant le rayon de
la terre (6 384,415 km) et R1 étant le
rayon de la terre + 3 ou 4 km.
Notons
que l’air circule librement d’Est en Ouest mais ne traverse jamais
l’Equateur. L’air de l’hémisphère sud est beaucoup plus propre.
Une
des explications de cet extraordinaire paradoxe est sans doute qu’on est pas
encore arrivé à mettre des codes barre sur l’air qu’on (nous et les
animaux !) inspire 40 fois par minute (au repos) 24h/24 et 7j/7 : Tout se passe donc comme s’il
n’existait pas
5. On consacre des émissions
entières sur les OGM qui durent des heures, totalement hors sujet : Les
génomes etc.
Mais
le cœur du sujet n’est pratiquement jamais évoqué :
Pour
connaître le problème des OGM, c’est très simple, il ne faut pas
cliquer sur « OGM », mais sur « Pesticides ».
Alors
là, on trouve tout :
Pour
améliorer les rendements des plants, on crée des espèces génétiquement
modifiées afin qu’ils résistent aux « pesticides » (=
« herbicides + fungicides + bactéricides).
Puis
on les arrose avec de l’eau qui contient ces pesticides : les plants
résistent merveilleusement bien, mais toutes les herbes autour et tous les
vers de terre en crèvent, puis les eaux d’arrosage vont remplir les nappes phréatiques
et ressortir (peut-on en purifier l’eau ?) par nos robinets.
Or
ces pesticides sont cancérigènes à très faible dose.
Certes
les OGM eux, n’étaient pas cancérigènes en eux-même : c’est
probablement exact ; mais les plants le deviennent dès qu’on les arrose
avec de l’eau contenant les « pesticides ».
Mais,
on ne le dit pas, on joue sur les mots, on amuse le public, mais on tait le
sujet.
Cf.
« Tous cobayes » de G. E. Seralini ; Flammarion
éditeur ; 2012. et clic.
6. Pour l’air qu’on respire, on parle pendant des heures
du réchauffement climatique ; C’est exact : la planète se
réchauffe : c’est une préoccupation.
Mais
la qualité de l’air qu’on respire ne dépend pas de la température. La propreté
de l’air est une autre préoccupation vitale.
|
______________________________________________
Exemple :
Voici un
exemple typique tiré d’un bulletin météo (trouvé sur le web, mais je n’en
connais pas la provenance) qui omet ce qui est pour moi l’essentiel :
Il ne
comporte aucune indication sur la direction des vents (et donc sur le contenu
de l’air).
Quasiment rien
sur les phénomènes aériens n’est mentionné.
J’ai vu un
téléphone portable qui affiche sans qu’on ne lui demande rien des données
stupides comme « vent : 36 km/h » sans en indiquer la
direction !
Pourtant, en
connaissant la direction des vents, quand on connaît une région, un endroit ,
on pourrait en déduire globalement la qualité de l’air, la densité des
micro-particules, les différences de températures entre le jour et la nuit, des
airs sec ou humide, s’il fera bon s’attarder dehors ou non et où, etc. toutes
choses qui s’en déduisent à l’évidence.
___________________________________________________________
L’AIR ET LA
MER :
« Le
peuple français garde une mentalité trop terrienne… Il ne faut pas lui en
vouloir, personne ne le lui enseigne. Cette éducation devrait commencer dès l'école.
Mais aucun
manuel scolaire ne souligne… » :
En perdant
l’esprit de la marine à voile, et de la dure vie traditionnelle on a perdu cet
esprit de soumission à la nature, bien perçu chez le chanteur Renaud Séchan :
« Quand les vents tourneront, nous
repartirons… ».
Eric Tabarly écrit en 1998 cette phrase dans
un contexte plus long que je cite plusieurs fois en entier :
« Le peuple français garde une mentalité trop terrienne…
Il reste dans
l'ignorance de l'importance stratégique et économique des océans.
Il ne faut
pas lui en vouloir, personne ne le lui enseigne.
Cette
éducation devrait commencer dès l'école.
Mais aucun
manuel scolaire ne souligne que des conflits qui peuvent paraître continentaux ont
été gagnés sur mer.
Si à
Trafalgar les Français avaient gagné, il n'y aurait pas eu Waterloo, etc… »
Aujourd’hui, il
suffit d’appuyer sur un bouton et de payer quelques centimes d’euros de gaz
oil pour mettre en route un navire,
un avion, une automobile, un monstrueux camping-car, qui
auraient nécessité il y a quelques siècles - à défaut de soumissions à la
nature et d’ingéniosités souvent oubliées - une forte traction animale ou les
efforts de dizaines d’être humains pour les déplacer sur quelques kilomètres.
(Cf. la notion de : 1 esclave énergétique = 2500 Watts)
L’énergie étant
devenue quasiment gratuite, et beaucoup de gens ne pensant beaucoup trop qu’à
l’argent, la tentation est devenue pour eux trop forte, d’utiliser ces sources
énergétiques à bas prix, en oubliant totalement les conséquences désastreuses
de leur utilisation qui est devenue un véritable massacre.
Je pense,
depuis longtemps, à partir de constatations limitées mais précises, que la
qualité de l’air a des retentissements importants sur les mécanismes
neurologiques et le fonctionnement mental en général, et même à l’occasion, a
des conséquences de grande gravité.
La situation en
France ne fait que s’aggraver.
Quantité
d’espèces animales et végétales disparaissent tous les ans.
Finalement
l’homme en pâtira aussi – bien qu’il se sache ne pas être le centre du monde ou
de la création, mais son comportement est souvent diamétralement opposé à ses
convictions.
On pourrait
développer le thème dans plusieurs directions.
Lorsque j’ai
voulu faire une étude chiffrée mettant en correspondance des rapports entre
l’air et le comportement, (consultations et admissions hospitalières, incidents
et accidents) il m’a été refusé l’accès aux sources que je demandais.
Les chiffres
utiles restaient non communicables, remplacés par des résumés mystérieux et
généralement rassurants : « Ne vous inquiétez pas ! ».
(En France, on
préfère s’intéresser aux médicaments qu’à l’air de la rue ! : Un
brouillard informe règne alors sur certains protocoles pharmaceutiques – la
consommation des produits pharmaceutiques a une forte incidence économique -
formulés par exemple ainsi : « docteur, pourriez-vous chiffrer
l’angoisse des patients en leur donnant une note comprise entre 0 et
10 ? »).
Tout cela ne
veut rien dire.)
Le résultat est
encore le même lorsque, au contraire, la question est noyée dans une somme de
données monstrueuse, énoncées dans un vocabulaire quasiment incompréhensible –
non expliqué par ailleurs et changeant.
________________________________________________________
UN PEU DE MEDECINE
« L’immunité », c’est « l’invulnérabilité » :
En fait, elle n’est jamais atteinte, mais un minimum de protections est
nécessaire à la vie.
Presque tous les systèmes qui concernent l’immunité sont au départ codés
génétiquement, et de façon non figée.
Génétique ne veut pas dire figé : les systèmes immunitaires sont
extrêmement réactifs, et même aux stress, qui peut entraîner des
effondrements immunitaires graves ( et à mon avis, probablement ausssi des
spermatozoïdes) Cf. infra.
On le comprend mieux d’ailleurs, sans avoir besoin d’arguments de
psychologie fantaisiste, si l’on sait que les cellules du sanguines du
système immunitaire sont produites par la moelle osseuse, et que la moelle
osseuse est finement innervée en totalité. Tout cela n’a rien de « culturel »
au sens littéraire du mot.
Mais au delà de ce genre de détails, il faut comprendre que les
mécanismes immunitaires sont extrêmement nombreux, variés, ubiquitaires, mais
peuvent aussi défaillir…
Les bienfaits de la réactivité offrent une protection limitée par les
aléas de la vie : Aux aléas répond
ce qu’on appelle l’épi-génétique, génétique qui va au-delà de
ce que nous fournissent d’emblée nos chromosomes, même bien avant la
naissance.
Mais ce n’est pas parce qu homme est programmé pour vivre 100 ans
qu’il ne mourra pas à 25 ans si on lui coupe la tête !
La génétique n’est pas toute puissante, et n’intervient plutôt que dans
les cas déjà prévus par l’espèce, et même les espèces ancestrales de
l’espèce, au fil des millions d’années.
Il n’y a pas d’absolu en la matière : Les organismes vivants font
dans le diversité.
Ils y sont obligés pour survivre, se développer, se multiplier et
quelquefois être heureux.
L’immunité chez l’homme ne commence pas avec les « lymphocytes
T » ou les « macrophages » ; tout compte pour les
êtres vivants, animaux et végétaux (qui se ressemblent bigrement !) et
l’homme a vitalement besoin de son écosystème.
____________________
- Parmi
les premières protections, il y a celles que l’on doit au système
nerveux, dans la triple dimension de la fonction des
nerfs : motrice, sensitive et trophique (= pousse et
repousse des lésions ».
- En urgence et en première
proximité, fonctionnent les « réflexes » : Il y
en a de toutes sortes. Les réflexes génériques, innés, sont
merveilleusement automatisés. Ils ne passent pas par le cerveau, et
sont donc beaucoup plus rapides que s’ils faisaient appel à notre
réflexion !
- Citons par exemple « le
réflexe de triple retrait de Sherrington », qui se
manifeste bien quand on plonge un patte de grenouille décérébrée dans
de l’acide : la patte se retire en se repliant subitement.
- Chez l’homme, il se
manifeste par exemple lorsqu’on se brûle le doigt en allumant le
gaz ; la main se replie sur l’avant-bras, et l’avant bras se
replie sur le bras. Ce réflexe est homo-latéral. (Cf. notre page
« Décussation »).
On pourrait citer beaucoup d’exemples connus. Bien davantage de données
restent inconnues et/ou inexpliquées.
- Au niveau trophique
(protection, repousse et réparation) les nerfs ont une très grande
importance, et souvent à grande distance.
- Il est
extrêmement important d’avoir quelques connaissances embryologiques
beaucoup trop oubliées
pour comprendre tout organisme vivant animal (pour la plante, il en va
presque de même) :
l’ovule qui va donner naissance
à un être vivant donne d’emblée origine aux « 3 feuillets »
qui vont former l’embryon :
1. Le neuro-ectoderme,
(ce qui signifie : « nerfs et peau externe ») qui
va former
a) tous « les tissus de recouvrement »
comme la peau (pour nous on imagine cette enveloppe comme « un
sac », alors que c’est complètement faux : la peau respire, etc.),
les poils, la partie externe des dents, etc.
b) et le tissu nerveux. Il y a eu d’ailleurs durant les 2
dernières décennies de belles avancées : Cf. Neurogénèse chez
l’adulte : clic + clic.
