Jean-Marie Casal
(Troyes
1905 - Antibes 1977)
Archéologue
Pondichéry
Afghanistan
Vallée de l’Indus
Musée Guimet - Paris
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LA MISSION ARCHÉOLOGIQUE DE L’INDUS :
(M.A.I.) :
La mission archéologique
française de l’Indus, au Pakistan, a
été fondée en 1958 par Jean-Marie Casal, conservateur au musée Guimet,
détaché au CNRS, dans un pays qui était traditionnellement le domaine
réservé des anglo-saxons.
Cette mission était à
l’origine un rameau de la Délégation Archéologique Française en Afghanistan
(D.A.F.A.) dont Casal était membre
…Cf. clic
Ses fouilles de Mundigak
(1951-1958) montrent l'importance de l'Afghanistan aux IVe-IIIe millénaires,
celles du Pakistan (Indus : Amri [1959-1962], Baloutchistan :
Nal, Kulli, Pirak) révèlent une civilisation antérieure à celle de l'Indus.
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Jean Marie et
Ginette Casal
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Jean Marie Casal
et Geneviève de Person
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Jean Marie Casal
à Blois, entre deux missions en Afghanistan
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Reviews
Bulletin of the
School of Oriental and African Studies
Bulletin of the
School of Oriental and African Studies (1963), 26: 661-662
Copyright © School
of Oriental and African Studies, University of London 1963
DOI:
10.1017/S0041977X0007049X (About DOI) Published online: 24 Dec
2009
Book query
[Google Scholar]
Jean-Marie Casal: Fouilles de Mundigak. (Mémoires de la Délégation
Archéologique Française en Afghanistan, Tom. XVII.) 2 vols.: 260 pp.; 143
pp., 45 plates. Paris: Librairie C. Klincksieck, 1961. Fr. 80.
Article author query
allchin fr [Google Scholar]
F. R. Allchin
Promenade
en forêt de Blois
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Ginette
et Jean marie Casal avec
Paul
et Geneviève de Person
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Ginetteet
Jean marie Casal
Paul
de Person
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Claire de PERSON épouse Natalis BELL
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ß
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Georges
BELL (Officier de Marine)
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Épouse
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Suzanne
BALDINI
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ß
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Geneviève BELL
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épouse
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Jean Marie CASAL (Sans postérité)
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Ils seront l'un et l'autre archéologues et
travailleront toujours ensemble.
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Jacques et Suzanne de Person
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De gauche à droite :
Jacques et Suzanne de
Person ; Georges et Suzanne Bell ; Paul de Person
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Georges Bell
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ß
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Geneviève
BELL Épouse Jean- Marie CASAL : Sur les photos à la plage de La
Garoupe (Antibes)
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Ginette et Jean Marie
Casal - Plage de la Garoupe
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Villa La Jumelle à La
Garoupe (Boulevard de La Garoupe -
angle de la rue des pêcheurs)
(Propriété de Jacques et Suzanne de Person de 1920 à 1950 environ. La
villa a été agrandie et transformée depuis)
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Chapelle de La Garoupe ( où
se marièrent Paul de Person et Geneviève Séguret)
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Fouille à Pondichery :
1.
Cf dans ma page ‘la
physique des signifiants depuis Démocrite : note 62 en fin de
note clic
In :
Arrien : L'Inde, « Les Belles Lettres ",
Paris 1927.
Cette
route commerciale sera ensuite poussée jusqu'à Pondichery el le Bengale
par l’Empire romain : Cf. Revue Syria ; 1954 ;
J.M.Casal ; Fouilles de Virampatnam-Arikamedu : clic
2.
Parrot
André : Casal (J.-M. et G.) : Site urbain et sites
funéraires des environs de Pondichéry.
3.
Document pdf. In : Syria.
Tome 35 fascicule 1- 2, 1958. p. 142. => http://www.persee.fr/doc/syria_0039-7946_1958_num_35_1_5285_t1_0142_0000_2
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Vie et œuvre in :
(Livre sous protection de droits d’auteur)
signé : J.F.Jarrige
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OUVRAGES ET ARTICLES
PRINCIPAUX de Jean Marie Casal :
Fouilles de
Virampatnam – Arikamedu,
Paris 1949.
