Musique de fond sonore : Anouchka Shankar.
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Delhi
Partout sur terre la pollution, c’est maintenant.
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1 » : Clic
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Dans cette page
Liste ici de haut en bas, à lire chronologiquement dans le corps
du texte de bas en haut.
- Préambule :
La physique et la vie clic
- Air froid clic
- Le
« chacun pour soi » clic
-
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Contact source clic
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Certains arrondissements spéciaux
de Tōkyō ont adopté des arrêtés d'interdiction de fumer dans la
rue / prévoient une amende pour les fumeurs jetant leur mégot de
cigarette à terre [17] - Wikipedia.
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(Suite
de la page Immunité 1)
Le
début est en bas de page (texte chronologiquement écrit de Bas en Haut)
retour - Février 2018 : Le chacun pour soi
Le
chacun pour soi est non seulement moralement monstrueux mais tout simplement
impossible.
On ne peut
même pas dire que dans la nature quand un lion mange un gnou, ce qui nous
parait cruel, ce ne soit que pour lui : il fait partie de tout un système
de régulation, dans lequel nous sommes bel et bien intégré.
Pour
l’eau, électricité, l’air respiré, etc. le problème est exactement le même.
Un
mode de vie qui était possible – et même le seul possible - avec quelques
hommes sur terre ne l’est plus avec 7 milliards d’habitants
Dans
la mythologie, Adam et Eve étaient au moins deux …
Individualisation :
J’ai
déjà dit mon analyse à propos de la
nouvelle idéologie des répulsions sexuelles (page « mai 68 pour la
psychiatrie » dans « l’invention de la psychiatrie »)
parfaitement orchestrée par « le mariage du commerce et de l’exécutif »
(J
qui a remplacé le mariage entre hommes et femmes ! ) qui impose une
consommation obligatoire de plus en plus insensée, au nom de principes divers
parmi lesquels reviennent toujours des arguments sanitaires - simultanément au
contraire profondément bafoués…
L’individualisme n’est pas un désir mais le
produit d’une individualisation .
La
destruction des familles répond à des intérêts commerciaux de multiplications
des ventes, de même que les idéologies dites féministes savamment attisées et
manipulées, les répulsions de la procréation, de la maternité, de l’enfantement
et des enfants, au détriment des joies parentales naturelles, et de celles des
enfants toujours heureux d’être nombreux.
Les
peuples dits civilisés sont les propres artisans de leur disparition (cf. Ibn
Khaldoun : « … en déposant les armes et confiant le soin de
leur défense à leurs gouvernants, etc. » clic) de même que la disparition des
besoins et des consommateurs eux-mêmes ne peut qu’amener la disparition des
commerçants, qui sont donc toujours obligés d’inventer davantage de gadgets,
bien au-delà de l’utile et des besoins, etc.… dans lesquels le plaisir lui-même
arrive à s’épuiser, impossible à retrouver même dans les toxicomanies…
Public/privé :
Ceci
va dans le sens de la nécessité d’une organisation sociale publique en quelque
sorte par paliers.
Il est
facile de comprendre qu’un nouveau vocabulaire est apparu au cours de ces
derniers siècles et que « le mot public » se rapporte
essentiellement aux objets, allant des plus intimes aux plus partagés, alors
que « le mot privé » se rapporte en réalité surtout au senti
et aux sentiments – là est d’ailleurs l’essence et l’essentiel du champ de la
médecine.
Il est
grinçant de constater que les gérants de notre société inversent souvent les
sens de ces mots – allant jusqu’à imposer de plus en plus à chacun d’avoir
comme son propre service public – ce qui confine rapidement à l’impossible,
tout en le privant au contraire de plus en plus de ses propres propriétés.
On
notera - en médecin – que l’opposition « objet/sentiments »
n’est nullement congruente avec une opposition « matière/immatériel ».