Mais ce n’est là que notre
dénomination. Dans la nature, ce ne sont pas NOS mots qui font les
choses !
C’est la première chose à
comprendre en Biologie. Nos mots sont
toujours très maladroits à saisir les choses.
Cette notion, que le neuro-ectoderme
est un seul et même feuillet est très importante : car on comprend bien
alors que, au départ, le tissus nerveux (qui infiltre tout, même le dedans
des os) et la peau sont en réalité une seule et même chose. En réalité,
pour un animal, il n’y a pas véritablement d’intérieur ni d’extérieur .
La distinction n’existe que dans notre manière de nous représenter les
choses ; et notre vocabulaire en découle.
2. Le mésoderme (ce qui
signifie : « peau moyenne ») est le
feuillet qui donnera naissance aux muscles, etc.
Pour l’embryologie du
système respiratoire, voir sur le web les pages dédiées.
3. L’endoderme (ce qui
signifie : « à l’intérieur de la peau ») qui est un
feuillet qui donnera naissance à l’estomac, les intestins, etc. et qui – fait
absolument essentiel – reste lui aussi toujours en contact avec ce qu’on
appelle « l’extérieur » (très mauvaise appellation, d’essence
administrative) – en contact par ses
2 bouts, « ses 2 bouches » pour ainsi dire, celle de
l’entrée et celle de la sortie.
Ainsi, en cas d’affaiblissement des protections, ou répétitions
malsaines de situations toxiques épuisant les défenses, un affection mycobactérienne
par exemple, type lèpre ; tuberculome, cancer, etc.
se développera volontiers sur une lésion préexistante, qu’il faut surveiller.
On sait
aujourd’hui que toute la moelle osseuse ( productrice des cellules sanguines
immunitaires) est entièrement innervée par de très fines ramifications
nerveuses.
- A
un niveau plus complexe joue l’odorat : ses circuits sont très complexes, mais sa fonction
protectrice est une des plus fondamentales qui soient :
Un prédateur, animal ou chasseur de lapins, ne cherchera
pas à s’approcher de sa proie sans tenir compte du vent.
Une proie sentirait son prédateur.
Pourtant, les oiseaux sont généralement dépourvus
d’odorat : volant entre 100 et 180 km/h, à quelques centaines de mètres
d’altitude, ils n’en ont d’ailleurs guère besoin ; mais les yeux de
l’aigle voient 8 fois plus gros que les yeux humains.
- Mille stratagèmes de
défense, d’attaque, de fuite, de symbiose, existent dans la nature.
Au point que si son odorat ne fonctionne pas, l’animal
est souvent en danger : pour mieux sentir les odeurs, l’animal tiendra
compte du déplacement de l’air.
- Un félin qui ne veut pas
être perçu, choisira de se placer « sous le vent de sa proie »
pour ne pas être senti.
- On pourrait élargir les
exemples aux araignées qui tissent leur toile dans les courants d’air,
et même jusqu’aux plantes « qui passent des contrats avec la
nature » « hic et nunc ».
Ces contrats ne sont en général pas exportables.
- L’odorat est presque
indispensable au bon déroulement des fonctions sexuelles.
- A
des niveaux plus élaborés, il y a la vue, le calcul intellectuel, etc.
- On en retiendra aussi que tous ces sens
peuvent être trompeurs, aussi bien que se compléter utilement
- Notre société l’oublie beaucoup
trop : d’où les quelques lignes qui suivent.
-------------------------------
Embryologie des voies olfactives ( Site : clic :
) ici entre 35 jours et 4 mois:
Leur importance ne se dément pas, alors même que
justement on en perd dramatiquement l’usage :
En même temps que son évolution dans le sens d’une
complexification croissante, au fil de la phylogenèse (poissons,
amphibiens, reptiles et même oiseaux qui sont une branche collatérale des
ancêtres de l’homme) la neurogenèse (reproduction des neurones) s’est
progressivement arrêtée de plus en plus tôt chez tous ces animaux.
Chez l’homme elle s’arrête grosso modo aussitôt
après la naissance.
Il semble bien que le rêve – durant le sommeil
paradoxal - dont la démonstration
expérimentale que ses expressions sont génétiquement programmées est de plus
en plus convaincante – prenne le relais du maintien du codage par la
multiplication des neurones du cerveau.
La part que l’on appelle « épigénétique »
de l’information génétique pourrait ainsi en être augmentée.
Au contraire de leur multiplication, on perd entre 1000
et 10.000 neurones/jour, ce qui sur 100 milliards n’est pas dramatique ;
et il faut multiplier par 5000 pour avoir le nombre de connexions)
Mais il y a une exception : les cellules olfactives
et leurs prolongements allant au rhinencéphale sont les seules cellules nerveuses à se reproduire (et
dans le cerveau on a mis en évidence la multiplication de cellules dans
l’hippocampe - auxquelles elles sont connectées)
D’ailleurs chacun peut faire l’expérience en changeant
d’air quelques mois (encore faut-il pouvoir le faire parce que l’air propre
devient exceptionnel) qu’il peut retrouver l’odorat.
Autrement dit, une fois de plus, comme le socle sur
lequel reposent les fondations d’une maison, ce qui est venu en premier reste
le plus fondamental et le dernier à disparaître.
_________________________________________
AIRE PREOPTIQUE MEDIANE
Cf. in Wikipedia
Chez l'homme, cette zone est deux fois
plus volumineuse que chez la femme. Elle commence à différer entre les
garçons et les filles entre 2 et 4 ans….
Chez le rat, l'aire préoptique médiane
est aussi beaucoup plus développée chez le mâle que la femelle (de 3 à 7
fois).
Le volume de l'APOM est corrélée avec le
niveau d'activité sexuelle.
Le stress entraîne une
diminuation de sa taille.
Elle est connectée à l'aire tegmentaire
latérale du tronc cérébral qui contrôle la copulation.
La stimulation de l'aire préoptique médiane entraîne la
copulation, tandis qu'une lésion y abolit la copulation.
Jacques Balthazart, Biologie de l'homosexualité : On
naît homosexuel, on ne choisit pas de l'être, éditions Margada, 2010 (ISBN 9782804700379)
=>
__________________________________
LES SPERMATOZOÏDES :
« Entre 1989 et 2005, le taux de spermatozoïdes des Français a diminué
d'un tiers. En parallèle, la proportion de gamètes bien formés a été réduite
d'autant.
En continuant à ce rythme, les Français
deviendront tous stériles d'ici quelques décennies. »
In « Futura
Santé » à partir du Journal Le Monde ; Blogs : « Sélection
scientifique de la semaine (numéro 281) » le 29 juillet 2017 par Pierre Barthélémy. : Clic
.
Ce phénomène semble actuellement
n’affecter ni les Africains ni les Asiatiques. On s’interroge
sur les causes…
La Descendance de
l’Homme selon Darwin :
l’extinction :
A ce propos, on peut relire Charles
Darwin qui constate de nombreux cas d’extinctions de groupes humains
(in : La Descendance de l’Homme ; races ; disparition des
espèces clic
)
Ce livre (1871) , comme on peut s’en
douter, fourmille de données mondiales telles qu’il a pu les recueillir au
milieu du XIX eme siècle. Leur exploitation est un autre sujet.
En ce qui concerne les disparitions,
il cite abondamment des disparitions d’Australiens, Asiatiques, Américains,
mais jamais d’Européens, c’est à dire l’inverse de ce que disent
les données actuelles :
Les pages sont nombreuses :
« …Sans aucun doute, la conduite dévergondée des
femmes peut en partie expliquer l’amoindrissement de leur fécondité, mais la
cause principale de cet amoindrissement est, sans contredit, le changement
des habitudes d’existence…
…L’extinction est
principalement le résultat de la concurrence qui existe entre les tribus et
entre les races. Divers freins, comme nous l’avons indiqué dans un chapitre
précédent, sont constamment en action pour limiter le nombre de chaque tribu
sauvage : ce sont les famines périodiques, la vie errante des parents, cause
de grande mortalité chez les enfants, la durée de l’allaitement, l’enlèvement
des femmes, les guerres, les accidents, les maladies, les dérèglements,
l’infanticide surtout, et principalement un amoindrissement de fécondité. Si
une de ces causes d’arrêt vient à s’amoindrir, même à un faible degré, la
tribu ainsi favorisée tend à s’accroître ; or, si, de deux tribus voisines,
l’une devient plus nombreuse et plus puissante que l’autre, la guerre, les
massacres, le cannibalisme, l’esclavage et l’absorption mettent bientôt fin à
toute concurrence qui peut exister entre elles. Lors même qu’une tribu faible
ne disparaît pas, brusquement balayée, pour ainsi dire, par une autre, il
suffit qu’elle commence à décroître en nombre, pour continuer généralement à
le faire jusqu’à son extinction complète.
Notes : 383 Docteur Gerlaud, Ueber
das Aussterben der Naturvِlker, p. 82, 1868.
384 Gerland (op. c., p.
12) cite des faits à l’appui. »
La progression est donc toujours la
même : la chute du nombre d’individus est très régulière, puis un nombre
insuffisant d’individu aboutit toujours à l’extinction du groupe – malgré des
tentatives (comme le déplacement) faites pour le préserver.
Mais les causes ne sont globalement
pas connues, à part des suppositions sur les rôles incertains joués par
l’alimentation, les maladies exportées, les toxiques comme le tabac et
l’alcool, jusqu’aux changements de mœurs et l’apport du confort, et un
horizon réduit. L’apathie est soulignée.
Les pollutions au
sens où on entend ce mot aujourd’hui - en particulier aériennes - ne sont jamais mentionnées – peut-être à
tort – et, de fait, les allergies ont été entièrement ignorées jusqu’à la
description du grand choc anaphylactique par Charles Richet en 1925.
Il faut savoir ici que si un seul
spermatozoïde suffit pour féconder un ovule, cela ne veut nullement dire que
les spermatozoïdes « se bousculent pour arriver le premier »
C’est là une idée commune et
banalement inspirée de l’idéologie de compétition permanente de type « olympique »
ou « darwinienne » totalement fausse : Les
spermatozoïdes sont loin d’entrer toujours en compétition, mais s’organisent
au contraire en groupements fonctionnels, comme d’ailleurs tous les êtres
vivants connus.
Leurs comportements adoptent des
stratégies propres à chaque espèce.
Les variétés en nombre, en aspect,
en comportements, des spermatozoïdes sont considérables : Dans certaines
espèces, chaque éjaculât ne contient que quelques dizaines de spermatozoïdes,
etc.