Fouilles de
Mundigak, Mémoires
de la Délégation Archéologique Française en Afghanistan, tome XVII,
Paris, 1961.
Fouilles
d’Amri, Paris
1964.
Nindowari – A Chalcolithic Site of South
Baluchistan, Pakistan Archeology, Vol. 3, 1966, pp. 10 – 21.
La
civilisation de l’Indus et ses énigmes, Paris 1969.
Excavations at Pirak, West Pakistan, South Asian
Archeology, Vol. 1, 1973, pp. 171 – 180.
En
collaboration avec Genevieve Casal:
Site urbain
et sites funéraires des environs de Pondichery, Paris 1956.
J.F.Jarrige
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South Asian Archaeology 1975: Papers from the
Third International Conference ...
publié par J. E. Van
Lohuizen-De Leeuw
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Nindowari
, La culture de kulli
Livre dédié à la mémoire de Jean-Marie Casal
Livre de :
J.F.Jarrige
Gonzague Cuivron
Catherine Jarrige
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Livre de :
Jean Marie Casal.
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Jean Marie Casal assis à son bureau dispense la paie =>
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Clic.
Ci dessous :
Présentation du livre : « La civilisation de l’Indus et ses
énigmes » :
( en particulier, on ne sait toujours pas
déchiffrer cette écriture qui date du 3ème millénaire avant J.C.)
« Bien qu'apparue l'une des
dernières à la connaissance des hommes, la civilisation née sur les bords de l'Indus
au IIIe millénaire avant notre ère n'en représente pas moins une émule des
grandes civilisations de Mésopotamie, d'Égypte ou de Crète.
Jean-Marie
Casal, né
à Troyes en 1905, licencié en droit et diplômé de l'École du
Louvre, a commencé à pratiquer l'archéologie militante aux Indes
britanniques sous la direction du célèbre archéologue anglais Sir Mortimer
(alors Dr R.E.M.) Wheeler. Il a fait ensuite des fouilles dans le sud de l'Inde,
sur le Territoire de Pondichéry, pour le compte du gouvernement
français.
Après
la clôture de ces chantiers indiens, J.-M. Casal est nommé en Afghanistan
où il découvre Mundigak, le premier grand site de l'Âge du Bronze
identifié dans ce pays, qu'il fouille de 1951 à 1958.
Nommé
conservateur des Musées nationaux en 1957, il est, en 1958,
détaché au Centre national de la Recherche scientifique.
Il
est alors envoyé au Pakistan où, à la tête de la Mission
archéologique de l'Indus, il a, depuis cette date, fouillé le site d'Amri
dans la vallée de l'Indus et entrepris celui de Nindowari dans
les montagnes du Béloutchistan.
Ayant
dû suspendre le travail sur ce dernier chantier en raison de circonstances
locales défavorables, il a transporté ses activités dans la plaine et fouille
depuis deux ans le site de Pirak au pied de la montagne.
En dehors d'articles divers
dans des revues spécialisées françaises et étrangères, il a publié plusieurs
ouvrages qui sont les comptes rendus des fouilles qu'il a dirigées : « Fouilles
de Virampatnam-Arikamedu » (1949), « Site urbain et sites funéraires
des environs de Pondichéry » (1956) - en collaboration avec sa femme Geneviève
Casal qui est depuis le début et reste sa collaboratrice la plus proche
et la plus fidèle sur tous les chantiers - « Fouilles de
Mundigak » (1961), « Fouilles d'Amri » (1964).
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Disparition
de Jean-François Jarrige
Annonceur : Vincent Lefèvre
Aire géographique culturelle : Asie -
Asie centrale - Asie du Sud
Date : 18-11-2014 au 31-12-2016
Photographie © Musée Guimet
Jean-François Jarrige (1940-2014)
Directeur du musée Guimet.
Jean-François
Jarrige s’est éteint le 18 novembre dernier des suites d’une longue
maladie.