Cf :
Clic :
Là est la grande différence entre « public » et « étatique »
car le libre accès à la consultation, à l’hospitalisation, et la liberté de
parole s’imposent, car le contenu de la relation médicale n’a d’efficience que
s’il peut être ouvert « au tréfonds le plus privé de chacun »
Les
faits et les besoins :
Le
fuel domestique d’une maison individuelle sort par la cheminée, se déverse
immédiatement dans la rue et inonde obligatoirement tous les voisins
De
même avec les fumées de cigarettes ou de barbecue.
De
même les eaux passent dans les nappes phréatiques avec tous les toxiques, et
même beaucoup de saletés passent dans les eaux de pluie (pluies acides)
De
même pour tout.
On
peut aller beaucoup plus loin dans ces réflexionxs, et entreprendre des
réflexions intellectuelles sur tout le monde physique dans son ensemble aussi
bien que la physique des particules.
Même
une planète n’est pas indépendante d’une autre : On vit avec des marées maritimes, et il y a
même des marées terrestres sur terre : je crois qu’au milieu du continent
eurasiatique, le sol se soulève et redescend de 50 cm chaque jour.
L’un
des avantages de la fatale mondialisation est de pouvoir s’entraider :
C’est en même temps devenu une obligation sous peine de mort.
Prenons
modèle sur l’idée de Nicolas Tesla dont l’idée était de fournir de
l’électricité, distribuée par la ionosphère à tous les habitants de la terre…
Après
avoir électrifié la ville de New York, le malheureux est mort seul, dans la misère, dans une chambre d’hôtel à New
York.
Sur
Terre quand c’est l’été dans l’hémisphère Nord, c’est l’hiver dans l’hémisphère
Sud et quand il fait nuit sur la moitié de la terre, il fait jour sur l’autre
moitié.
On
serait de plus en plus capables d’en tirer parti et nous sommes devenus et deviendrons de plus en plus contraints de
le faire.
La
population mondiale a atteint un tel niveau que le partage et la
complémentarité sont non seulement devenus de plus en plus réalisables, mais
devenus aussi une nécessité
La
justice a toujours été une nécessité physique absolue
Elle
le reste, ce qu’on peut dire de mille autres façons encore.
Et
alors on voudrait demander aux français que chacun se promène avec Son panneau
solaire sous le bras ?
A
quand chacun Son bassin d’eau de pluie et Sa centrale nucléaire dans Son
jardin ?
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2 retour -
Le
poids de l’air : Air lourd et air léger : L’Air froid = Air lourd
= Air descendant : Il tombe.
Les
mots sont indispensables, mais perdent toujours toute signification en dehors
de leur contexte de signification.
1.
Les
expressions « haute pression » et « basse
pression » sont un peu trompeuses si on pense
« altitude » car dans ce cas il se passe plutôt le contraire :
les cumulus de basse pression montent très haut, surtout à l’Equateur
alors que les brumes de hautes pressions descendent jusqu’au sol et figent
l’espace d’un froid glacial en hiver.
2.
Les
expressions « forte pression » et « faible
pression » seraient nettement meilleures car elles correspondent à
la réalité. Cependant un air de « basse pression », ascendant, par
exemple comme l’air chauffé de la croûte terrestres à l’Equateur à midi
devient facilement un air en état de haute pression s’il évolue en circuit
fermé – et c’est le principe même de la machine à vapeur. Il n’est en état de
faible pression que parce qu’il est en système ouvert et qu’il peut s’épandre
sous l’effet de sa dilatation due à l’augmentation de l’agitation des molécules
sous l’effet de son réchauffement : plus léger pour cette raison, et donc
moins soumis à la gravité, il monte.
3.
Les
expressions « air lourd » et « air léger »
seraient les moins ambiguës, car correspondant à la réalité loco-environnementales,
considérant à la fois l’air et son milieu évolutif que constituent l’air
avoisinant (qui est de densité différente) et la terre avec son champ de
gravité.
Les mots lourd et léger ne sont que relatifs l’un par rapport à
l’autre, mais haut et bas aussi ;
Et tout cela peut être mieux donné et cerné en chiffres.