On connaît fort mal ce qui se passe
exactement dans l’espèce humaine, et il est probable que l’insémination
artificielle néglige un grand nombre de paramètres totalement ignorés.
Cf. quelques documentations in la
revue « Sciences et Vie » ; mai 2010 :
|
|
_______________________________________________________________
LECTURES :
Un certain nombre de choses répétées,
- « Le régime méditerranéen »
protègerait le cœur de ceci, de cela … et on voudrait en déduire que
c’est, qui grâce au vin rouge, qui grâce à la salade, qui grâce aux
olives…
Mais comment
se positionnent exactement les études par rapport aux industries du
tourisme ?
Quels
sont les paramètres étudiés et ceux oubliés :
Quelle
est la valeur de la transplantation d’un Crétois en Amérique ou
de l’importation d’un Américain en Crète, sachant qu’un
individu reste toujours attaché à l’écosystème du temps et du lieu de sa
naissance – du pacte signé avec la nature – qu’il reste redevables des
premières bactéries avec lesquelles il a été en contact durant les 5
premières minutes suivant sa venue au monde, etc. choses qui ne sont pas
exportable ?…
Quel
sont les interactions résultant du
milieu et du rôle propre des rythmes circadiens héréditaires, de la
sieste, des horaires des repas, des horaires des pics de secrétions
hormonales de l’insuline, de la mélatonine, et de tout ce
que l’on ignore ?
Il
y a même beaucoup plus intéressant :
Le cycle nycthéméral propre à chacun est « génétique » :
Les rythmes circadiens (température, éveil, etc.) sont sous la
dépendances des noyaux supra-chiasmatiques (NSC).
Leur
destruction chez les rongeurs supprime ces rythmes, mais une injection de NSC
fœtal dans le 3 ème ventricule restaure les rythmes, et, qui plus
est, en apportant les rythmes du donneur. ( Ralph M. R. Foster R. G,
in revue Science,
1992, et
autres.)
De même que l’on a longtemps pensé – et certains le
croient encore – que la diminution de
l’éclairement était responsable de la chute des feuilles des arbres à
feuilles caduques, alors qu’elle est génétiquement programmée.
Et d’autres oubliées :
- Monsieur Gustave Eiffel, architecte de la tour qui
porte son nom, disait que certains jours du haut de sa tour, il voyait
le Mont Blanc : Il n’y a aucune raison de ne pas le
croire !
Certes,
une ligne droite ne peut pas joindre directement le sommet de la Tour
Eiffel au Mont Blanc, à cause de la rotondité de la terre ;
mais « par diffraction » (c’est « le phénomène des
mirages »), quand l’air est très transparent, c’est très possible.
Mais
ce n’est plus jamais le cas : on ne peut en déduire qu’une seule
chose : c’est que l’air est moins transparent qu’il y a 115 ans.
- J’ai lu il y a déjà quelques dizaines d’années que dans
tout l’hémisphère Nord, la visibilité avait en moyenne été divisée
par 2 en 100 ans.
Evidement,
ce n’est pas perceptible devant un poste de télévision, mais en mer et en
montagne, les marins et les alpinistes savent ce qui se disait : ils ont
des repères.
Or,
fait important, seules les « particules plus ou moins fines »,
les fumées de tout acabit, peuvent être incriminées : certaines
personnes en souffrent physiquement, asthmatiques et/ou cancéreux
surtout, etc. D’autres ne ressentent rien, ce qui est très
dommageable : En réalité, même si l’image est belle, une carte postale
n’est pas habitable.
- Quant aux CO2, NO2, etc. ils ne sont évidemment pas
en cause en ce phénomène, puisqu’ils sont des gaz parfaitement
transparents.
En
excès, ils sont dommageables pour d’autres raisons.
Ne
mélangeons pas tout !
|
_____________________________________________________
AUTREFOIS :
De toutes les agressions éventuelles pour l’homme ou les
animaux terrestres, la respiration aérienne semble de loin l’ensemble
fonctionnel pour lequel la nature a prévu le moins de protections et défenses –
en comparaison avec toutes les agressions qui proviennent d’ailleurs, de l’eau
de mer, de la pluie, des coups et blessures d’origine multiples animale
(regroupements en clans, défenses, fuites ; cicatrisations des blessures,
etc .) bactériennes aboutissant à la fabrication d’anticorps, etc…
Ce n’est d’ailleurs pas étonnant car les pollutions
aériennes de masse dont nous voulons parler ici sont un phénomène nouveau sur
terre.
Peut-être y a t-il eu quelques éruptions volcaniques très
destructrices, il y a bien longtemps à l’issue desquelles les redoutables
dinosaures se sont envolés en se transformant en gentils petits oiseaux…
Mais, hormis de tels cas d’exception, depuis le
paléolithique jusqu’à la découverte du feu, la pollution aérienne est restée un
phénomène d’exception.
Et, c’est sans doute la raison pour laquelle notre
vulnérabilité aux gaz et particules est restée étonnamment grande.
Il en va d’ailleurs de même pour la respiration des
poissons dans l’eau, grâce à quoi on décrète que l’eau est « non
potable » quand on voit les malheureux flotter sur le dos.
Il a fallu attendre Lavoisier pour expliquer
l’importance et l’enjeu vital de quelques minutes « d’oxygène ».
Jusqu’à Lavoisier, on pensait que la respiration
servait à apporter de « l’air frais ».
Même la découverte de la « circulation pulmonaire »,
dite aussi « petite circulation » - par Ibn Nafis à Damas
– rapportée à Paris par l’Aragonais Miguel Servet – n’avait pas remis en question cette
conception de « l’air frais ».
Comment ce dernier avait-t-il acquis son savoir
médical ? Le malheureux – qui était peut-être arrivé nimbé de quelques
relents de Coran et de Torah
- se querella avec Calvin qui le livra alors à la Sainte
Inquisition, laquelle le brûla à Genève sur un bûcher de bois,
malheureusement pour lui, très humide, et le supplice dura toute la sainte
journée.
Je crois que le fait que l’on ait abandonné en France,
la vie au contact des chevaux et des ânes, et de tous nos animaux quotidiens et
utilitaires en général, (je ne parle pas des « animaux décoratifs ou de
ces inadmissibles zoos ») a changé radicalement notre appréhension du
vivant, au cours de notre grand virage vers la mécanisation du XX éme siècle. Clic
Beaucoup d’autres pays ont été longtemps plus sages à cet
égard.
Quand je lis les lettres de mon grand-père, j’y vois qu’il
s’attarde à décrire les différences de comportement d’un cheval nourri à
l’avoine ou nourri à l’orge, etc.
Une approche des chevaux : Clic
En langue
française, si j’ouvre un dictionnaire de « patois du sud ouest, j’y lis que « aisine »
signifie « endroit pour être à l’aise » !
Rien n’est plus faux :
Ces
petites écuries font en général 1,5 mètre de haut en bas de pente, et un peu
plus au faîtage.
Comment
être « à l’aise » en un endroit où l’on ne tient que
difficilement debout et seulement au faîtage ?
Mais le mot s’écrit aussi « Eysine », etc.
On le
retrouve sur tous les cadastres, les actes de propriétés etc.
On voit partout des « rues des aisnes »,
« rue des eynes »etc. ; écrit toujours orthographiquement
n’importe comment ; Rien ici d’étonnant, car la langue française était à
l’origine avant tout orale..
Mais, quand la langue française sortit de sa dimension de
« langue de villages », on s’efforça de fixer « sons,
mots et écriture ».
Ici le mot
est tout simplement l’évolution normale du latin « asinus = âne »
En italien, il est devenu « asino ».
« Asinus
=> aisine » , comme « amare => aimer ».
Notons
que la suppression de l’accent circonflexe sur le « a » de
« âne » ne risquerait pas d’améliorer la clarté du mot !
« Aisine »
est l’équivalent « d’asnière » dans le Nord, ou même encore
plus simplement, le nom des animaux a pris le sens de l'endroit où on les
abritait..
Qui,
lorsqu’il prend le RER pour Asnières pense encore à ces animaux ?
En 100
ans, on en aura tout oublié.
On a un
peu trop rapidement tendance à penser (sous influence) que les ânes ont été
remplacés par nos automobiles. C’est à l’évidence parfaitement faux.
Les
ânes connaissaient jusqu’aux itinéraires.
N’est-ce
pas plutôt nous qui remplaçons maintenant – plutôt mal - ces animaux affectueux
en train de disparaître ?
Il n’y
a pas besoin de mettre de panneaux « sens interdit » pour que
les chevreuils fuient les autoroutes, les routes, les villes, les villages.
Ils
nous prennent pour ce que nous sommes : les plus voraces de tous les
prédateurs de la planète, et ils nous fuient et ils meurent.
Nous
les exterminons.
Puis
nous nous exterminerons nous-mêmes.
J’ai vu
à la télé un écolo qui voulait nous montrer qu’il avait redécouvert la
lune : il montrait que les lichens en forêt étaient bon signe.
Il y
avait sans doute autour de lui pas mal de camions de la chaîne de télé, des
caméras alimentées je ne sais trop comment, et une grosse équipe de cameramen,
et lui, la vedette, exécutait des volutes entre les branches en faisant tourner
à plein régime sa tronçonneuse thermique !
Je ne
pense pas que les écureuils appréciaient beaucoup.
Meilleur
être devant un poste de télé que dans l’équipe de tournage.
L’EAU :
|
L’eau que les bœufs rapportaient dans cette grande
barrique
pour un usage durant une longue durée était très bonne.
|
|
|
|
L’eau saumâtre de cette pompe du bord de mer,
d’où l’on tirait nos seules ressources pour la boisson la
cuisine et le lavage,
était très saine !
|
Partie 1 : Pollution et Climat
Certaines personnes ne sentent qu’à quelques centimètres, ce
que d’autres perçoivent à plusieurs mètres.
Et ces personne « semi - anosmiques » vont
peut-être devenir majoritaires, et, pour cette raison, peut-être « la
norme ».
(Images du site
Météorama de Météofrance) : Comment
passe une dépression :
|
|
|
|
1
Mercredi 9 mars 2016 / 1 heure ->
|
2 -> 13 h
|
3 -> 22 h
|
|
|
|
4 -> Jeudi 10 mars 2016 / 7 h ->
|
5
|
->22 h
|
6 -> Vendredi 11 mars 2016 /1 h
|
(Images du site Météorama
de Météofrance) : Comment
passe une dépression :
|
Le centre de la dépression se déplace lentement du NO au
SE en 2 jours (du Sud de l’Irlande au SE de la France (en simplifiant). Il
parcourt environ 1000 km en 2 jours. Son déplacement est visible en altitude
en regardant les nuages.