Il
est toujours difficile de saluer en quelques lignes la mémoire d’un homme qui
s’est illustré aussi bien dans le domaine de la recherche que dans la direction
et le soutien aux institutions culturelles, mais le respect et l’admiration
aussi bien que la reconnaissance et l’amitié nous font un devoir de le tenter.
Né
en 1940, Jean-François Jarrige a fait ses études supérieures à Paris, à l’École
du Louvre d’une part et à la Sorbonne (archéologie et sanskrit)
de l’autre - un parcours qui sera
sanctionné par le diplôme supérieur de l’École du Louvre (1967) et plus encore par une thèse
de doctorat en archéologie orientale
(1971).
Dès
1964, il devient stagiaire à la Mission archéologique de l’Indus.
Cela
lui permet d’entrer, l’année suivante, au C.N.R.S., d’abord en qualité de stagiaire, puis comme attaché de
recherche (1967).
Chargé
de recherche en 1972, il devient directeur
de la mission archéologique française au Pakistan et directeur de
l’unité de recherche n° 16 en 1975, maître de recherche en 1983, directeur de recherche en 1985, directeur
de l’Unité Mixte de Recherche 9993
CNRS / Ministère de la Culture (Centre de recherche archéologique Indus-Balochistan et Asie
centrale et orientale) en 1996 et enfin
directeur de recherche émérite en 2008.
C’est sous l’égide de Jean-Marie Casal qu’il découvre pour la
première fois le Balochistan
pakistanais, à Nindowari, site relevant de la culture de Kulli,
encore mal connue mais contemporaine de la civilisation de l’Indus. Mais
c’est à Pirak (de 1968 à 1974)
qu’il aborde l’exploration des IIe et Ier millénaires, menant à une étude, se
prolongeant dans les plaines indo-gangétiques, de la période suivant la civilisation de
l’Indus, avant l’émergence de qu’on appelle généralement « l’Inde
védique ».
Dès
lors, les fouilles se concentrent dans la plaine de Kachi, une région
qui, au débouché du col de Bolan, relie l’Asie centrale et le
plateau iranien à la vallée de l’Indus, à laquelle elle se rattache
géographiquement.
Les
fouilles de Mehrgarh permettent alors de mettre en valeur une séquence
d’occupation continue commençant à la fin du VIIIe millénaire ou au début du
VIIe millénaire avant notre ère et se terminant aux alentours de 2600 avant
notre ère, soit au début de la civilisation de l’Indus.
A
six kilomètres au sud-est, le site de Nausharo correspond à la phase
finale de Mehrgarh mais son occupation se poursuit jusque vers 1900
avant notre ère : il démontre donc la continuité entre le néolithique ancien
et le chalcolithique, d’une part, et, d’autre part, la civilisation de l’Indus
dont la production se révèle finalement moins homogène qu’on ne le pensait
jusque-là ;
En
même temps, la phase finale de Nausharo indique un changement important
dans la nature des échanges commerciaux avec la Mésopotamie, le Golfe
persique et l’Asie centrale, annonçant ainsi les cultures « post Indus
» telles que celles mises au jour à Pirak.
Il
serait bien présomptueux de vouloir synthétiser ici presque quarante années de
recherches archéologiques, mais on peut souligner que les fouilles de Mehrgarh, de Nausharo et de Pirak
révèlent une séquence continue de 7000 à 600
avant notre ère.
Elles
font donc remonter de quatre millénaires le passé du sous-continent indien et montrent ainsi que la civilisation
de l’Indus n’est pas un phénomène
révolutionnaire en rupture avec de petites cultures néolithiques locales et isolées.
Par
ailleurs, elles contribuent à mettre en
valeur les différentes transformations qu’a connues cette civilisation
de l’Indus tout au long de son
existence, et plus particulièrement les mutations économiques de la phase finale, mettant ainsi, une bonne fois
pour toute, un terme au mythe des
invasions de populations semi-nomades, dites indo-aryennes, venant du monde de la steppe.
C’est
donc un lien - ténu, certes, mais lien tout
de même - qui s’établit avec l’Inde « védique » et, au-delà, avec
la civilisation de l’Inde «
classique », invitant à en mettre en lumière l’originalité.