Enfin , c’est quand l’air est léger qu’on dit « le temps
est lourd » juste avant l’orage, parce que par rapport à lui, notre
corps est plus pesant.
Moins 10° à
Paris et températures positives dans les Alpes : C’est tout simplement
parce que l’air lourd tombe.
Rare et
impressionnant : Les Hautes Pressions (= Anticyclone = Fortes Pressions)
tassent l’air froid dans les cuvettes (explication page précédente)
A 13 heures, l’œil
de l’anticyclone est centré sur Paris : La température
approche –10°
La vitesse
horizontale du vent au sol est nulle au centre de l’anticyclone, puisque
l’air tombe verticalement, mais en périphérie le vent tourne horizontalement
dans le sens horaire autour de l’axe vertical formé. C’est une inondation d’air
froid lourd qui tombe du ciel.
Bonjour la
pollution, sauf si on arrête de faire tourner les machines
Les sommets au
contraire continuent de se réchauffer (cf. scénario envisagé page
précédente : clic)
« L’augmentation
mondiale moyenne des températures a été de 0, 89° en 100 ans »
Mais
l’accélération du réchauffement est d’autant plus nette que les sommets sont
élevés : « Au cours des 30 dernières années, les températures
moyennes ont bondi de +1° dans les Alpes du Nord françaises, ce qui est
colossal. En tout, les températures ont augmenté de 2° dans les Alpes du
Nord françaises, depuis l'ère pré-industrielle » clic.
L Avenir du Gulf Stream pour 2060 : Fiction
(FR3 – Thalassa) :
Sur You -Tube : Clic : ou https://www.youtube.com/watch?v=CIJJ4X0cv94
-
-
« Hello ! is « an ice day »
today ! »
-
« Sorry ! « a nice
day ! »
-
« Pas de problème - diront mes voisins - on rallume le fuel,
on arrête le congélateur, comme ça on consomme toujours ! »
Car :
En l’absence de vents et de courants, de grands écarts entre
inondations et sécheresses, grandes chaleurs et grands froids apparaîtraient en surface, de façon locale
et saisonnière.
La Terre tourne sur son axe Nord- Sud (bienheureux jours, bienheureuses nuits)
et cet axe s’incline alternativement de 23° en provoquant les saisons.
Mais il n'existe pas d'axe Est - Ouest de rotation qui
permettrait de présenter toutes les 24 heures chaque pôle terrestre au Soleil
!
Les vents et les pluies remontant des zones intertropicales vers
les pôles, en épousant souvent le trajets des courants chauds marins (Gulf
stream, courants du Labrador et de l’Alaska, etc.), tendent vers une
régulation, une répartition hydrographique et thermique équilibrée.
Par ces animations
et ces mélanges, une « sorte d’équité naturelle » existe entre les
territoires ! Il n’y en a pas beaucoup d'autres.
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page -
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retour
- 1 janvier 2018 : Préambule « La
physique et la vie »
Comme
les maladies, la plupart des maux qui nous affligent sont deux sortes :
§
Il
y a les maux soudains et foudroyants contre lesquels on ne peut en général rien
faire, à moins d’agir très vite et très efficacement.
Il est
rare de pouvoir le faire, et encore plus rare que le remède soit durable car
souvent, le phénomène se reproduit peu après.
De ce
point de vue, les accidents vasculaires, si l’atteinte est généralisée, se
comportent comme les répliques sismiques, et c’est pourquoi il est passablement
illusoire pour une personne exposée au risque, de s’entêter à s’entourer de
systèmes de protection illusoires car le mal est dans l’organisme, et c’est lui
qui compte et non pas ce qu’il y a autour. Il peut s’être installé lentement,
ce qui le situe alors dans la catégorie suivante.
§
Il
y a à l’inverse les maladies qui s’installent lentement, et alors ce qui compte
le plus est au contraire ce qu’il y a autour.
Ces
maladies ou ces maux ont pour cause soit leur évolution naturelle, sur laquelle
on peut souvent agir en partie, soit leur environnement, sur lequel on pourrait
si on le voulait agir presque en totalité.