Au sol, le vent tourne autour du centre de le dépression
(pompe aspirante vers le haut, utilisable en aéronautique) dans le sens
anti-horaire.
A Nantes, la direction du vent au sol viendra
successivement du SO ; du NO ; du N On dit qu’il remonte. Dans
le cas inverse, on dit qu’il recule. Le sens de cette rotation
s’explique tout simplement parce que Nantes est situé au Sud du centre
de la dépression.
Si le centre de la dépression était au Sud de Nantes,
le vent viendrait du SE puis de l’E puis du N.
Si Nantes voyait passer le centre d’une dépression
venant de l’O, le vent au sol viendrait d’abord du Sud, puis plus de vent,
puis vent du Nord, sans différence significative de température entre ces 2
vents de directions successivement opposées, puisque ce serait le même qui
tourne en rond.
Puis, une fois la dépression passée, le vent reviendra du
secteur Est, (de l’Anticyclone de Sibérie), froid en cette saison.
En conjuguant la direction du vent en altitude qui se
déplace de façon rectiligne à la direction du vent au sol qui se déplace de
façon rotatoire, il est simple aussi d’en déduire où se situe le centre de la
dépression (air ascendant vertical,
vent au sol négligeable : flèches noires et flèches vertes).
En réalité, c’est pratiquement le même vent qui se déplace
tant qu’il tourne.
Le vent prenant son origine de l’Atlantique, la
température moyenne restera modérée. Le sous-sol ne se refroidira pas. Ce qui
est beaucoup plus significatif pour les températures moyennes qu’un pic de
chaleur d’une ½ heure lié au rayonnement du soleil, toujours bref en hiver.
En hiver tout ce qui se passe la nuit est essentiel.
Le vent conservera durant tout ce temps ses mêmes qualités
de température modérée, d’une certaine humidité et même de certaines qualités
en sel, en iode, etc.
Par contre, fait capital, tant qu’il vient de la zone
maritime, il restera propre, mais sitôt qu’il léchera le continent, il se
chargera de ses pollutions.
A une autre échelle, beaucoup plus sensible pour chaque
habitant, le plus important pour la qualité de son air reçu sera ce qui se
trouve entre lui et le lit du vent, et plus la source de pollution se
trouvera proche de lui, plus il en ressentira les effets néfastes.
Au contraire, tout ce qui sera derrière lui, même très proche, mais « sous son vent »
(c’est à dire si lui se trouve entre le lit du vent et la
source de pollution) il n’en sera pas atteint : la pollution partira
derrière lui s’il regarde d’où vient le vent.
Comme beaucoup de gens ne ressentent pratiquement pas la
pollution avec leur odorat, ils peuvent y substituer leur intellect.
|
|
|
|
|
Dans ce passage du Figaro,
ni l’orthographe du mot ni surtout la définition et le sens ne sont
correctes :
On lit dans le Figaro
du 7 Mars 2014 : http://www.lefigaro.fr/immobilier/2014/03/07/05002-20140307ARTFIG00127-l-immobilier-de-la-discorde-a-l-ile-de-re.php
: Par Guillaume
de Dieuleveult Mis à jour le 07/03/2014 à 17:52 Publié le 07/03/2014 à
12:12 :
« … Quand on s'est réveillé
les pieds dans l'eau, il y a eu une solidarité phénoménale», se souvient Lionel
Quillet.
Xynthia est un vimer : une
tempête conjuguée à une forte marée, entraînant montée des eaux et submersion
des terres … »
Eh non ! L’écriture « vimer »
n’a jamais existé. Le mot « vimaire » vient du latin « vis
maior » et signifie « force majeure », et/ou/=
« très grande force ». C’est ce même mot « maior »
qui a aussi donné le mot « maire » en français.
Mais on lit dans Wikipédia Clic
:
« La sensibilité électromagnétique ou intolérance
environnementale idiopathique attribuée aux champs électromagnétiques (ou
IEI-CEM, ou électro-sensibilité, ou électro-hypersensibilité ou HSEM ou EHS ou
syndrome EHS ou syndrome d'intolérance aux champs électro-magnétiques, SICEM) est une maladie
dans laquelle une personne déclare souffrir de symptômes qui selon elle sont
causés et aggravés par des champs ou des ondes électromagnétiques. … »
Ensuite,
on y parle de psychiatrie !
Le terme
« maladie » paraît très abusif puisqu’en
des « circonstances saines », justement, ces mêmes personnes
vont très bien.
Mais le
mot magique opère : « C’est psychologique ! » Alors
on bourre les gens de neuroleptiques (rapport ???) ; puis on
les pousse ; alors ils tombent et on explique : « Vous voyez
bien : ils ne tiennent même pas debout ! »
A écouter de près les « électro-sensibles »,
on se rend compte que les troubles qu’ils décrivent, sont pourtant, jusque dans
nombre de détails, à peu près les mêmes que ceux décrits par les personnes qui
souffrent d’allergies comme à la nicotine - ce qui s’explique bien, puisque ce sont précisément les mêmes « circuits
cérébraux » qui sont touchés - quoique de manières
différentes : « synapses
et/ou champs magnétiques ».
On les voit peu, puisque
précisément ils sont contraints de fuir « la société ». Il en
va de même pour beaucoup d’allergiques « exclus du système ».
Beaucoup reste à découvrir, mais
mon confrère « d’Air Parif » n’a pas voulu, il y a une trentaine
d’années, me permettre d’avoir accès à ses dossiers : je voulais mettre en
rapport - sans préjugés - les chiffres de la « pollution parisienne »
et des « consultations, voire des hospitalisations », en
psychiatrie.
Je voulais essentiellement tenter
de mesurer « la nervosité », et ce qu’on appelle « pêter
les plombs ».
Je ne me proposais même pas d’y
prendre en compte les « incivilités » et/ou « simples
accidents motivés par la seule agressivité ».
J’ai eu cette idée lorsqu’à
l’occasion d’un embouteillage long et confus, au moment des fêtes de Noël,
Place d’Italie, une « 4L utilitaire Renault », dont le
conducteur n’était probablement pas le propriétaire du véhicule, s’est
littéralement « jetée sur le flanc droit de ma polo », sans,
évidemment, n’avoir la moindre chance de la traverser !
Fait notable : la pollution
de l’air était considérable, et je me suis dit – par expérience - qu’une
attitude aussi inepte serait difficilement envisageable en rase campagne –
surtout si un vent propre « dépolluait » l’air dans
l’embouteillage.
|
NB : Il faut distinguer les dimensions des longueurs d’ondes λ, des dimensions des
particules.
|
Problèmes biologiques
éventuels
|
PERSONNES
RADIO-SENSIBLES
|
EFFETS BIOLOGIQUES POSSIBLES
|
LEURE
VISUEL
|
IMAGERIES Rx
|
≠ RESONNANCE MAGNETIQUE NUCLAIRE
|
RADIATIONS IONISANTES (Nuisances avérées)
|
L’Energie (en eV) croît De G à D
(NB : 1electon Volt = 1,6.10-19 joule)
|
Radio
Projets de
compteurs LINKY
|
Radar
|
Micro-ondes
|
Wi
Fi
|
|
IR
|
Lumière
Visible
|
UV
|
X
|
γ
|
|
|
|
|
|
|
1 eV
|
|
102eV
|
105
|
M(106)eV, G(109)eV, Téra (1012) eV
|
La fréquence (en Hertz)
qui est l’inverse de λ (en mètre) ) croît de G à D
|
Mega-Hertz
|
|
GigaHz
|
|
|
1011
|
|
|
|
|
La dimension des distances et des particules (en
mètres) décroît de G à D
|
1026
|
1022
|
1021
|
1016
|
109
|
104
|
103
|
100m
|
10 m
|
1
|
102
|
10-4
|
|
10-6
|
|
10-8
|
10-9
|
10-10
|
10-14
|
10-15
|
10-18
|
|
Mesure
la plus
lointaine
13,7.109
Années-lumière
|
Distan.
De la
Galaxie Andro-
mède
|
Diam. Voie
Lactée
|
Année
lumière
|
Diam. Soleil
|
6400 km
=
R.
de la Terre
|
12 km
=
épaiss.
atmos..
|
|
|
1 mètre
|
|
Che
veu
|
|
Gb
rgee
|
|
Virus
|
(nano-mètre)
ADN
|
Angström
Atome
|
Noyau
atome
|
= Fermi
Proton
Neutron
Electron
|
Quark
|
1,6.10-35
Cste
de
Plank
|
Echelle
|
TELESCOPIQUE OPTIQUE ET RADIO
|
MACROSOPIQUE
|
MICROSCOPIQUE
|
MICRO-ELECTRO
|
PHYSIQUE
SUB-ATOMIQUE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Vérifier
les chiffres avant utilisation.
En
suivant cet avertissement, la lecture est sans danger :
Remarque : On peut bronzer dans le
noir ! Puisque les UV sont invisibles : Il suffit d’être devant un
ampoule à UV (ça existe).
De même qu’on
peut se chauffer dans le noir : c’est le cas de tous les radiateurs de
chauffage d’appartement qui émettent des IR sans émettre de lumière visible .
De plus en plus de radars :
http://news.autoplus.fr/news/1463839/Contr%C3%B4le-vitesse-S%C3%A9curit%C3%A9-routi%C3%A8re-Exc%C3%A8s-vitesse-Mobiles-mobiles-Radars :
« … Un radar de nouvelle génération, aussi
appelé "mobile mobile" entrera en vigueur dès le 15 mars dans
18 départements a annoncé la Sécurité routière.
Embarqués à bord d'un véhicule banalisé qui se mêle à la circulation, ces
appareils pourront photographier, par l'avant et l'arrière, sans flash et en
roulant, tous les véhicules en grand excès de vitesse. Et pas uniquement ceux
sur la voie de gauche puisque ce radar peut contrôler jusqu'à trois files à sa
gauche (une seule sur voie limitée à 50km/h).
Seront ainsi flashés les véhicules roulant à partir de 146 km/h sur autoroute, 124
km/h sur une voie express, 102 km/h sur une route nationale ou départementale
ou 61 km/h en agglomération.
Un dispositf qui passe
totalement inaperçu.
« La nouveauté, c'est que ces radars vont
effectuer des contrôles à partir de véhicules insérés dans le flot de
circulation. L'objectif est de se fondre parmi les automobilistes »,
explique Aurélien Wattez, chef du département du contrôle automatisé à la
Sécurité routière.
Pouvant fonctionner également lorsque le véhicule
est arrêté, cette nouvelle arme anti-chauffard passe inaperçue.