Ce
bref exposé suffirait à montrer l’apport de Jean-François Jarrige à
la connaissance du passé de l’Asie.
Mais
ces recherches qui s’adressent
essentiellement à des spécialistes sont en grande partie menées en
parallèle d’autres activités touchant elles bien plus ce qu’il convient
d’appeler le « grand public ».
En
effet, il dirige le musée Guimet, musée national des arts asiatiques, de
1986 à 2008.
Lors
de sa prise de fonction, le musée, fondé en
1889, est en passe de fêter son centenaire, mais Jean-François
Jarrige va contribuer à lui
insuffler un nouveau souffle, en faisant de cet établissement passablement poussiéreux une institution de
tout premier plan.
En
premier lieu, il développe la politique d’expositions temporaires qui,
avec le temps, prennent une stature de plus en plus
importante sur la scène internationale.
Il
s’attache également à mieux faire étudier et valoriser les très riches collections du musée, notamment le
panthéon bouddhique japonais menée
par le Professeur Bernard Franck.
Rassemblée
par Émile Guimet lors de son
voyage au Japon en 1876 - voyage qui allait être à l’origine de
la création du musée - cette collection
avait peu à peu été « oubliée » dans l’annexe du musée, l’hôtel d’Heidelbach.
L’approche
du centenaire du musée est donc l’occasion de rendre ainsi hommage à l’esprit
du fondateur et de redécouvrir tout un pan des collections du musée, mettant de
la sorte en lumière un certain nombre de chefs-d’œuvre inconnus.
Mais
l’aventure du panthéon bouddhique japonais est aussi l’occasion de
réaménager complètement l’hôtel d’Heidelbach en véritable espace
muséal, pour y présenter dans un cadre adéquat ces collections
redécouvertes.
C’est
en fait la première étape d’un grand projet de rénovation du musée dans son
ensemble, qui sera mené de 1996 à 2001 avec les architectes Henri et Bruno
Gaudin.
Ainsi,
mieux présentées, mieux éclairées, les œuvres permettent une véritable
découverte encyclopédique des civilisations de l’Asie, et le public
répond massivement.
En
bon archéologue et historien de l’art, Jean-François Jarrige sait
cependant qu’un musée est bien plus
qu’une institution administrative et un beau bâtiment et il n’a de cesse d’accroître ce qui, au regard de l’Histoire,
constitue le cœur de la fonction d’un
musée : les collections.
Les
chiffres laissent rêveur : les dix années précédant la fermeture du musée en
1996 ont vu 1250 œuvres entrer au musée, dont les très importantes donations de
Lionel Fournier (art himalayen) et Jacques Polain (statuettes
chinoises) ;
Mais
de 1996 à 2006, ce ne sont pas moins de 6 093 numéros d’inventaire qui sont
venus enrichir les collections.
Si,
là encore, de grands donateurs (Krishna Riboud, Norbert Lagane, Joseph
Carroll, etc.) jouent un rôle de premier plan, Jean-François Jarrige
sait aussi user de toute sa force de persuasion pour développer le mécénat
d’entreprises et l’importance de ces grands groupes montre tout le prestige
acquis alors par le musée Guimet.
Finissons
ce trop bref hommage en ajoutant que les multiples accomplissements de Jean-François
Jarrige lui ont valu d’être élu membre de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres en 1997
et qu’il fut le très actif secrétaire
général de la commission consultative des recherches archéologiques
françaises à l’étranger,
contribuant ainsi pendant vingt ans à l’action de la France dans ce domaine.
Vincent Lefèvre
Conservateur
en chef du patrimoine
Sous-directeur
des collections au Service des musées de France
Directeur de recherches à
l’université de la Sorbonne Nouvelle Paris
Notes de bas de page :
Ses travaux figurent maintenant sur un site pakistanais
agrémenté de la photo prise à Blois (bloujistan ?) commentée
en ourdou: https://www.punjnud.com/ViewPage.aspx?BookID=16994&BookPageID=392259&BookPageTitle=