Ces
maladies sont souvent au début difficiles à reconnaître mais à ce moment là
très faciles à guérir si elles sont guérissables, alors qu’ensuite elles deviennent
très faciles à reconnaître mais très difficiles à guérir même si elles sont
guérissables.
La
précipitation est dans ces cas déconseillée, de même qu’on tuerait une personne
hypertendue de longue date en ramenant brusquement sa tension artérielle à la
normale, car alors le sang n’aurait plus assez de pression pour pénétrer dans
les organes du corps accoutumés à l’hyperpression.
Enfin,
si rien n’a été fait, les évènements malheureux se précipitent, c’est l’agonie,
il est trop tard, et tout devient inutile.
La
mort survient de la même façon qu’une maison mal entretenue finit par
s’écrouler tout d’un coup dans un effet de surprise, mais la surprise était
attendue.
Au
total de tous ces cas, la précipitation n’est utile qu’en cas d’accident
inopiné d’origine externe, ou d’origine interne s’il provient d’une anomalie
isolée et curable, par exemple une anomalie isolée congénitale chez un patient en bonne santé par ailleurs.
Une
énumération de ce genre n’est jamais exhaustive et peut encore laisser place à
des exceptions.
Mais
j’ai passé en revue ces cas,
§
d’une
part parce que je vois bien que dans la routine on agit souvent tout autrement
en pure perte, ou pire, en nuisant
§
et
d’autre part pour dire que tout cela est presque en totalité applicable à la plupart
des autres domaines de notre existence, comme la gestion régulière de notre
environnement, celle des catastrophes naturelles, la politique, l’éducation,
les civilisations et la civilité, les mœurs et la moralité, les démographies,
etc.
Enfin,
quoi qu’il en soit, notre essence étant la même que celle de la nature et aucun
de nos principes n’ayant avantage à contrarier son développement, il me semble
que l’homme et la nature devraient pouvoir s’apporter l’un à autre des
bienfaits réciproques – formulation peut-être inhabituelle qui peut être perçue
comme on voudra, mais qui me semble ici pertinente.
La
nature, c’est à la fois « nous » et notre « Autre » :
« Principe de superposition »
|
Roger Bacon
1214 – 1294 :
|
« Homo
|
naturae
|
non
|
nisi
|
parendo
|
imperat »
|
« Homme
(On)
|
à
la nature
|
ne
|
sinon
|
en
se soumettant
|
commande »
|
La
nature :
Þ en latin = ( <= naturus –a
–um (participe futur de <= nascor – nasci = naître ; en latin, c’est un
verbe passif)
Racine
indo-européenne : (g)en- =>
gens, genre, génétique, etc.
Þ en grec = « physis »
Racine
indo-européenne : « bhu-C (=> en grec
« phu- ») = pousser ; croître ; se développer.
C’est
le même radical écrit « fu » qui est passé en latin puis en français
et a donné « ils fu-rent » ou « fu-tur » ou
« feu untel ». (très riche en vocabulaire mais particulièrement dans
le verbe « être » (sorte de pseudo-verbe)
Il est
intéressant de constater que ce radical défie le temps, puisque « ils
furent » est un passé, et que « futur » est un « fu-tur »,
mot paradigmatique modèle justement composé à cette fin puisqu’il est le
participe futur (terminaison en « -urus –a –um » du verbe être en
latin.
Et
c’est pourquoi « na-t-ure » rime avec « fu-t-ur »
Þ
La
physique est
donc les sciences de la vie qui croît.
La
médecine reste la principale interface entre les hommes et les sciences de
leur vie.
Aujourd’hui
aucune science n’a plus aucune raison d’être confisquée.
Il
serait grand temps que la physique renoue avec tous ceux que son savoir devait
servir.
Les
médecins n’auraient jamais du cesser de porter le titre honorable de physicien.
retour –
Le
DEBUT est ici
car le
texte est chronologiquement écrit de Bas en Haut
___________
Notes
de Bas de page :