Aucun panneau avertisseur évidemment, pas de
flash visible (un flash infrarouge est situé sous la plaque
d'immatriculation)... hormis les deux fonctionnaires en tenue installés à bord,
difficile, voire impossible de repérer l'engin. »
Commentaires :
1.
Pas un mot sur
les risques d’exposition des gendarmes.
2.
Une « condamnation sans
jugement » est totalement anti-constitutionnelle, de même que
l’existence des « péages » (« La circulation est libre
et gratuite »).
Aujourd’hui,
.on masquerait sans doute ce vieux mot avec
quelque chose du genre « AGVLS * » (Autoroute à Grande
Vitesse Limitée et Surveillée*) avec petite note : * payante
et privatisée dans l’intérêt du consommateur
3.
Il serait si
facile d’avoir droit à un GPS qui nous indique la vitesse demandée et, avec
deux voyants, un vert et un rouge, si on est ou non pénalisable …
4.
Quant au
fait de savoir si la mesure perturbe ou non la vitesse… Officiellement non… Mais parlez-en à des
physiciens…
On ne devient pas violent sans raisons : Soit par attaque soit par défense.
________________________________________________________________________________________________________
Partie 2
Solutions : Elles ont
existé jusqu’au XIX ème siècle.
1 :
Constatations :
Les martinets sillonnent le ciel à 180
km/heure.
On entend leurs cris stridents –
qui sont un langage que l’on peut comprendre en partie facilement : alertes
etc. , mais leurs moteurs sont silencieux.
La motricité est musculaire,
mais non hasardeuse.
L’intégration qu’il font de
toutes les données qu’ils intègrent pourrait faire parler d’un véritable
ordinateur de bord.
La transmission est entièrement
électrique.
Cerveau et le système nerveux
périphérique sont fondamentalement des instruments électriques, mais beaucoup
plus sophistiqués que les fils de cuivre.
La base du fonctionnement est un
système ionique de polarisation/dépolarisation cellulaire.
Les connexions se font par des
synapses sensibles aux agents chimiques, internes, endogènes, ou externes,
exogènes.
Mais on a découvert aussi
récemment qu’elles sont sensibles aux champs électriques, créés in situ :
les neurones de l’hippocampe peuvent communiquer par champs électriques.
Naturellement, il y a une grande
marge de modulation du voltage et de l’ampérage. Il y a du 24 volts, mais il y
a aussi du microvolt, et la dimension atomique est souvent beaucoup trop grande
pour apprécier correctement les phénomènes.
Ils n’ont pas chacun à leur
disposition 170 « esclaves énergétiques » comme chaque
français en moyenne .
On ne sait pas comment
fonctionne ce qui leur permet de retrouver exactement leur lieu de naissance,
dès l’age de 1 an, malgré une multitudes d’inévitables adversités, depuis leurs
lieux de migrations annuelles à quelques milliers de kilomètres.
Ils défient tous les brouillages
qui perturbent les G.P.S. ou les compas qui suivent les variations du champ
magnétique terrestre.
L’ensemble est d’une
miniaturisation et d’une fragilité déconcertantes.
Mais, en principe, ces oiseaux
sont sujets à renouvellements, et même à innovations.
Ce que Darwin a cru être « the
struggle for life », « la lutte pour la vie » est
tout simplement la vie elle-même, dans sa créativité et sa diversité ;
et ni la lutte ni la compétition
ne sont ce qui la caractérise le mieux ;
Bien que tout puisse paraître
compétitif, sans même chercher à l’être, à quelqu’un qui se passionnerait de
tout mesurer !
L’être humain : Une des caractéristique de l’être humain est, certainement,
depuis la préhistoire au moins, son addiction pour les « télé-communications »,
limitées d’ailleurs au son et à l’image, et cela à certaines fréquences très
peu nombreuses, mais audibles et visibles pour lui.
Ces performance sont loin
d’atteindre celles de nombreux animaux non humains.
« l’image et le son »
ont d’ailleurs, physiquement, très peu de rapports entre eux.
A commencer par la vitesse de
propagation : Remarquons que dans la vie courante on aime bien dialoguer
« en direct » : On croit alors que l’on voit son interlocuteur
prononcer les mots que l’on entend. Mais ce n’est qu’une grossière
approximation, car la lumière se propageant à 300 000 km/s (dans le vide) et le
son environ à 300 m/s (selon le milieu et la température), on voit toujours celui
qui parle bien avant qu’on ne l’entende.
On peut aussi faire un arrêt sur
image, mais pas un arrêt sur son.
Il semble bien que depuis son
origine, l’homme soit « télé-addict » au point qu’il en est
venu à oublier pratiquement tout le reste.
La radio, la télévision et
internet, en sont des expressions patentes.
Cette limitation des sens et des
instincts – qui ne sont rien d’autre que l’intelligence de la nature qu’on ne
veut pas nommer comme telle, car dès lors, elle devient partagée aussi par les
mollusques - est considérable, et deviendra probablement létale.
Cette télé-addiction a déjà fait
d’immenses ravages, continue à en faire, sans que personne ne prenne vraiment
conscience de la cause : la toxicomanie la masque.
j’ai vu un reportage télévisuel sur
« la disparition du lichen en forêt », mais le héros de la
séquence coupait des branches avec une tronçonneuse thermique, dont je devinais
les gaz d’échappement, évidemment non perceptibles à la TV, c’est-à-dire, outre
le CO et les micro-particules, des gaz sulfureux, nitreux, etc. tous
avides d’eau pour se transformer en acides ; cet ensemble est
particulièrement desséchant et corrosif, et donc contribue à la disparition des
lichens, puis des végétaux, des animaux, l’humidité de l’air, des odeurs, etc..
Ce reportage s’embarrassait
d’images d’un scénario incongru pour illustrer une noble cause.
Ne montrait naturellement pas
les caméras, les camions, tout le personnel et l’ensemble des infrastructures
nécessaires au tournage « pro-écolo » !.
On recense les destructions,
mais on ne parle jamais des causes profondes que sont la limitation du
monde à l’image et au son ; et peut-être aussi d’une intoxication mentale
pseudo-rationaliste, au détriment des sens.
Une enquête diffusée la semaine
dernière annonçait fièrement que « 50% des habitants n’étaient
absolument pas conscients ni dérangés par la pollution parisienne » :
C’est précisément ce chiffre
« optimiste » qui est très alarmant !
Car ces parisiens sont pollués à
leur insu ; mais leurs filtres ne fonctionnent plus. Ils changent les
filtres à air de leur automobile dans un rituel purement rationnel, mais ne
peuvent changer ceux de leurs récepteurs encrassés, ni non plus leurs poumons.
C’est comme le mécanisme de la
détoxication de l’alcool : Si le foie de l’alcoolique joue son rôle de
filtre, l’alcoolique fera une cirrhose du foie (= le filtre encrassé), mais son
cerveau sera protégé.
Si le foie ne fonctionne pas
dans son rôle, l’alcoolique ne fera pas une cirrhose du foie, mais directement
une démence alcoolique cérébrale, le cerveau n’étant plus protégé.
Le même le poumon non protégé
par l’alerte qui conduirait à un comportement protecteur, lui-même insensible,
sera directement atteint par les molécules nuisibles.
Cette télé-addiction de plus en
plus exclusive au son et à l’image, ne peut que s’amplifier, et, par
l’influence qu’elle a sur le façonnement des esprits, pourrait bien devenir la
cause de la disparition de l’homme.
Son désir de voler (qui n’est
pas nouveau : Cf. Icare) découle d’on ne sait quel désir de
plaisir.
Mais ce désir de plaisir risque
de se transformer en nécessité, comme au temps du sauve-qui-peut qui vit
les terrifiants dinosaures devoir se transformer en petits oiseaux du
ciel, tout aussi redoutables d’ailleurs (Cf. le film « les oiseaux »
d’Alfred Hitchcock qui nous y livre sa vision de poète).
Epilogue :
Cf. Le Figaro du 29 juillet 2015 :
Désensibilisation
aux pollens : imparfaite, mais inégalée
Le Figaro - Il y a
20 heures : Environ 15 % des
Français souffriraient d'allergies respiratoires liées en particulier
aux ...
Je doute
fort que tant de malaises respiratoires ne soient vraiment dus aux pollens, sinon
aux particules fines et autres poussières de combustions (cigarettes,
barbecues, feux divers, moteurs thermiques de véhicules terrestres, marins et
aériens).
Certes et
sans doute, les allergies aux pollens existent-elles vraiment ; La
question serait : « pourquoi ? » :
Ils est très probable que les mélanges rendent difficiles
l’exactitude des études, mais se potentialisent pour créer les pathologies.
Et je suspecte fortement que les particules fines
ne soient incluses, dans nombre de cas, dans les statistiques dont on rend
responsables lesdits pollens.
Mes
propres observations m’ont montré que lesdits pollens étaient incriminés
particulièrement au moment où les gens commencent à courir sur les boulevards,
voire autour des immenses parkings pour automobiles ou campings cars, qui se
regroupent par milliers du 1er juillet au 31 août.
Et, bien
souvent, il n’y a pas beaucoup d’arbres à l’horizon.
Il y a une
différence entre être « sous le vent » ou « au vent » d’une
pollution.
Les vents
tournent, mais dans la France de l’Ouest les vents dominants viennent de
l’Ouest.
Ainsi, les
« beaux quartiers » de Londres et Paris se
trouvent-ils à l’Ouest des centre-villes.
C’est
aussi en général le cas dans les grandes villes de la France de l’Ouest.
Qui plus
est, ces « beaux quartiers » sont en général plus verts que
les quartiers ouvriers de l’Est, et les gens y respirent fort bien.
Il me
semble même qu’on « courre » davantage au bois de Boulogne
qu’au bois de Vincennes.
En hiver, j’ai cru remarquer qu’on respirait
mieux devant un foyer de cheminée, que dehors « sous le vent » des
fumées de la même flambée …
Mais il est rare que celui qui alimente l’âtre
de sa maison se soucie de celui qui est dehors.
Il est très facile de comprendre comment
l’obésité peut être une conséquence directe de la pollution atteignant l’oropharynx.
Ce sera un autre chapitre.
Enfin, « l’énergie renouvelable »
n’existe pas : L’énergie se transforme ; en général en énergie de
moins en moins utilisable (augmentation de l’entropie) et
particulièrement en chaleur ;
Par exemple, tous les appareils électriques
(télévision etc.), les moteurs à explosion (tronçonneuse, pelleteuse, etc.)
sont des radiateurs (irradient de la chaleur par rayonnement infrarouge,
donc invisible pour l’œil. humain).
C’est
« le premier principe de la thermodynamique » de Sadi
Carnot : Clic.
______________________________________________
L’argent
/ la vie :
CONSTATATIONS :
Dans le monde : l’inéluctable avenir de :
1.
Augmentation inéluctable du
temps libre (robotistion , mécanisation)
2.
Diminution inéluctable du prix
de l’énergie
3.
L’ennui – ou tous phénomènes
qui résultent du désœuvrement – qui résultent d’une augmentation
considérable du temps libre conjuguée à une sorte de misère
intellectuelle :
·
Faiblesse de l’enseignement scolaire ajouté à la disparition des
transmissions familiales
·
Carences émotionnelle et affective qui résultent de l’individualisatio - isolation
·
Appauvrissement des échanges
(contrairement à ce qui est annoncé en publicité aux fins de vente des gadgets
de communication (dites « réseaux sociaux ») anonymes et/ou
rudimentaires type # « is ok
u no ! ») :
1.
médiatisation omniprésente : même en médecine :
les médecins ne palpent plus, recours inconsidérés aux appareils etc.
2.
raréfaction des sens mis en
éveil => réduits « au son et à l’image » ó Rôle de la trace écrite ( son et image) et des
caméras (reconnaissance faciale)
3.
perte des contacts directs
dans tous les domaines
4. surveillance type
« big brother »
·
pauvreté éducative et
culturelle qui auraient permis de combler le vide par le développement de
centres d’intérêt – dont l’accès devrait en principe être facilité, mais
finalement réservé à une élite financière : désormais tout est payant (exemple historique de la « carte orange »
non rentable) contrôle par un billet.(trace écrite)
·
incompréhensions dans les
relations sociales – du fait de l’impossible identification à
l’homme-type modélisé, à la
fois parfait et banal.
Télé-médiatisations
de tout associées à :
·
Surveillances omniprésentes
·
Etats déclarés d’urgences
(type psychiatriques) permettant :
1.
la soustraction à la justice
ordinaire
2.
l’application de conduites
« d’exception banalisées »
3.
Déresponsabilisations
·
Niveau beaucoup trop bas de « l’instruction publique » pour
aborder le XXI éme siécle (dans tous les domaines) :
(exemples
:
En
prime-time à la tété à la télé : Une mère se plaignait des soins
donnés à son enfant : - « j’suis pas médecin, mais l’orthopédie
c’est les pieds… » - Oh ! et la « pédiatrie »
aussi ?
Peu après, autre chaîne
TV (LCP) au JT : le 16/03/2017 : « Fusillade au lycée de
Grasse » : un invité : « Trois blessés, heureusement
pas de victimes ! (!?) » Ah !
Autre chaîne :
« On envoie des psychologues » Ouf !
Autre
chaîne : « L’Etat d’urgence sera maintenu ! »
déclare notre président. (Quel rapport ?)
La
caissière me parlant des sacs en plastiques : « un carré*
de 2 mètres de côté, ça fait 2
mètres carrés, bien sûr !! »
Cette
année, on pourrait dépasser les 150% de succès au bac ! )
* Certes, je ne suis nullement hostile au
fait de remettre en cause les dogmes enseignés, mais au moins faut-il les
connaître, savoir que l’autre les connaît aussi, et savoir qu’on ne pense pas
que la chose enseignée sot une vérité universelle. On peut alors en débattre ou
non.
Mais le cas le plus banal est celui de la
soumission à des phrases ou des mots vides et souvent déformés : Des
exemples tirés des échanges sociaux quotidiens me semblent extrêmement
graves : Confondre « le droit » et « la justice »,
confondre « la démocratie » et « les droits de l’homme »,
etc.
En France,
officiellement règne la laïcité, et on croit ce qu’on veut – ou rien du tout -
en matière de religion ou de divinité.
Mais
par contre l’enseignement officiel essaie de nous faire rentrer dans la tète un
grand nombre de dogmes non discutables sous prétexte qu’on ne appelle pas
religieux ; C’est une pure question de vocabulaire. Dans son for
intérieur, chacun a toujours le choix de rester sceptique mais encore
faut-il ne pas déformer le dogme scolaire pour pouvoir en débattre. !
Les
remèdes recherchés sont TOTALEMENT INADAPTES voire pire que les
MAUX auxquels ils sont censés remédier :
Ø « Les excellences françaises » se
situent dans des « projets sans aucune valeur biologique ajoutée »
ni d’intégration sociale :
4.
Produits de luxe :
gastronomie, champagne, haute couture
5.
Le tourisme
6.
L’armement
Ø Absence de projets constructifs à long terme :
Etude des valeurs
prioritaires
Un véritable écosystème social
en relation avec toutes les données naturelles ; respect des diversités
biologiques
Reconnaître que la santé n’a
aucun rapport d’origine avec l’argent : mais devenue proie des grandes
entreprises économiques (pharmaceutiques etc. liées à d’autres entreprises du
même groupe mais rien n’empêchant ainsi que le trust aille à la fois dans
un sens et son opposé => doubles profits (
exemple : lutte contre le tabac => profits et exploitation du tabac
=> profits).
RAISON et
EMOTION
L’homme dans et hors le monde
imposé.
_____________________________________________________________________________
____________________________________
Notes de bas de page
Loi Evin et Justice :
Loi Evin et Justice :
La justice ne consiste pas seulement à appliquer les lois, mais d’abord à
reconnaitre qui est agresseur et qui est agressé… !
Ce principe a toujours été valable et le reste encore, en
tous temps et en tous lieux, et en toutes occasions. [c’est ici le psychiatre –
qui a été le témoin de tant d’abus - qui parle]
En voilà ici un exemple tout cru : Aucun non-fumeur
n’a jamais agressé un fumeur en ne fumant pas, mais l’inverse, oui.
Je me souviens
d’un inoubliable passage au Ministère de la Santé : J’ai été reçu,
à je ne sais plus quelle occasion, dans un bureau, par un fumeur de cigare,
lequel trônait, lors de mon entrée, au milieu d’un indicible nuage de fumées de
son cigare.
J’ai alors
demandé gentiment à mon hôte de bien vouloir éteindre son cigare, et de me
permettre d’ouvrir la fenêtre, afin de pouvoir respirer normalement.
Il s’exécuta (
la loi Evin existait déjà) mais moins aimablement, et en s’exclamant – mi
fureur - mi humour : « Qu’est-ce qu’ils sont agressifs les
non-fumeurs ! »
La loi Evin
était un bon début, mais il est rarissime que les sanctions prévues soient
appliquées.
D’autre part
la loi Evin a omis de considérer le fait que les volutes voyagent très
loin avec l’air.
Il reste
« la bonne solution » :
Dans une société livrée à un égoïsme de plus en plus
profondément ancré (il n’en reste guère de solidaire que son naufrage), ce
n’est certainement pas la bienséance ni la charité qui seront opérants.
La peur n’a
jamais mis de terme à la veulerie.
Mais « l’information » pourrait
profiter à l’usager lui-même.
Feu mon bon conférencier d’internat en médecine terminait
son enseignement de la question « Cancer du poumon » par
l’aphorisme « On meurt de sa connerie… ».
Ce à quoi il faut ajouter aussi : « …
et de celle de son voisin. »
Les
considérations biologiques n’ont encore jamais été vraiment enseignées au
peuple français :
Demandez aux
gens dans la rue ce qu’est un globule rouge ; à quoi ils servent ;
combien chacun en a ; ce qu’est le CO2 : Bien peu sauraient
répondre !
Il faudrait
simplement expliquer, dans les média et aux demandeurs de sevrage, les
mécanismes biologiques des effets du tabac :
En
résumé :
§
Les
cigarettes, dégagent par combustion, 5000 goudrons ou plus, appelés
parfums, qui sont hautement cancérigènes mais « n’accrochent
pas » comme la nicotine.
Pourquoi les goudrons de la cigarette sont-ils
cancérigènes ?
Le tabac brûle en dégageant des substances 20 fois plus
radioactives que le niveau de radioactivité admissible pour un espace
aérien : c’est « le choix du nucléaire incorporé »
Les organes cibles atteints sont en priorité les poumons et les
voies d’élimination urinaire : reins uretères vessie.
§
D’autre part la cigarette contient, même froide, la
nicotine, inodore, incolore et sans saveur, qui n’est nullement
cancérigène, mais accroche terriblement, par effet d’accoutumance
(nécessitant l’augmentation des doses pour obtenir un même effet), et entraîne
les difficultés de sevrage, car elle agit au niveau des synapses
neurologiques :
§
Sa
pathologie neurologique est surtout centrale (cerveau).
On connaît son effet « biphasique » depuis bien avant
qu’on n’en comprenne l’explication en voyant les vésicules synaptiques au
microscope électronique :
§
excitation au moment du vidage induit des
vésicules synaptiques, qui transmet l’influx nerveux
§
puis
paralysie au moment où
celles-ci sont trop vides, malgré la prise d’une augmentation considérable des
doses, comme dans toutes les addictions.
Expérimentalement,
la mort survient par arrêt respiratoire.
Lorsque le
moribond n’arrive plus à respirer (ni à fumer) par sa canule de trachéotomie,
on le place sous « poumon artificiel » ;
Surtout ne pas
le débrancher – comme je l’ai vu faire à 6h du matin par la
femme de ménage qui voulait bien innocemment brancher son aspirateur à la
place, sur la même prise de courant.
Je me suis
précipité pour le rebrancher.
Entendre un
poumon artificiel : clic
Cela, en salle de réanimation.
Au total,
fumer « permet » au fumeur d’entretenir une anosmie
(perte de l’odorat) longtemps durable, et un « punch »
immédiat (c’est le cas des patients neuro-leptisés qui fument
pratiquement tous), parfois dès le réveil.
La voie nasale
est la plus rapide du fait d’une irrigation sanguine régionale
importante ; et sa proximité du cerveau est un facteur de facilitation du
passage et de l’imprégnation.
Finalement la
fumée du tabac procure un avantage immédiat, d’abord quand l'air est irrespirable
ou pour procurer un regain de tonus (mental, mais non musculaire car
celui-ci requiert des nutriments), puis en permanence par accoutumance, en
provoquant la perte des sensations olfactives et donc des protections ;
mais provoque à plus ou moins long terme - parfois rapidement -
l’apparition de maladies graves.
Malheureusement,
les fumeurs, lorsqu’ils s’en trouvent fort bien, comprennent fort mal que
d’autres le supportent d’autant moins qu’ils sont moins fumeurs.
L’observation
la plus élémentaire montre que dans les couloirs des immeubles et dans les
ascenseurs, ce sont généralement ceux qui ne portent rien et ont les bras
ballants qui fument.
Dans les lieux
où fumer est fortement interdit - je veux dire surveillés – il est rare que les
fumeurs fassent plus d’un mètre hors d’un immeuble pour se livrer à leur
addiction.
Puis ils
jettent à terre négligemment l’objet de leur ambivalente et dangereuse
addiction.
Cette
négligence est telle que j’ai vu atterrir un mégot tout allumé dans mon
automobile, sur le périphérique, passé par le carreau ouvert à l’occasion d’un
embouteillage.
L’acte était à
l’évidence sans intention.
En fait le
tabac organise une sorte « d’hyper-adaptation » à notre
société de sédentaires un peu bêtes, (au sens non-animal du terme), mais
surtout réduits à l’état que l’on sait.
La muqueuse
nasale est innervée – sensitivement – par le nerf trijumeau, de la 5 ème
paire de nerfs crâniens . C’est le nerf le plus sensible de tout
l’organisme. Les névralgies du trijumeau, en particulier la névralgie du
ganglion de Gasser occasionnent beaucoup de suicides, ce qui est bien connu
de tous les stomatologistes.
Ne regarder
que la couleur du ciel pour juger du temps (« weather ») est
parfaitement loufoque.
Incriminer
« les pollens » quand il s’agit de « gaz
d’échappements »
(que les moteurs eux-mêmes supportent si mal qu’on doive en changer
régulièrement « le filtre à air » – surtout en ville - l'est
tout autant.
Si c'était le
cas, pourquoi existerait-il encore actuellement moins d'allergies respiratoires
chez les gens qui vivent à la campagne?
Aurait-il
fallu attendre le XXème siècle pour assister à l’explosion des cas
d’asthme, et des cancers de toutes sortes, dont très particulièrement du poumon
?
Le nombre des
cancers en France est passé de 10.000 à 2 millions en 50 ans.
Aucun oncologue
(spécialiste des cancers) ne le démentira.
La nicotine est un poison de la famille de la
cicutine (alcaloïde de la cigüe, poison moins violent que la
nicotine), dont l’effet, mortel en quelques heures (d’abord jambes froides,
etc.), a été très bien décrit dans « la mort de Socrate », en
particulier par Platon, qui n’assistait pas à la scène, mais à qui ses
amis ont tout raconté, en bons cliniciens :
Les 2 types de
substances, goudrons et nicotine, se favorisent pour entraîner des
allergies et des effets bien plus forts chez les « enfumés »
que chez les « addicts » pour ces raisons d’accoutumances.
C’est pour eux que j’ai le plus de compassion, car les hordes de fumeurs – dans
les lieux publics, devant l’hôpital, etc. se tiennent toujours « dans
la porte » et font barrage en ce lieu virtuel de la limite
théorique de leurs droits … car la loi Evin de 1991 ne fait pas mention de
la direction du vent, essentielle, qui peut faire que les volutes de
fumée rentrent ou sortent des immeubles.
La drogue
accroche si bien, qu’on met quelquefois de la nicotine dans les
parfums, pour « fidéliser » au dit parfum, etc.
A l’inverse, ceux-ci peuvent aussi rendre malades les « non-addicts ».
On m’a dit que les premiers paquets contenaient parfois des opiacés (nettement
moins toxiques que la nicotine) : je ne sais si c’est vrai.
.Quand on a
compris tout cela, on peut dans un premier temps « imaginer »
les comportements qui pourraient y remédier :
Il faut comprendre d’abord que le tabac a bien des
qualités d’adaptation : anesthésiantes, paralysantes pour les jambes quand
on a envie de bouger, de la respiration, etc.
Regardons qui sont les plus fumeurs : les
« intellectuels » et ceux qui vivent perpétuellement au milieu des
moteurs diésel ; ensuite s’ajoutent de petits groupes de victimes plus
spécialisées comme les patients qui reçoivent de fortes doses de
neuroleptiques, qui fument afin d’en contrer les effets abrutissants, des
toxicomanes divers, etc.
Le meilleur
remède est le sport : tout le monde le sait. D’où :
Mettre son
paquet de cigarettes le plus loin possible de soi, en le conservant pour
« le cas où », afin d’éviter l’angoisse des bureaux de tabacs
fermés, etc. :
Si le
paquet est dans la pochette à gants
d’une voiture, à 500 mètres de chez soi, au bas d’une dizaine d’étages, une
fois arrivé sur les lieux du poison, les mouvements des jambes et la
ventilation pulmonaire qui en a résulté font que l’on peut n’avoir même plus
envie de fumer du tout.
Au minimum une
désintoxication lente peut démarrer.
En tant que médecin par définition philanthrope, je fais
cadeau du brevet.
Les malheureux :
devenus sans sciences et sans religion !
Hier soir j’ai regardé une
émission sur le département français
de Mayotte dans laquelle était dit : que les habitants
n’avaient pas encore eu accès au
progrès ; qu'ils habitaient des maisons sans
adresses ; à plusieurs, dont on ne savait pas qui était le
propriétaire ; que les maisons étaient transmises de mère en fille ;
que les habitants n’étaient pas clairement individualisés ; qu’ils pratiquaient l’islam au lieu de pratiquer la laïcité (je ne me rappelle
plus le mot exact employé pour signifier pratiquer) et que, même si les femmes
ne se voilaient pas le visage, elles portaient un châle sur les cheveux qui retombait
sur les épaules, ce qui rentre dans la définition de ce qui est interdit en France,
etc. Ainsi, le progrès ce serait l’inverse !
Note
relative à la Physique naturelle en général et à celle des individus :
A
partir du moment où on les choses n’ont ni intérieur ni intérieur en
physique naturelle, beaucoup de questions s’évanouissent, tandis que d’autres
apparaissent :
Qu’est-ce,
en effet, qu’une matière faite « d’élements » qui,
ontologiquement, n’ont plus de limite ?- Plus près de nos préoccupations
humaines, qu’est-ce qu’un « individu » si les
dimensions des éléments qui le constituent comme tel – que l’on dit corporelles
- n’existent nulle part ailleurs que dans un registre d’état civil ?
On
incline alors à concevoir « l’individu », « to atomo »
en grec contemporain, comme « existence culturellement
déterminée ».
Son
« indivision » devient alors - par un intéressant renversement
sémantique de ce qu’il est devenu traditionnel en psychanalyse d’appeler
« castration » – un « collage », conception
qui ouvre sur de nouveaux horizons.
On
doit probablement à Aristote d’avoir vulgarisé pour longtemps « l’atome »
dans le sens d’un petit « corpuscule » d’où l’on déduisit une
« insécabilité » qui désormais vole en éclats. Ce fut
probablement une triple erreur, linguistique, physique et philosophique.
On
rappellera ici :
1.
Que ni Démocrite ni son école n’ont jamais prononcé le mot
« atomos » en tant que substantif, mais seulement en tant
qu’adjectif , dans « idea atomos », = « représentation
non-divisée »
2.
« A - » en grec a le même usage que « in »
en latin dans son sens négatif. « A-tomos » signifie « in-divis »,
« in-divisé », ou « in-divisible » – selon
certaines conditions discursives : tous ces sens n’apparaissent que dans
les conditions de leur énonciation.
3.
Sur tous ces points en étude, voir « la physique des signifiants ».
Note 13: Mitford, History of Greece, vol. I, p. 282. Le Rév. J.-N. Hoare a aussi appelé
mon attention sur un passage de Xénophon, Memorabitia ;
livre II, 4 ; d’où il résulte que les Grecs reconnaissaient comme
un principe absolu que les hommes devaient choisir leurs femmes de façon à
assurer la bonne santé et la vigueur de leurs enfants. Le poète grec Thêognis,
qui vivait 550 ans avant J. C. comprenait toute l'influence que la sélection
appliquée avec soin aurait sur l'amélioration de la race humaine. Il déplore
que la question d'argent empêche si souvent le jeu naturel de la sélection sexuelle.
Thêognis s'exprime en ces termes :
Parcourir un manuel d’étudiant en
droit comme celui de Fr. Olivier – Martin ; « Histoire du
droit français des origines à la Révolution » ; Ed. Domat
Montchrestien ; 1948 ; peut être un devoir pour qui veut se faire une
idée juste de notre histoire.
Voici quelques
citations éparses de ce livre de plus de 700 pages :
« … D'ailleurs les Français n'ont nullement l'impression,
de vivre dans un Etat despotique. Ils se sentent libres et aiment la liberté.
En 1596, un évêque remontre à Henri IV que les rois de
France « aiment en leurs sujets l'honnête liberté et non la vile servitude
».
En
1605, un archevêque demande à parler au roi « avec la liberté française ».
En
1641, le prince évêque de Grenoble
réclame la liberté de l’Eglise de Dieu « dans la plus libre monarchie
du monde » …
Est
développée l’idée qu’il faisait bon vivre en France : Voici le témoignage
… de l’abbé de Véri : Il constate « le manque d’autorité de Louis
XV … les armes n’ont pas été brillantes, mais n’ont commis ni injustices
ni oppressions … les villes et les routes sont sûres ». « Rien
ne vaut, conclut-il, la sécurité domestique … sachons en jouir et
en rendre grâce à l’autorité publique » …
En
1760 , un procureur de province
constate que, dans l'Etat monarchique, « la liberté est un bien sacré
».
En mai
1787, le premier président de la Chambre des comptes loue devant l'Assemblée
des Notables l'exemple que le monarque donne à « une nation libre et
généreuse »
Le roi
lui-même ou ses agents entendent protéger « la liberté publique », la « liberté
des sujets du roi » ou parlent de « la faveur que mérite la liberté
».
Louis
XVI, en abolissant la mainmorte par l'édit d'août 1779, se dit soucieux de diriger « une
nation libre ».
On trouverait des déclarations donnant la même note en ce
qui concerne la propriété.
Le roi
entend la protéger.
Il la
considère « comme le plus sûr fondement de l'ordre et de la justice
», mais il doit « supprimer les excès contraires aux
principes de la justice sociale ».
La
France, au début du règne de Louis XVI est une nation saine, paisible,
satisfaite de sa situation européenne, et respectée de tous mais elle est menée
par un gouvernement faible.
Au
total, l’idée d’injustice n’est pas dominante, pas même dans les cahiers de
doléances de 1789 qui ne sont pourtant – par définition - pas une photographie
de l’état du royaume.
Les
arrestations par lettres de cachet sont en général pour une durée de 15 jours.
Les
aliénés sont rares.
Partout
s’impose d’ailleurs pour nous une impression d’harmonieuse diversité … »
1.
Tout
commercial : mariage
scandaleux « du commerce et de l’administration » => Consommation
obligatoire, isolation des individus, etc. : Cf. notre page « Mai
68 pour la psychiatrie » Clic ▬
2.
Architectures
de cartes postales et
fantasme du « cadavre consommateur » : au mépris
des besoins naturels élémentaires car une carte postale n’est pas
habitable…
i.
disparition
des toilettes (gros problèmes dans un lotissement, dans un embouteillage ou sur
un périphérique),
ii.
disparition
des cabines téléphoniques (avec le 3611 et un code mémorisé, on pouvait
appeler d’une cabine, sans argent et
sans carte)
iii.
disparition
des boites d’envoi de courrier postal… sauf dans les grands carrefour
touristiques à côté des galeries marchandes, etc...) (Rien pour les besoins
vitaux normaux, mais en revanche achats obligatoires du superflu :
à sonneries des détecteurs de fumée
(au cas où l’on cuisinerait en dormant ?) – que bien sûr on ne pourra pas
entendre si l’on est absent ;
à éthylotest pour le cas où on ne saurait pas que
l’on est ivre ;
à T° portable quasi obligatoire (énorme
dépendance qu’on a le culot d’appeler « nomade » !, etc.)
- mais interdiction d’avoir les alarmes appropriées par GPS pour savoir quelle
est la vitesse autorisée en un lieu donné,
à etc.…
Un x :
« - ? »
La voix : « -
Monsieur, je suis un robot. Oui Monsieur, les robots font tout 7 j/7 ; 24 h/24 ; 12
mois/12 ! Toute l’année, oui. Et les radars vous bombardent sans repos,
oui, nuit et jour !»
L‘x :
«- Et… ? »
La voix : « -
Asseyez-vous dans la boite – Compactez-vous dans la file 30 km/h - On pourra
bientôt vous télécommander ! »
L‘x :
« - Et le… ? »
Lors des émissions sur les énergies non polluantes, les
journalistes concluent toujours en répétant qu’elles ne sont pas fiables car
les éoliennes ne peuvent pas fonctionner sans vent et que les panneaux solaires
ne fonctionnent pas la nuit.
Partout dans
le Sud-Ouest, il y a des « rue des aisnes » ; des lieux-dits
appelés « Les aisines » ou « Eysines » ;
sur les plans cadastraux existent « des aisines », écrites
aussi « eysines » : ce sont des cabanes hautes de 1,50 m
qui étaient des « écuries pour les ânes » :
LATIN « asinus » =
« âne »
|
LANGUE D’OÏL, du Nord
|
=> « asne »
|
=> « âne »
|
=> « asnière »
|
LANGUE D’OC, du Sud
|
=> « aisnes »
|
|
=> « aisine »
|
J’avais
envoyé, il y a quelques décennies un article à un journal local pour prôner la
remise en service d’un petit train, comme celui qui avait rendu de bons
services aux habitants de l’île de Ré jusqu’en 1946.
J’avais pensé
qu’il pourrait être électrique ; et même être un tramway ; et même
relier l’île à la gare de La Rochelle.
J’avais pensé
que les gens auraient pu se rencontrer autrement qu’au moment du constat
d’accident au milieu d’éclats de verre : La rédaction du journal refusa
de le publier en me disant que « le projet n’était pas touristique et
que l’île de Ré n’avait pas d’autre avenir que le tourisme »
Le rédacteur
en chef avait raison bien sûr, connaissant les rapports de force et le terrain.
Mais l’avenir
aurait pu être autre avec « la 3eme force immatérielle »
que Peyrefitte retrouvait dans la Chine : « la
volonté » (cf. son livre : Le mal français,1976 ; à
relire).
Quant au tronçon
SNCF La Rochelle - Nantes, il est
desservi par un « Train inter cités – diesel » dont les
lourdes fumées ne passent inaperçues, ni lorsque la motrice entre en gare (avec
retard : quand je l’ai pris, une motrice aurait brûlé à Bordeaux !)
ni par les particules qui sortent d’une infecte climatisation, même quand l’air
est très bon dehors (paradoxe : parmi les éoliennes !) – mais les
fenêtres sont bien verrouillées…
Le dernier
autobus qui quitte la gare de la Rochelle en direction de l’île de Ré
part à 19 h 30.
Son terminus
arrive à Saint-Martin de Ré vers 21 H : Les malheureux qui habitent
au bout de l’île n’ont plus que 25 km à faire à pied…
Tandis qu’à la
saison des cigales, les véhicules de grand standing en files continues se
pavanent en « zone 30 » sous les regards peut-être envieux des
locateurs de campings-cars…
Au nom de
dangers pourtant très différents mais qu’ils ne connaissent pas, nos
dirigeants, manifestement mal informés, légifèrent indistinctement sur les
inondations fluviales (d’eau douce et qui durent plusieurs mois) et les
inondations maritimes (d’eau salée et qui durent quelques heures lors d’une
marée haute)
de cause à
effet, soulignent les auteurs de l'étude.
Une enquête
publiée en 2012 (clic)
dans « Human reproduction », consacrée exclusivement aux hommes
Français (26.606 participants âgés de 35 ans) montrait que la concentration en
spermatozoïdes du sperme avait baissé d'un tiers entre 1989 et 2005. Une baisse
continue, de l'ordre de 1,9% par an, aboutissant à une réduction totale de
32,2% au bout de 17 ans du suivi.Toujours selon cette enquête, chez un homme de
35 ans, le nombre de spermatozoïdes est passé de 73,6 million/ml à 49,9
million/ml en moyenne en 17 ans. Pour consulter l'étude Clic
»
Pendant ce
temps-là : A quelques encablures de l’île de
Ré, à La Rochelle, on pourra remarquer la présence d’un bâtiment,
lui, d’un style résolument moderne : C’est un « Institut Confucius » inauguré durant l’été
2009.
Pendant
ce temps-là : La France porte ses
armes au loin, mais les infrastructures de son propre territoire sont de plus
en plus insuffisantes : le tourisme ne développe pas la fibre optique...
Or je
pense qu’il est primordial d’être d’abord bien chez soi dans une habitation
habitable 12 mois sur 12, de ne pas céder aux mirages publicitaires, de ne pas
aspirer, si l’on n’est pas prince, à des ambitions princières dont les
fonctions ne sont ni d’être objets d’agrément ni d’être généralisables à tout
un peuple. Bien au contraire, elles sont souvent pour les princes, objets de
représentations, prestance et servitudes.
Les
voyages éclairs à bas prix qui occultent les populations d’accueil sont des
pièges condamnables car très coûteux en conséquences néfastes au niveau monde.
_____________________________________________________
Le pétrole de Mossoul
a déjà 100 ans (clic) : Mossoul
après avoir été province de l’empire ottoman (allié à l’Allemagne :
projet ferroviaire de la B.B.B. (Berlin - Byzance - Bagdad) => 1 ère
guerre mondiale), puis appartenu à l’Angleterre, (=> BP =
British Petroleum), puis appartenu à l’Iraq nouvellement créée par
le mandat britannique, puis maintenant à DAESH, rime un peu avec la
triste chanson de Jacques Brel : On pourrait remplacer Vesoul par
Mossoul.
|
26 avril
2018 : Journal Ouest-France :
https://www.ouest-france.fr/nouvelle-aquitaine/charente-maritime-un-cycliste-de-16-ans-tue-par-un-chauffard-en-fuite-l-ile-de-re-5718988
|
Mais fondamentalement, une question reste stupéfiante :
Comment
peut-on oser transformer ostensiblement un espace public, commun,
partagé, lieu de transit avant tout utilitaire, destiné à servir à des gens
affairés, voire préoccupés chacun par mille préoccupations différentes, en
espace de loisirs
figurant comme tel sur les publicités de racolage ?
Je doute que ces
transformations au bénéfice du loisir ait une quelconque légalité.
La
question est d’ailleurs la même avec les U.L.M. et autres avionnettes qui survolent à basse altitude les
villages et les jardins.
Or le phénomène
devient quasi-généralisé en France.
Or le tabac et
le pétrole et les divers feux sont non seulement désagréables à respirer
(sans compter les pollutions sonores pour les moteurs à explosion)) mais
devenus de loin la première cause de morbidité et de mortalité sur
l’ensemble de la planète – et qui plus est (contrairement à l’usage
de l’alcool dans ses grandes lignes ; et autres psychotropes) dérangent
le prochain plus que l’addict lui-même.
Les chiffres
donnés par l’Organisation Mondiale de la Santé sont extrêmement
alarmants, désormais sur l’ensemble de la planète : clic
La pollution
aérienne est pratiquement responsable de 70% de la mortalité totale sur
terre.
On ne peut
négliger dans le jeu des responsabilités, celles de ceux qui, discrètement,
tirent les ficelles de la danse.
|
________________________________
« Le renard et
le tambour »
« C’est l’exemple de
celui qui exalte une chose mais, une fois qu’il l’a saisie et examinée, il la
dédaigne.
On raconte qu’un renard
passait dans un bosquet où pendait un tambour, accroché à un arbre. A chaque fois
que le vent soufflait dans les branches, celles-ci remuaient et venaient
frapper le tambour, et cela produisait un grand vacarme.
Attiré par ce grand
bruit, le renard se dirigea vers le tambour ; arrivé près de lui, il le trouva
gros et fut persuadé qu’il contenait quantité de lard et de viande.
Il le manipula jusqu'à ce
qu’il l’eût fendu, et il s’aperçut qu’il était vide.
Alors il dit : -« Cela me
dépasse. Je me demande si les choses les plus viles n’ont pas la sonorité la
plus belle et l’ossature la plus volumineuse ! »
Origine : Fables animalières indiennes brahmaniques réunies dans le Pancha Tantra,
traduites d’abord en persan
puis du persan à l’arabe (sous le nom de Kalila et Dimna) puis ici au
français, par Fahd Touma : clic . Beaucoup de fables de La Fontaine puisent là leur
inspiration.
Note : Le mot « jungle » employée le plus
souvent en français pour désigner « une forêt hostile » est
tout simplement le mot hindo - persan
de tous les jours, « jangal », qui désigne « un
bosquet ; un petit bois ; une forêt » et n’a aucune
connotation hostile.
Je ne sais pas quand ce mot a été introduit en France ni
en Angleterre.
Peut-être très tôt, mais peut-être surtout par Rudyard Kipling
qui en use abondamment dans ses livres d’histoires animalières dont
l’inspiration est manifestement puisée dans la littérature indienne
traditionnelle dont le Pancha Tantra (= 5 recueils ; cf. en grec :
Pente = 5 )
Il est regrettable que des pays culturellement si proches du
notre nous soient devenus si méconnus.
___________________
Cette page elle-même
toute déséquilibrée par l’obligation de cet appel médiatisé à la
raison (qui est toujours par certains côtés « tirer des traits sur la comète")
et eut été bien moins nécessaire si on ne s'était pas coupé de notre écosystème
familier :